Critique : Les graines du figuier sauvage

Un film politique, un thriller haletant. Au total, un grand film.

Critique: The Bikeriders

Malheureusement très convenu, le dernier film de Jeff Nichols ne sera pas l’occasion d’heureuses retrouvailles. Celui qui enchantait dans “Shotgun stories”, “Mud” ou “Take shelter” en mélangeant Americana prolétaire et magie de l’enfance a perdu tout son mordant.

Critique : Les 39 marches

Comme la plupart des cinéphiles le savent, avant de devenir le maître du suspense et l'une des figures incontournables du cinéma hollywoodien des années 1940, '50 et '60, Alfred Hitchcock avait appris son art dans son pays natal auprès d'une industrie du cinéma britannique alors en plein essor.

Critique : Tatami

Efficace sans être révolutionnaire, Tatami attire énormément de sympathie par le dynamisme de sa mise en scène (malgré une économie de moyens apparente) à travers un message puissant et une foi aveugle dans le pouvoir de représentation du cinéma.

Critique : La Garçonnière

Parfois, Billy Wilder, ce grand cynique, avait su viser juste, entre le conte au vitriol et un regard plein de tendresse, porté sur les hommes et les femmes qui se tuent à courir après leur idéal, romantique ou matériel. Il n'avait peut-être jamais rempli son rôle de commentateur mi-amusé, mi-dégoûté de la société américaine avec plus de maestria que dans La Garçonnière, qui lui avait valu une flopée d'Oscars en 1961.

Critique : Les Deux cavaliers

Au début des années 1960, alors qu'il avait atteint l'âge de partir sereinement à la retraite, on aurait pu croire que John Ford ne réalise plus que des films doucement crépusculaires. Or, juste après Les Deux cavaliers, il allait créer son dernier chef-d'œuvre absolu, L'Homme qui tua Liberty Valance.

Critique : Toubib

Le documentariste Antoine Page a pris la décision de filmer son jeune frère Angel tout au long de ses études de médecine. 350 heures de rushs et un montage qui a duré 6 mois

Critique : Saravah

Que peut-on espérer d’un grand moment de cinéma documentaire, si ce n’est la photographie d’un moment magique capturé pour nous dans le temps ? C'est ce que nous offre Saravah.

Critique Express : Push it to the limit

Oui, c'est un film noir,  non, ce n'est pas seulement un film noir.

Critique : Girls will be girls

"Girls will be girls" est le premier long métrage de Shuchi Talati, une jeune réalisatrice indienne dont les deux court-métrages qu'elle avait déjà réalisés auparavant montraient déjà son intérêt pour la remise en question des idées préconçues sur le genre, la sexualité et l'identité de son pays.

Critique : Emilia Pérez (Deuxième avis)

Avec "Emilia Perez", son dixième long métrage, récompensé au dernier Festival de Cannes par le Prix du Jury et un prix d'interprétation féminine obtenu collectivement par les 4 têtes d'affiche du film,Jacques Audiard s'est écarté encore plus que d'habitude de tout ce qu'il avait déjà réalisé dans le passé tout en restant fidèle aux thèmes qui lui sont chers, la paternité et la transmission de la violence.

Critique : Hijo de sicario

Est il possible de s'opposer à la fatalité ? Est-il possible de changer de vie ?

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La Vie, l’amour… les vaches, réalisé par Ron Underwood en 1991, fait partie de ces comédies qu’on croyait définitivement rangées au rayon des petits classiques injustement oubliés qui retrouvent aujourd’hui une vigueur insoupçonnée.

Critique Express : Deux procureurs

Quand bien même l'action de "Deux procureurs" se déroule en 1937, il parait évident que Sergueï Loznitsa a choisi de nous parler de la Russie des années 2020 : le dictateur n'est plus le même mais la volonté d'imposer sa détermination politique par la violence est identique.

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Et maintenant on l'appelle El Magnifico s’inscrit dans cette veine décalée du western italien post-Leone, où les cowboys ont des tics de comédie burlesque et les méchants des tronches de syndicalistes en fin de carrière.

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