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Test Blu-ray : La chasse à l’homme

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Sorti sur les écrans en septembre 1964, La chasse à l'homme était déjà, mine de rien, le neuvième long-métrage d'Édouard Molinaro en l'espace de six ans. Et comme sur tous ses films tout au long des années 60, le cinéaste s'avère assez bluffant dans la façon...

Test Blu-ray : Des pissenlits par la racine

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Des pissenlits par la racine est un film tourné rapidement, à l’économie, par un Georges Lautner pas encore auréolé de ses plus grands succès publics. Pour autant, il se révèle déjà une merveille de précision et de tempo comique, un véritable travail d’orfèvre, nous proposant une harmonie totale et absolue entre la mise en scène de Lautner et l’écriture de Michel Audiard.

Vu sur OCS : Le Baron de l’écluse

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On ne peut que regretter amèrement que le cinéma français contemporain ne dispose plus d'un grand acteur populaire de la carrure de Jean Gabin ! Alors que sa filmographie d'après-guerre ne comporte quasiment plus de chefs-d'œuvre de l'avant-garde du cinéma français, elle est riche en rôles taillés sur mesure pour ce comédien hors normes.

Vu sur OCS : Tendre poulet

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Ça commence comme une comédie romantique au fort accent burlesque. Un homme et une femme se rencontrent, tout à fait par accident, puisque elle, en voiture, a failli le renverser, en mobylette, sur un carrefour dont la circulation était vaguement ordonnée par des feux.

Test Blu-ray : Faut pas prendre les enfants du bon dieu...

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Si Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages constitue la première expérience de Michel Audiard en tant que réalisateur, en 1968, le « style Audiard » était déjà parfaitement rôdé, entre le polar et le cartoon.

Test Blu-ray : 125 rue Montmartre

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125 rue Montmartre est un récit de machination, qui invitera le spectateur à se plonger dans les arcanes d’un mystère tout droit issu d’un roman policier – littéralement parlant d’ailleurs, puisque le film de Gilles Grangier est adapté du roman éponyme d’André Gillois, publié chez Hachette en 1958. Malgré la belle collection affichée dans l’appartement de Dora Doll dans le film, le roman d’origine ne faisait pas partie de la fameuse « Série Noire » de chez Gallimard – mais il en est un cousin pas très éloigné, de la même façon que le film de 1959 s’avère forcément à sa manière un peu cousin du Film Noir américain. Les clins d’yeux aux U.S.A. sont d’ailleurs assez explicites dans le film de Grangier, avec le personnage de Lino Ventura arborant une belle paire de Converse, le commissaire et sa cartouche de Chesterfield…

Noël approche : une sélection de coffrets DVD pour les fêtes

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Les fêtes de Noël approchent à grands pas, et comme tous les ans, les éditeurs vidéo français participent à la liesse générale et s’invitent dans votre salon, entre le foie gras et la bûche pâtissière. Vous n’aviez pas d’idée afin de faire plaisir à Tonton Roger, ou au petit dernier, dont la passion première semble être de vous glisser son doigt mouillé dans l’oreille en déclamant des vers de Maître Gims ou d’Aya Nakamura ?

Test DVD : Comment réussir… quand on est con et pleurnichard

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Co-écrit par Jean-Marie Poiré et Michel Audiard, qui en assurait bien évidemment les dialogues, Comment réussir quand on est con et pleurnichard est un des films les plus « mal aimés » de la carrière de Michel Audiard.

Test Blu-ray : Les tontons flingueurs – Réédition 2017

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S’il n’est probablement ni le plus maitrisé ni même le plus drôle parmi les nombreux films qu’auront signé, en tandem, Georges Lautner et Michel Audiard, Les tontons flingueurs est néanmoins rapidement entré dans la « légende » du cinéma français, et demeure encore aujourd’hui une comédie bien tenue, à l’impact durable et aux punchlines souvent hilarantes.

Deux films de cape et d’épée en Blu-ray chez Pathé

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La glorieuse tradition du cinéma de genre n’a jamais été extrêmement développée à l’intérieur des frontières françaises. Néanmoins, dans les années 50/60, à la faveur de quelques productions internationales (franco-italiennes surtout) made in Cinecittà, le cinéma français s’est laissé aller à quelques titres flirtant volontiers avec le cinéma de genre tendance populaire. Ainsi, les films de cape et d’épée et autres romances historiques ont fait durant de nombreuses années la joie des cinémas de quartier, avec des films le plus souvent interprétés par Jean Marais ou Gérard Barray.

Test Blu-ray : Mortelle randonnée

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S’il est probablement le film que Claude Miller aimait le moins au sein de sa filmographie, Mortelle randonnée constitue un « lien » indispensable entre deux pans de son œuvre, un trait d’union réunissant au cœur d’un polar surréaliste d’une richesse incroyable une partie des acteurs qui peuplaient ses premiers films (Patrick Bouchitey, Michel Such), se mêlant à la « bande » créée autour de Garde à vue (Michel Audiard, Michel Serrault, Guy Marchand). C’est également le film qui a fait prendre conscience à Miller de la direction qu’il désirait réellement faire prendre à sa carrière – après les expérimentations formelles pratiquées sur ce film, on ne trouvera plus dans sa filmographie de traces de ce genre de photographie léchée et de plans composés avec un soin maniaque par le chef opérateur Pierre Lhomme pour flatter les pupilles du spectateur.

Test Blu-ray : Garde à vue

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Avant d'être le face à face que tout le monde connait entre deux acteurs au sommet de leur Art (Michel Serrault et Lino Ventura), Garde à vue s'imposait comme le film de toutes les contraintes pour Claude Miller. Après deux films aussi intimistes que réellement lumineux, le cinéaste abordait en effet un long-métrage paraissant à mille lieux de son univers esthétique : adapté d'une série noire, tourné en studio, sur le principe du huis-clos et sur une partition de dialogues extrêmement précise signée Michel Audiard... Qui aurait cru qu'en 1981, en acceptant ce film « de commande », très éloigné de l'univers de ses deux premiers longs-métrages, Claude Miller signerait avec Garde à vue un des plus grands classiques du cinéma français ?