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Oscars 2024 : les présentateurs

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Doucement mais sûrement, la saison des prix 2023/24 touche à sa fin. Comme presque tous les ans, c'est la cérémonie des Oscars qui clôt ces quelques mois de prix préliminaires, de campagnes effrénées et de pronostics hasardeux. La 96ème édition aura lieu dans un peu plus de deux jours, dans la nuit de dimanche à lundi, heure de Paris.

Critique : Ant-Man et la Guêpe Quantumania

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Cela faisait longtemps qu'on ne s'était pas laissé tenter par un film de super-héros. Déjà bien avant la crise sanitaire, nous avions été profondément blasés par ces univers interchangeables et ces histoires répétitives, peu importe qu'ils prennent leur origine du côté des bandes dessinées Marvel ou DC Comics.

Golden Globes 2021 : les nominations cinéma

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Avec l'annonce ce matin des nominations pour la 78ème édition des Golden Globes, l'association de la presse étrangère à Hollywood a clairement basculé dans le camp du virtuel. Non seulement, les noms des heureux élus ont été communiqués sous forme de visioconférence par les actrices Sarah Jessica Parker (quatre Golden Globes pour la série « Sex and the City ») et Taraji P. Henson (Golden Globe en 2016 pour la série « Empire »).

Test Blu-ray : Maléfique 2 – Le pouvoir du mal

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Les films produits par Disney se suivent et ne se ressemblent pas : après le carton international du Roi lion en 2019 (1,65 milliard de dollars de recettes, 9,7 millions d’entrées en France), qui précédait de peu l’autre carton constitué par La reine des neiges II (1,43 milliard de dollars de recettes, 7,4 millions d’entrées en France), on avait vu débarquer sur les écrans Maléfique 2 : Le pouvoir du Mal, une nouvelle aventure d’Angelina Jolie dans la peau de la sorcière la plus iconique de la maison Disney – une fausse méchante qui, on le rappelle, avait sorti elle-même la Belle au bois dormant de son sommeil forcé dans le film de 2014. Maléfique en 2014, c’était 760 millions de dollars de recettes (830 après l’exploitation du film en vidéo), et deux millions de spectateurs en France. En 2019, Maléfique 2 : Le pouvoir du Mal n’a quant à lui cumulé « que » 477 millions de dollars, et réuni 2,6 millions de français dans les salles. Les adeptes hexagonaux augmentent, mais paradoxalement, le film a rapporté moitié moins que l’original aux Etats-Unis. Les chiffres sont déjà fracassants, mais on suppose qu’avec l’habitude des recettes dépassant régulièrement le milliard, la boite à Mickey doit franchement tirer la gueule à moins de 300% de rentabilité de nos jours. Dans les bureaux de Disney, des têtes vont tomber !

Gotham Awards 2018 : les nominations

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Les nominations pour les 28èmes Gotham Awards ont été annoncées la semaine dernière. Organisés par l'association The Independent Filmmaker Project basée à New York, ces prix tentent de promouvoir le cinéma américain indépendant en amont de la saison des prix de cinéma, qui commencera réellement au mois de décembre.

Test Blu-ray : Grease + Grease 2

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Évoquer par le menu les qualités et les défauts cinématographiques d’un film tel que Grease, quarante ans après sa sortie dans les salles obscures, ne semble pas très pertinent. Film culte de la génération des auditeurs de Nostalgie, proposant sur sa bande originale une série de titres devenus de véritables « classiques » de la chanson populaire, Grease a toujours rencontré un immense succès dans le monde entier. 5,3 millions d’entrées en France en 1978, auxquelles s’ajouteront près de 400.000 entrées supplémentaires lors de sa ressortie « 20ème anniversaire » en 1998 : les français aiment le film de Randal Kleiser, qui a largement contribué à entériner la popularité de John Travolta, révélé en 1977 avec La fièvre du samedi soir, et révélé Olivia Newton-John, qui s’offrirait de fait une carrière éclair de quelques années en dehors des seules frontières américaines.

