Critique : Le Cri du sorcier
e Shout / Cri du sorcier n’est pas l’oeuvre de Skolimowski qui a le mieux résisté au temps mais reste à découvrir, pour sa capacité à transcender la campagne anglaise, pour ses comédiens dont la regrettée Susannah York, belle et fascinante ou Alan Bates, aussi terrifiant qu’envoûtant et pour l’audace formelle d’un des plus grands cinéastes de sa génération.
Impardonnables
Impardonnable, André Téchiné l’aurait été de ne pas nous offrir ce nouveau film.
Numéro quatre
Numéro quatre est le nouveau film de D.J. Caruso à qui l'on doit les pas si mauvais Paranoiak et L' Œil du mal. Il revient avec un film plus ambitieux au budget conséquent, tiré d'un roman à succès de Jobie Hughes et James Frey. Un film fantastique pour adolescents adapté d'un roman, en voilà une idée originale... (Harry Potter, Twilight, Le Monde de Narnia, Eragon, Percy Jackson...).
Very Bad Trip 3
Suite au décès du père d'Alan, la bande décide de le forcer à soigner ses problèmes mentaux. Mais comme d'habitude, rien ne se passe comme prévu. Une fois arrivés à l'hôpital, les hommes se font attaquer et Doug est kidnappé. La rançon? Retrouver Mr. Chow en échange de la vie de Doug ...
Critique : L’Amour ouf
L'Amour ouf, film très ambitieux, s'affiche fièrement, sans hésitation, dans deux registres très différents : la comédie romantique et le thriller par moment particulièrement violent.
Les Voyages de Gulliver
Les Voyages de Gulliver est une comédie sortie en 2011. Le choix de la Century Fox de réaliser ce film à gros budget est plutôt étonnant. En effet, c'est Rob Letterman qui a été choisi pour mettre en scène cette histoire, on lui doit également les films Gang de requins et Monstres contre Aliens, des longs métrages pour enfants au succès mitigé. Pour incarner le héros Gulliver, c'est Jack Black qui a été sélectionné.
Critique : Né à Jérusalem (et toujours vivant)
Chaque maison a son histoire. Tout comme chaque rue et chaque quartier. Après, la question se pose si ce bagage accumulé au fil du temps vaut la peine d'être préservé et partagé sans distinction. Ou bien, la course à la valorisation touristique à tout prix, dans laquelle le monde s'était engagé presque sans réfléchir, avant le coup d'arrêt brutal de l'épidémie du coronavirus, n'est-elle pas l'un des symptômes parmi tant d'autres d'une humanité qui va mal ?
Critique : Affreux sales et méchants
A peu d'années près un contemporain des géants du cinéma italien que seront pour toujours Federico Fellini et Michelangelo Antonioni, le réalisateur Ettore Scola ne peut guère se prévaloir d'une filmographie aussi touffue que ses illustres confrères. Certes, il a été un chroniqueur hors pair de la société italienne du siècle dernier, quoique sans le regard acéré d'un Elio Petri ou d'un Francesco Rosi.
Critique : Autonomes
"Autonomes" est un film qui, en montrant des expériences de vie alternatives, permet aux spectateurs de réfléchir non seulement sur leur propre existence mais aussi sur le type d'organisation de la société qui leur parait la plus souhaitable.
Vu sur Ciné + : Wet Season
Il pleut sans cesse sur Singapour. Au moins à ce niveau-là, Wet Season porte bien son nom. Car sinon, il s'agit plus d'un drame intimiste, sans coup d'éclat mais animé par une très belle sérénité intérieure, que du brûlot à scandales que la bande-annonce voudrait nous vendre.
Critique : Asteroid City
Dans son onzième long-métrage, Wes Anderson fait essentiellement du Wes Anderson. C'est-à-dire qu'il nous présente une histoire aussi joliment décalée que tributaire d'une myriade de dispositifs cinématographiques, le tout porté par une distribution surabondante de noms prestigieux.
Critique : Hors-saison
Stéphane Brizé apporte une fois de plus la preuve qu'il est un des meilleurs réalisateurs français du moment, voire le meilleur.


















