Arras 2025 : L’Étrangère
Alors que l’on compte les réfugiés dans le monde par dizaines de millions, les films sur ces déplacés par la guerre ou la misère ont hélas la cote. Il n’y a pas un mois où les distributeurs français ne nous sortent pas une histoire touchante sur des femmes, des hommes et des enfants, partis de la Syrie, d’Ukraine, de la Palestine, du continent africain ou d’Amérique latine pour tenter leur chance en Europe ou aux États-Unis.
Critique Express : Reedland
"Reedland" permet de voir en Sven Bresser, dont c'est le premier long métrage, un réalisateur dont on devrait reparler dans le futur.
Sarlat 2025 : A pied d’œuvre
En France, en 2025, la précarité ne relève pas du mythe. Elle peut commencer, presque innocemment, par des difficultés à boucler les fins de mois. Pour se transformer tôt ou tard en une crise existentielle pouvant prendre de nombreuses formes dont aucune n’est édifiante ou plaisante à regarder.
Critique : Deux pianos
Sans vouloir nous enorgueillir d’être des spécialistes de sa filmographie, nous avons toujours perçu Arnaud Desplechin comme un cinéaste des états d’âme. Avec son quatorzième long-métrage de fiction, le réalisateur prend hélas un virage fâcheux vers des tourments irrémédiablement tortueux. Car au lieu d’être une œuvre âpre sur un virtuose musical en crise, Deux pianos devient bien trop vite une pénible histoire d’amour.
Critique Express : L’amour qu’il nous reste (Deuxième avis)
Hlynur Pálmason a choisi, pour son 4ème long métrage, de nous faire partager avec beaucoup de tendresse la vie d'une famille, une femme, un homme, 3 enfants, une chienne, qui, d'une façon plutôt paisible, est en train de se décomposer.












