Test Blu-ray : La caravane de feu
La caravane de feu marque la troisième – et dernière – collaboration entre John Wayne et Kirk Douglas, en 1967, devant la caméra de Burt Kennedy.
Test Blu-ray : Fantomas est de retour
Après avoir réédité Fantomas en Blu-ray durant le mois de juin 2016, Gaumont remet donc le couvert fin mars avec la sortie couplée de Fantomas se déchaine (1965) et Fantomas contre Scotland Yard (1967).
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Brice de Nice
A l’époque de la sortie en salles de Brice de Nice, Jean Dujardin n’était pas l’acteur multi-récompensé (Oscar, Bafta, Golden Globe…) et respecté qu’il est aujourd’hui, et la critique fut sévère avec le film de James Huth...
Test Blu-ray : Maléfique 2 – Le pouvoir du mal
Les films produits par Disney se suivent et ne se ressemblent pas : après le carton international du Roi lion en 2019 (1,65 milliard de dollars de recettes, 9,7 millions d’entrées en France), qui précédait de peu l’autre carton constitué par La reine des neiges II (1,43 milliard de dollars de recettes, 7,4 millions d’entrées en France), on avait vu débarquer sur les écrans Maléfique 2 : Le pouvoir du Mal, une nouvelle aventure d’Angelina Jolie dans la peau de la sorcière la plus iconique de la maison Disney – une fausse méchante qui, on le rappelle, avait sorti elle-même la Belle au bois dormant de son sommeil forcé dans le film de 2014. Maléfique en 2014, c’était 760 millions de dollars de recettes (830 après l’exploitation du film en vidéo), et deux millions de spectateurs en France. En 2019, Maléfique 2 : Le pouvoir du Mal n’a quant à lui cumulé « que » 477 millions de dollars, et réuni 2,6 millions de français dans les salles. Les adeptes hexagonaux augmentent, mais paradoxalement, le film a rapporté moitié moins que l’original aux Etats-Unis. Les chiffres sont déjà fracassants, mais on suppose qu’avec l’habitude des recettes dépassant régulièrement le milliard, la boite à Mickey doit franchement tirer la gueule à moins de 300% de rentabilité de nos jours. Dans les bureaux de Disney, des têtes vont tomber !
Test Blu-ray : A man called Adam
Quasi-inconnu en France, A man called Adam est un film musical sorti aux Etats-Unis en 1966, et mettant en scène, derrière un rôle-titre incarné par Sammy Davis Jr., plusieurs des personnalités les plus influentes du jazz des années 60.
Test Blu-ray : L’homme orchestre
Même si Louis de Funès ne parait pas forcément très à son aise en plein feu d’artifices pop à la shebam ! Pow ! Blop ! Wizz ! avec cinquante minettes qui dandinent du croupion autour de lui, cela n'empêchera pas L'homme orchestre d'être apprécié pour ce qu'il est
Test Blu-ray : Harley Davidson et l’homme aux santiags
Harley Davidson et l’homme aux santiags est un film qui confronte deux images des États-Unis. D’un côté, on a l’Amérique du « passé », de la liberté, de l’autre, on a celle du capitalisme effréné et de la surconsommation...
Test Blu-ray : La Folle journée de Ferris Bueller
Immense classique du « teen movie » US (et même de la comédie américaine tout court, d’ailleurs), La Folle journée de Ferris Bueller fait partie de ces films intemporels sur lesquels le temps ne semble avoir aucune emprise.
Test Blu-ray : Jungle fever
« I've got jungle fever, she's got jungle fever, we've got jungle fever - We're in LOVE » Impossible si vous avez vu Jungle fever d'oublier ce titre accrocheur de Stevie Wonder, spécialement composé pour la musique du film.
Test Blu-ray : Charlie’s angels
Même si Elizabeth Banks a probablement du ressentir la confiance que lui accordait Sony Pictures pour écrire et réaliser un reboot de la franchise Charlie’s angels, passer derrière McG n'était pas chaud zézé, tant ce dernier maîtrisait sur le bout des doigts tous les codes de la pop culture.
Test Blu-ray : On a volé la cuisse de Jupiter
Si Tendre poulet reste encore de nos jours un modèle de film policier mêlé de comédie romantique, Philippe de Broca a décidé de faire prendre à la suite des aventures de Tanquerelle et Lemercier une tournure nettement plus exotique.
Test Blu-ray : Starcrash – Le choc des étoiles
Vu avec le recul que lui imposent les années, Starcrash – Le choc des étoiles donne l’impression d’être d’avantage ancré dans la science des années 50 que dans l’épopée spatiale à la Star Wars.



















