Test DVD : Mystery Road – Saison 1 + Films

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Le coffret Mystery Road co-édité par ARTE Editions et L’Atelier d’Images contient rien de moins que deux longs-métrages et la première saison de la série TV dérivée de ces deux films. On notera qu’il s’agit de trois « entités » absolument indépendantes l’une de l’autre, que vous pourrez regarder dans l’ordre qu’il vous plaira sans nécessairement vous y perdre. Les DVD qui composent le coffret conseillent tout de même un « ordre » de visionnage, avec lequel on pourra être d’accord… Ou pas. Il est donc plutôt recommandé de commencer avec Mystery Road, le premier film, tourné en 2013. Jusqu’ici, tout va bien, comme dirait l’autre. C’est ensuite que ça se corse : ARTE Editions et L’Atelier d’Images recommandent d’enchaîner avec la série Mystery Road, tournée en 2018, pour terminer avec le deuxième long-métrage, Goldstone, quant à lui tourné… en 2016.

Test DVD : Santiago, Italia

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Un documentaire passionnant, très complet et particulièrement instructif dans le contexte actuel sur des événements dont certains sont bien connus et d'autres beaucoup moins.

Test Blu-ray : Rémi sans famille

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« Dans les grandes villes ou les petits villages, devant nous défilent de jolis paysages... Ma famille à moi, c'est celle que j'ai choisi, car on a besoin d'affection dans la vie ! » Si vous êtes natif des années 80, cette ritournelle ne vous est pas inconnue, et vous faites peut-être partie des 857.000 français à avoir été découvrir dans les salles ce Rémi sans famille à Noël dernier. « Quoi ? Seulement 857.000 entrées pour ce blockbuster à la française, conçu et mis en boite pour tout détruire sur son passage au box-office ? » vous demanderez-vous peut-être. Hé oui, il y a de fortes chances pour que les producteurs Jerico (et les co-producteurs TF1, OCS, TMC, Ciné+...) aient été un peu déçus du score réalisé par leur poulain dans les salles.

Test DVD : Sibel

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Après une sortie en salles plus qu'honorable en terme de nombre de spectateurs, la sortie en DVD devrait permettre de toucher un public encore plus vaste, d'autant plus que le produit que nous propose Pyramide Vidéo est particulièrement alléchant.

Test Blu-ray : Au bout des doigts

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En toute honnêteté, à quoi peut-on encore s’attendre d’à peu près original de la part des films à apprentissage miraculeux, genre ultra-balisé par excellence, où le héros arrive à surmonter toutes les difficultés que la vie lui réserve pour accomplir à la dernière minute son sort glorieux ? Au bout des doigts ne semble même plus faire d’effort pour varier tant soit peu la formule usée jusqu’à la corde du saut d’obstacles social, discipline oh si édifiante à laquelle il existe une seule et unique option de conclusion. Avant l’épilogue sur la consécration inévitable, le récit s’évertue donc à multiplier les impasses improbables, tout en ayant à cœur d’insister sur le bon fond du protagoniste, ce pauvre petit qui aurait préféré jouer éternellement avec Michel Jonasz au piano, plutôt que de grandir et de faire face comme un adulte à ses contradictions existentielles. (…) Heureusement pour lui, mais pas forcément pour nous spectateurs plus si crédules dans le domaine romantique, il trouve une compagne prête à lui pardonner ses pires mensonges avec un grand sourire. Elle n’est pas belle, la vie des surdoués au cinéma ?

Test DVD : Paradise Beach

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Découvert en 1997 avec l’excellent J’irai au paradis car l’enfer est ici (on n’a d’ailleurs jamais eu réellement l’occasion de constater si le film avait vieilli puisqu’il reste encore à ce jour inédit en DVD en France), Xavier Durringer a depuis une vingtaine pris le parti d’alterner les films de cinéma et les productions destinées à la télévision. Après avoir réuni plus de quatre millions de français à la TV avec La mort dans l’âme début 2018, Durringer a orchestré son grand retour au polar avec Paradise beach, qui sonne vraiment comme un « retour aux sources », d'autant que comme dans le cas du film de 1997, il co-signe le scénario avec Jean Miez, ex-gangster et ex-taulard reconverti dans le cinéma.

