Critique : La Loi de la jungle

Antonin Peretjatko nous régale avec "La Loi de la jungle", un film jouissif, complètement déjanté, un film qui fonce à bride abattue mais que son réalisateur arrive à maîtriser du début jusqu'à la fin.

Critique : L’Idéal

"l'Idéal" s'avère à la fois excitant et irritant. C'est dans le scénario que résident les défauts les plus flagrants du film, en particulier en ce qui concerne l'articulation entre les différentes séquences du film.

Critique : Cinéma Paradiso

Viva il cinema ! En art de la représentation par excellence, le cinéma s’emploie depuis toujours à se célébrer lui-même, dans un éternel retour sur soi narcissique. Ce penchant nombriliste a produit pourtant certains des plus beaux films qui soient.

Test DVD : La Terre et l’ombre

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Avec César Acevedo, la Colombie abrite un réalisateur dont "La Terre et l'ombre", premier film très réussi, annonce de futures grandes œuvres.

Critique : Folles de joie

Entre drame et comédie, entre rires et larmes, Paolo Virzi se sort avec les honneurs d'un sujet difficile à traiter grâce, en particulier, à deux comédiennes parfaitement à l'aise dans des rôles de femmes pas très bien dans leurs têtes, amochées par la vie et les médicaments.

Critique : Peshmerga

Bernard-Henri Lévy à la rescousse, troisième. Tous les grands conflits militaires paraissent en effet bons aux yeux du philosophe français pour y mettre son grain de sel, aussi futile et fade soit-il. Après avoir documenté la bataille de Sarajevo et la guerre en Libye, le voici donc en train de parcourir du sud au nord la ligne de front entre les vaillants peshmergas kurdes et leurs adversaires fourbes et lâches de l’état islamique.

Critique : Mr Gaga Sur les pas d’Ohad Naharin

Les mouvements du corps sont sans limite. Alors que le ballet classique l’enferme dans le catalogue restreint des pas et des sauts autorisés, la technique mise au point par le chorégraphe Ohad Naharin vise au contraire à le libérer de toute contrainte pour guider ses danseurs vers une expression libre et instinctive de leur personnalité.

Critique : Le Ruban blanc

Personne ne sait mieux évoquer le malaise inhérent à la condition humaine que Michael Haneke. Le genre de nihilisme qu’il pratique de film en film et sans le moindre état d’âme vous glace le sang, mais il fait simultanément preuve d’une grande lucidité, voire de la sagesse désabusée propre à l’homme qui ne se fait plus d’illusions sur la bonté et l’altruisme de ses semblables.

Critique : The Neon Demon (Cannes 2016)

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Cinq ans après l'énorme succès Drive (révélation internationale) et 3 ans après only God Forgives (film beaucoup plus personnel), Nicolas Winding Refn est de retour. The Neon Demon est un film d'horreur au style ultra-personnel, surréaliste et planant. Une oeuvre fascinante.

Critique : Café Society (Cannes 2016)

Année après année, Woody Allen revient, infatigablement, avec une nouvelle romance dramatique ou comique. Il a ouvert pour la troisième fois cette année le Festival de Cannes avec sa nouvelle production portée par un beau trio : Jesse Eisenberg (The Social Network), Kristen Stewart (Blanche Neige et le Chasseur) et Steve Carell (The Big Short).

Critique : le lendemain

Dans ses meilleurs moments, "Le Lendemain" arrive à faire penser à certaines œuvres de Haneke, celles de ses débuts autrichiens

Critique : Apprentice

Sur le sujet de la peine de mort, "Apprentice" est un film d'une grande force, un film grave sans être pesant.

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Critique Express : Les échos du passé

lorsqu'un film s'avère à la fois prétentieux et incompréhensible pour le commun des mortels, il devient très difficile de lui trouver le moindre plaisir ou le moindre intérêt

Critique Express : Los Tigres

Un seul des 4 volets que le réalisateur s'efforce avec plus ou moins de succès à faire cohabiter dans son film s'avère pleinement satisfaisant.

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Le monstre Gamera naît en 1965, et dès le premier film de la saga Gamera produit par la Daiei, il flottait déjà dans l’air la vague impression qu’à l’image de son grand frère Godzilla, la tortue géante n’était pas simplement une créature sortie d’un cauchemar reptilien, mais une métaphore ambulante de la peur nucléaire.