Festival de Cannes 2013 – Journal de bord 3, dimanche 18 mai 2013

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signatureCe dimanche 18 mai marque le grand retour du roi soleil sur la croisette, heureusement qu’il était là pour nous remonter le moral car notre journée fut une catastrophe avec au final un seul film visionné, Borgman en compétition officielle.

Comment passer une mauvaise journée au festival de Cannes : se réveiller avec la gueule de bois et peu d’heures de sommeil, être refoulé de la projection de 11h d’Inside Llewyn Davis des frères Coen, ne pas entrer à la projection de Blood Ties de Guillaume Canet et galérer pour monter sur le tapis rouge.

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Heureusement au milieu de toutes ces galères nous avons eu droit à notre bouffée d’oxygène. La rencontre avec Marina, notre célèbre responsable de la partie « Séries TV » du site. Bien évidement on n’était pas là pour rigoler puisque Nico et moi profitions de cette occasion pour lui faire passer son bilan annuel des compétences (et oui on est de vrais pros !). Un bilan mitigé mais étant donné que Marina nous a cordialement payé notre déjeuner (elle en veut cette petite) nous n’avons pu que prolonger son contrat au sein de Critique-film.fr.

Après un déjeuner d’affaire hautement productif à coup de blagues potaches et autres anecdotes croustillantes (et sans alcool s’il vous plaît), et un passage par le Palais des Festival afin de récupérer nos invitations pour Borgman. Une fois nos smokings enfilés, et le tapis rouge foulé avec notre classe légendaire. Nous voilà à la projection du très (peu) attendu Borgman (compétition officielle) qui va nous réserver bien des surprises…

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Borgman [rating:3]

Camiel Borgman surgit dans les rues tranquilles d’une banlieue cossue, pour sonner à la porte d’une famille bourgeoise. Qui est-il ? Un rêve, un démon, une allégorie, ou l’incarnation bien réelle de nos peurs ? Connaissez-vous le wtf movie (ou film what the fuck) ? Ce films totalement absurdes sans queue ni tête mais à fort potentiel jubilatoire ? Si Borgman est loin d’être léger dans son sujet, son traitement est tellement improbable (et la fatigue du festival aidant) qu’on tient une bonne surprise dans cette sélection cannoise ! Pour lire la critique complète c’est ici !

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