Test Blu-ray : Le gardien des mondes

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Le petit monde du DTV – ou « Direct to Video » – voit régulièrement débarquer de Russie de grands films de divertissement, conçus comme de véritables blockbusters à l'américaine. Il semble en effet que depuis une quinzaine d'années on assiste à une nouvelle vague de cinéma populaire russe, fabriquée comme une réponse au « monopole » made in U.S.A. sur le divertissement. Au programme de ces blockbusters à la Russe : de l'action, des effets spéciaux, et encore plus d'action et d'effets spéciaux. Les genres abordés sont la science-fiction, le fantastique, les super-héros et parfois même l'horreur ; c'est encore mieux d'ailleurs si on peut mélanger tous les genres, dans une espèce de gloubi-boulga à l'esthétique « clippesque » basant tout sur le rythme et le grand spectacle.

Test Blu-ray : Cérémonie sanglante

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En France, ce que l’on connaît du cinéma de Jorge Grau se résume globalement à un seul film : le très intéressant – quoiqu’un peu surfait – Massacre des morts-vivants, un film de zombies à la sauce hippie / écolo sont la réputation a largement traversé les frontières. S’il s’agit probablement du film qui lui permettra d’atteindre une certaine forme d’immortalité, Jorge Grau est pourtant le réalisateur d’une petite vingtaine de longs-métrages, dont la distribution s’est le plus souvent limitée à son seul pays, l’Espagne.

Test Blu-ray : Le placard – Réédition 2019

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Trois ans après l’immense succès du Dîner de cons, Francis Veber remettait le couvert avec Le placard, une nouvelle comédie mettant en scène le personnage – récurrent dans sa filmographie – de François Pignon, cette fois incarné par Daniel Auteuil. Malgré une affiche atrocement laide, le bouche à oreille fut excellent et le succès fut à nouveau au rendez-vous, le film ayant réuni plus de cinq millions de français dans les salles françaises en 2001.

Test Blu-ray : Destroyer

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« The times they are a-changin' » chantait Dylan, les temps changent, et ce qui faisait le « buzz » hier ne le fera plus forcément aujourd’hui. En 2003, quand Charlize Theron prenait le risque de s’enlaidir dans Monster, elle récoltait illico une nomination à l’Oscar, et remporterait d’ailleurs la prestigieuse statuette quelques mois plus tard. En 2018, quand Nicole Kidman a fait la même chose dans Destroyer, elle n’a finalement rencontré qu’une indifférence polie : sa prestation et sa performance physique semblent avoir laissé les médias de marbre, même si elle a tout de même été saluée par une nomination aux Golden Globes. Pourtant, on ne pourra que saluer le boulot des maquilleurs ayant œuvré sur le film de Karyn Kusama, dans le sens où ils sont parvenus à rendre un visage à peu près « humain » à l’actrice de 51 ans, dont l’apparence physique (nez, pommettes, lèvres, front…) semblait depuis quelques années plutôt modelée dans le but de ressembler à une extra-terrestre.

Test Blu-ray : Le plein de super

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Cinéaste de l’intime, ayant développé au fil des années une approche unique et personnelle du cinéma, à la lisière de l’artisanat et du documentaire, Alain Cavalier ne tourne plus depuis plusieurs années qu’en indépendant, livrant de façon régulière des films inclassables et épurés, dégagés de toutes les contraintes narratives et formelles du cinéma dit « traditionnel ».

Test Blu-ray : Lucky man – Saison 2

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Création originale, imaginée par Stan Lee pour le petit écran et développée avec le concours de Neil Biswas, la série Lucky man a créé la surprise en 2016, pour la simple et bonne raison qu’il ne s’agissait pas à proprement parler d’une série de super-héros. Cependant, le cheminement du personnage principal, qui héritait d’un mystérieux bracelet lui donnant littéralement une chance de cocu, tenait bel et bien de l’origin story classique et propre à la plupart des films de super-héros : le personnage de Harry Clayton (James Nesbitt) passait en effet une partie de la première saison à découvrir l’étendue de son pouvoir, puis à l’apprivoiser – l’utilisation d’un « grand pouvoir » impliquant, comme toujours chez Stan Lee, de « grandes responsabilités », la série posait bien sûr en filigrane la question de la morale et de l’usage à tirer de ce pouvoir mystérieux venu de nulle-part.

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