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Critique : Quai des Orfèvres

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On ne le dira jamais assez, Henri-Georges Clouzot est un grand et même un très grand réalisateur. Comme preuve supplémentaire, après notre découverte enthousiaste des Espions la semaine dernière, on citera Quai des Orfèvres.

Critique : Les Espions

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Les Espions n'est certes pas le film le plus connu de Henri-Georges Clouzot. Arrivé dans la continuité directe du Salaire de la peur et des Diaboliques, il a rétrospectivement été éclipsé par ces deux œuvres phares de la filmographie du réalisateur. Et pourtant, il s'agit d'un thriller par excellence, d'un malicieux jeu du chat et de la souris ouvrant beaucoup de portes sans jamais indiquer la sortie.

Test Blu-ray : L’enfer

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Avec L'enfer, Claude Chabrol nous livre une illustration froide et clinique du concept de jalousie maladive, ici éprouvée par un homme en perte de repères, ressentant un sentiment d'insécurité chronique qui le mènera peu à peu vers la schizophrénie.

Test Blu-ray : La vérité

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La découverte – ou redécouverte – tardive de La vérité, soixante ans après sa sortie originale dans les salles françaises, a quelque chose de vraiment fascinant. Antépénultième film d'Henri-Georges Clouzot, ce film de procès construit comme un vibrant portrait de femme

Test Blu-ray : Les espions

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Film assez mal connu de la carrière d’Henri-Georges Clouzot, Les espions garde l’étrange réputation d’un film opaque, à l’intrigue extrêmement complexe, voire même incompréhensible. C’est vrai, le récit imaginé par Clouzot et son coscénariste Jérôme Géronimi (très librement inspiré d’un roman d’Egon Hostovsky)

Les sorties du 8 novembre 2017

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Une fois de plus, beaucoup d'appelés, mais peu d'élus dans le programme cinéma de cette semaine, où près d'une vingtaine de nouveaux films se bousculent sur nos écrans, sans que s'en dégage une sélection d'incontournables clairement définie. Notre coup de cœur de la semaine est donc un peu par défaut le sixième film de Gaël Morel, un réalisateur dont la sensibilité nous touche certes, mais qui a également su nous décevoir par le passé.

Test Blu-ray : H.G Clouzot restauré en 4K

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En parallèle du coffret « Clouzot - L'essentiel » disponible depuis le 24 octobre, TF1 Vidéo vient de proposer, dans sa collection dédiée au patrimoine TF1 Studio, deux des plus grands films d’Henri-Georges Clouzot dans des Blu-ray restaurés 4K : Le salaire de la peur (1953) et Les diaboliques (1955). Deux chefs d’œuvre absolus attendus de pied ferme par nombre de cinéphiles français…

Festival Lumière 2017 : la sélection officielle

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Paris est incontestablement la capitale française du cinéma. Nulle part ailleurs en France, les spectateurs peuvent bénéficier d'un si large choix de films, sorties récentes et œuvres du patrimoine, à un prix abordable et à presque chaque heure de la journée. Il existe cependant deux périodes par an, où cette hégémonie cinéphile s'effrite quelque peu : au mois de mai, lorsque les critiques se précipitent au Festival de Cannes et – dans une moindre mesure et principalement pour les férus de classiques d'époques révolues – en octobre, pour le Festival Lumière à Lyon.

La Cinémathèque Française à l’automne 2017

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La Cinémathèque Française a rouvert ses portes hier, après la pause estivale habituelle pendant quatre semaines au mois d'août. C'est l'occasion pour vous présenter la dizaine de cycles qui rythmeront cette saison automnale 2017 du côté de la rue de Bercy. La seule nouveauté tarifaire de la saison est le Libre Pass Duo, qui permet un accès quasiment illimité aux activités de la Cinémathèque pour deux personnes au prix de 19 € par mois pour un engagement minimum d'un an.

Ben Wheatley dirigerait une nouvelle adaptation du Salaire de la peur

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Le réalisateur anglais serait en négociations pour diriger un remake du classique de Henri-Georges Clouzot, Le Salaire de la peur, sorti en 1953, un...

Critique : Sorcerer

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La filmographie de William Friedkin est ponctuée d’œuvres qui n’ont pas su tenir toutes leurs promesses, d’un point de vue soit artistique, soit commercial. Depuis Les Garçons de la bande, l’un des premiers films à oser présenter des personnages homosexuels sous un jour plutôt positif, quoique désespérément caricatural, jusqu’à ses deux derniers films, Bug et Killer Joe qui n’ont pas enthousiasmé Hollywood alors qu’ils montraient une vigueur créatrice insoupçonnée chez le réalisateur bientôt octogénaire, en passant par le coup double de succès démesurés de French Connection et L’Exorciste, puis un autre démêlé avec la communauté homosexuelle autour de Cruising et la survie de sa carrière sous perfusion grâce au soutien de son épouse, dirigeante de Paramount, le parcours en dents de scie du réalisateur est presque plus passionnant que ses films pris séparément.

Festival de Cannes 2015 : France 3 – Italie 0

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Après de longues années de diète, le cinéma français retrouve la forme avec une troisième Palme d'or en huit éditions pour Jacques Audiard avec...