Test Blu-ray : Le crime de l’Orient-Express

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Avec l’un des romans les plus connus d’Agatha Christie, Kenneth Branagh se retrouve devant et derrière la caméra, offrant au célèbre Hercule Poirot une incarnation très personnelle, dénuée de tout académisme. (...) Le prologue du Crime de l'Orient Express donne déjà une idée claire de la personnalité du nouveau Poirot, fidèle à ce que l’on en connaît mais plus complexe. Cette ouverture enjouée et précise souligne son tempérament quasi-maniaque, son esprit de déduction inégalé mais aussi ses nouvelles bacchantes, assez magistrales. Il est dépeint comme un être bienveillant qui voit le monde tel qu’il devrait être et en repère les imperfections pour les corriger. Son code moral est rigide, il désapprouve le meurtre sous toutes ses formes et ne tolère aucune exception. Farouchement attaché à la notion de bien et de mal, il devra pourtant revoir ses certitudes. Le récit s’ancre d’ailleurs plus sur la psychologie de Poirot et de ses proies que sur la résolution d’un assassinat. Ici, il est un homme avant tout porté par une forme de mélancolie sourde devant faire face au plus grand dilemme de sa carrière.

Test Blu-ray : Mother !

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Nous sommes ici dans cette catégorie pas si fréquente de films n’ayant pas peur de l’outrance et de la grandiloquence, au risque de perdre une partie des spectateurs. C’est le risque que prend le cinéaste à vouloir à tout prix faire le contraire de ce que l’on peut attendre de lui, et cela prend des proportions particulièrement extrêmes dans le cas présent. Il est donc difficile, en sortant de la séance, d’émettre un avis constructif et réfléchi sur une œuvre totale, dans ce que le terme a de plus absolu, à savoir le fruit du travail d’un véritable artiste paniqué à l’idée de tomber dans le consensuel, et n’hésitant pas, pour arriver à ses fins, à malmener son public, quitte à déraper par instants dans le sordide le plus total, à travers une scène en particulier, qui fera grincer pas mal de dents, et devrait au passage faire claquer quelques sièges.

Critique : Mother !

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Pour une fois, la promotion avait bien soigneusement évité de dévoiler tout élément pouvant donner un aperçu trop large de ce qu’était le film, et que le spectateur retrouve donc ce plaisir devenu si rare d’entrer dans une salle de cinéma sans savoir à quoi s’attendre, ce qui, dans le cas présent, n’est pas sans installer un climat pour le moins inconfortable. Et c’est un doux euphémisme …

Test Blu-ray : Cheeseburger film sandwich

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Malgré ce que son titre, opportunément choisi par les distributeurs français, pouvait laisser supposer, Cheeseburger film sandwich (1987) n’était pas, au départ du moins, la suite « officielle » de Hamburger film sandwich (1977). Néanmoins, plusieurs éléments les rapprochent l’un de l’autre : outre la présence derrière la caméra de John Landis et de Robert K. Weiss à la production, la « forme » des deux films est assez similaire : celle d’un long zapping protéiforme et hétérogène pensé comme une satire de la TV américaine. Si d’autres films ont d’ailleurs également choisi ce concept, prétexte à des enchainements ininterrompus de sketches délirants – on pense notamment à Faites-le avec les doigts (The groove tube, Ken Shapiro - 1974), à Télé ringards (UHF, Jay Levey - 1989), ou encore à News movie (The Onion movie, Tom Kuntz & Mike Maguire - 2008) – Hamburger et Cheeseburger film sandwich semblent dorénavant à jamais liés, à tel point que même le site de référence IMDb les connecte l’un avec l’autre comme faisant partie d’une seule et même « franchise ».

Un film Harley Quinn en préparation !

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Alors qu'une suite à Suicide Squad est dans les cartons, ainsi qu'un prochain film Batman, La Ligue des Justiciers et d'autres spin-off en tout...

Test Blu-ray : Série noire pour une nuit blanche + La...

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La mort inattendue de David Bowie début janvier 2016 aura peut-être précipité les sorties en vidéo de films que personne ne s’attendait réellement à voir poindre le bout de leur nez en Blu-ray avant longtemps. Quelques semaines après L’homme qui venait d’ailleurs, sorti début mai chez Potemkine (lire notre article), voici donc arriver sur support Haute Définition deux films peut-être un peu rapidement estampillés « David Bowie », mais qu’Elephant Films a au moins le mérite de sortir de l’oubli : une sortie composée de Série noire pour une nuit blanche (John Landis, 1985) et de La féline (Paul Schrader, 1982). Deux films n’ayant à priori rien à voir l’un avec l’autre, mais pour lesquels l’éditeur propose des (superbes) visuels et (passionnants) suppléments couplés, se répondant l’un l’autre.