El Estudiante ou Récit d’une jeunesse révoltée
Roque, jeune provincial, commence des études à l’Université de Buenos Aires. Peu motivé, il passe son temps à séduire les filles et errer dans la fac. C’est en tombant amoureux de Paula, une jeune enseignante engagée, qu’il va rencontrer le militantisme et devenir proche du syndicat étudiant. Avec Alberto, ancien politique, il va apprendre les codes et devenir un leader pour enfin trouver sa voie…
Critique : La Voie royale
Les Français et leurs grandes écoles, c'est une obsession empreinte d'ambiguïté dont le cinéma se fait régulièrement l'écho. Dans la plupart des cas, le combat à armes inégales entre l'élève aux aspirations et aux valeurs encore intactes et le rouleau compresseur de l'institution éducative se solde par l'échec cuisant du premier. Pendant longtemps, on pourrait croire que La Voie royale emprunte ce chemin tracé d'avance.
Critique : Une journée à Rome
Une nouvelle journée commence à Rome, la ville éternelle. Gina et Marco ont 19 et 20 ans et sont portés par l’exubérance de la jeunesse. Gina rêve d’entrer dans le monde du spectacle et doit rencontrer un homme politique influent qui pourrait lui ouvrir des portes. Marco l’accompagne au volant de sa berline noire, c’est son premier jour de travail. De la banlieue vers le centre historique de la ville, ils vont apprendre à se connaître, tomber amoureux, et vont ainsi basculer, peut-être un peu trop tôt et sans en avoir conscience, dans le monde des adultes.
Critique : The Impossible
L’histoire d’une famille prise dans une des plus terribles catastrophes naturelles récentes. The Impossible raconte comment un couple et leurs enfants en vacances en Thaïlande sont séparés par le tsunami du 26 décembre 2004.
A la Merveille
La France, Paris, le Mont-Saint-Michel… Neil (Ben Affleck) et Marina (Olga Kurylenko) partagent un amour passionné dans les lieux idylliques qu’ils parcourent, hors du temps, mais le retour à la réalité est bien morne et froid. Après que tous deux et la fille de Marina s’installent chez Neil, en Oklahoma, l’isolement grandit à mesure que la flamme s’éteint. Le soutien qu’elle cherche auprès du père Quintana (Javier Bardem), prêtre de la petite communauté, lui-même en proie au doute et à la solitude, ne l’aide pas à surmonter le quotidien. Elle décide finalement de retourner en France, mais elle n’est plus que l’ombre d’elle-même ; pendant ce temps-là, Neil vit une romance avec une amie d’enfance, Jane, mais quand Marina revient, il retourne dans ses bras, l’un voyant en l’autre l’amour absolu.
Test DVD : Los Hongos
Oscar Ruíz Navia et son co-scénariste César Acevedo insistent avec finesse sur la cohabitation de générations qui vivent sans conflit, du moins en apparence, dans des mondes qui n'ont pas grand chose en commun.
Critique : La communauté
"La communauté" est un film d'une telle force, d'une telle intensité qu'il fait partie des films à voir en priorité en ce début d'année.
Critique Express : La montagne
Pourquoi, au bout d'une heure, cet abandon d'un réalisme à la fois plein d'intérêt et esthétiquement réussi pour s'abandonner à un fantastique sans grande envergure ?
Critique : Music (Deuxième avis)
Si vous commencez à ne plus trouver votre compte dans le cinéma qui nous est proposé de nos jours, si vous avez tendance à le trouver trop souvent formaté, "Music", indéniablement, est fait pour vous.
Jess + Moss
Encore une fois durant le Festival de Deauville 2011, on nous présente un premier film. Réalisé, écrit et produit par Clay Jeter, 28 ans, Jess + Moss traite lui aussi de jeunes enfants esseulés après l'abandon physique des parents. Mais ce long-métrage semble beaucoup plus serein et personnel que les autres en compétition...
Critique Express : Le pion du général
Makbul Mubarak a cru que la solution pour arriver à un film de près de 2 heures consistait à compliquer inutilement l'intrigue avec, comme résultat, un récit d'une grande confusion.
Critique : ADN
Faire le deuil d'un proche n'est jamais facile. Ce n'est pas une chose qui se gère. Et si ces fameuses phases psychologiques que tout le monde connaît existent, c'est avant tout pour donner à l'individu endeuillé l'espoir que demain, après-demain, voire un jour lointain, ça ira mieux. Dans son cinquième long-métrage, Maïwenn s'approprie ce sujet délicat avec beaucoup de candeur.