Critique : Emmanuelle

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On peut entendre Audrey Diwan raconter en interview que c’est la lecture d’un passage du roman d’Emmanuelle Arsan et non le film de 1974 qui l’a lancée dans la réalisation d'Emmanuelle.

Critique : Les graines du figuier sauvage

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Un film politique, un thriller haletant. Au total, un grand film.

Critique : A Different Man (Deuxième avis)

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C’est avec un mauvais esprit revigorant que je me suis beaucoup amusé devant A Different Man. C’était une projection d’autant plus amusante que son humour noir très clivant, sert un peu de thermomètre quant à la réception du deuxième degré d’une salle de cinéma...

Critique Express : Norah

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Malgré la force de son sujet et les bonnes prestations de Maria Bahrawi et de Yagoub Alfarhan, ses deux interprètes principaux, "Norah" est s'avère peu passionnant, la faute au rythme particulièrement lent adopté pour sa réalisation et à une dramaturgie réduite à la portion congrue.

Critique Express : Prima la vita

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Les films centrés sur la relation entre une fille et son père ne sont pas si fréquents. Celui ci est réussi !

Albi 2024 : La Pampa

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En fonction de votre degré d'assiduité dans les salles obscures et devant les services de vidéo en ligne, votre parcours personnel de découverte du talent indéniable de l'acteur Sayyid El Alami va forcément varier. Peut-être l'avez-vous remarqué une première fois à partir de mai 2022 dans la mini-série « Oussekine » sur Disney+.

Critique Express : Rabia

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Le traitement quasi hollywoodien du sujet arrive très vite à ôter toute crédibilité à ce que l'on voit.
Honey PuPu de Hung-I Chen photos du film

Honey PuPu

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Hung-I Chen dans son film Honey PuPu saisit l’éphémère de manière philosophique. Des instants qui expirent, tout comme ses personnages. Le manque, causé par la disparition matérielle et humaine, est à venir.

La Roche-sur-Yon 2024 : Crossing Istanbul

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Traverser les frontières sans jamais arriver nulle part. Être à la recherche de quelqu'un et de soi-même sans jamais trouver ni l'un, ni l'autre. Tels sont les thèmes principaux de notre entrée en la matière tout à fait réussie au Festival de La Roche-sur-Yon.

Critique Express : Manas

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Sur le sujet important et sensible des abus sexuels sur des adolescentes, ce premier film de fiction tout en suggestion a souvent un parfum de documentaire.

Critique Express : Anna

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Si on tient à chercher la petite bête, on pourra trouver que Anna souffre de quelques longueurs inutiles, mais, face à ce qui est malgré tout un très beau film, on ne manquera pas de se féliciter d'avoir fait la connaissance d'une jeune comédienne de très, très grand talent, Rose Aste, l'interprète d'Anna.

Critique Express : Last stop : Yuma County

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Un film qui n'a pas à rougir de la comparaison avec les films de Quentin Tarantino et ceux des frères Coen.

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Critique Express : On vous croit

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"On vous croit" est un grand film qui ne peut que bouleverser les spectateurs les plus endurcis.

Test Blu-ray : The Last of Us – Saison 2

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The Last of Us – Saison 2 ne fait pas dans la dentelle narrative. Après une première saison saluée comme le messie sériel post-apocalyptique, cette suite prend un virage à 180° dès le deuxième épisode...

Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

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A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.