César 2015 : présélection des courts d’animation en salle
Suite de la présentation en salle à Paris des courts-métrages en présélection aux César 2015 afin de permettre au public et aux votants de...
Reprise du palmarès du Festival d’Annecy 2014 à Paris
Comme chaque année le Forum des Images à Paris reprend le palmarès du Festival d'Annecy avec notamment le Cristal d'or du meilleur long-métrage, Le...
Happy Feet 2
Après un premier volet très apprécié des petits comme de certains grands, Happy Feet revient sur nos écrans avec un deuxième épisode nous racontant l'histoire d'Erik, le fils de Mumble, héro du premier volet.
Cannes 2016 : Ma vie de courgette – Quinzaine
Ma vie de courgette
Suisse, France, 2016
Titre original : -
Réalisateur : Claude Barras
Scénario : Céline Sciamma
Acteurs (voix) : Gaspard Schlatter, Michel Vuillermoz
Distribution : Gebeka Films
Durée : 1h06
Genre...
Batman – Year One
Un nouveau dessin animé sur Batman, narrant comment le milliardaire Bruce Wayne tire sa force du traumatisme concernant la mort de ses parents pour devenir un justicier casse-cou tandis que le policier James Gordon devient quant à lui un fervent défenseur de Gotham City, ville décadente corrompue de toutes parts. Un direct-to-dvd impressionnant dont on ressort sacrément secoué !
Rebelle
Depuis la nuit des temps, au cœur des terres sauvages et mystérieuses des Highlands d’Ecosse, récits de batailles épiques et légendes mythiques se transmettent de génération en génération. Merida, l’impétueuse fille du roi Fergus et de la reine Elinor, a un problème… Elle est la seule fille au monde à ne pas vouloir devenir princesse ! Maniant l’arc comme personne, Merida refuse de se plier aux règles de la cour et défie une tradition millénaire sacrée aux yeux de tous et particulièrement de sa mère. Dans sa quête de liberté, Merida va involontairement voir se réaliser un vœu bien malheureux et précipiter le royaume dans le chaos. Sa détermination va lui être cruciale pour déjouer cette terrible malédiction.
L’étrange pouvoir de Norman
Norman est un petit garçon qui a la capacité de parler aux morts. Celui-ci va devoir sauver sa ville d'une invasion de zombies…
Moi moche et méchant 2
Ayant abandonné la super-criminalité et mis de côté ses activités funestes pour se consacrer à la paternité et élever Margo, Édith et Agnès, Gru, et avec lui, le Professeur Néfario et les Minions, doivent se trouver de nouvelles occupations. Alors qu’il commence à peine à s’adapter à sa nouvelle vie tranquille de père de famille, une organisation ultrasecrète, menant une lutte acharnée contre le Mal à l’échelle planétaire, vient frapper à sa porte. Soudain, c’est à Gru, et à sa nouvelle coéquipière Lucy, que revient la responsabilité de résoudre une série de méfaits spectaculaires. Après tout, qui mieux que l’ex plus méchant méchant de tous les temps, pourrait attraper celui qui rivalise pour lui voler la place qu’il occupait encore récemment. Rejoignant nos héros, on découvre : Floyd, le propriétaire du salon Eagle Postiche Club pour hommes et suspect numéro 1 du crime le plus abject jamais perpétré depuis le départ de Gru à la retraite ; Silas de Lamolefès, le super-espion à la tête de l’Agence Vigilance de Lynx, patron de Lucy, dont le nom de famille est une source inépuisable d’amusement pour les Minions ; Antonio, le si mielleux objet de l’affection naissante de Margo, et Eduardo Perez, le père d’Antonio, propriétaire du restaurant Salsa & Salsa et l’homme qui se cache peut-être derrière le masque d’El Macho, le plus impitoyable et, comme son nom l’indique, méchant macho que la terre ait jamais porté.
Critique : Spider-Man Across the Spider-Verse
Malgré le succès de Spider-Man New Generation il y a cinq ans, la production de Spider-Man Across the Spider-Verse dépassait le cadre de la simple suite d'un film d'animation ayant bien marché au box-office mondial. Par sa longueur et le nombre d'animateurs investis, il ambitionnait de porter l'univers du jeune héros mordu par une araignée à un niveau de sophistication esthétique et narrative jamais atteint.
Micro-critiques: La Couleur de la victoire, Comme des bêtes…
Bref tour d'horizon de quelques sorties de la semaine du 27 juillet 2016 que nous n'avons pas traitées (pour le moment) à commencer par...
Critique : Les Espiègles
La première chose qui me vient à l’esprit lorsque j’évoque ce style de courts métrages, c’est une forme de soulagement… J’ai, en effet, souvent peur que l’horizon cinématographique de nos jeunes spectateurs se réduise uniquement à des superproductions numériques gorgées de couleurs criardes et d’une dérision flirtant trop souvent avec des clichés rebattus. Bien sûr, se produit parfois un petit miracle, mais pour un Zootopie, combien de déceptions !! Alors, lorsque arrive sur nos écrans un film utilisant des techniques d’animation plus artisanales,
La Colline aux Coquelicots
Le studio Ghibli est à l'orient ce que Pixar est à l'occident: un studio d'animation réalisant dans 99% des cas des films inoubliables, tant par leur qualité artistique/technique irréprochable que par leur approche subtile et intelligente de l'histoire qu'ils racontent. C'est la 2e réalisation de Goro Miyazaki (fils de son père) après Les contes de Terremer. Et contrairement aux habitudes du studio le film préfère le réalisme à l'imaginaire. Malheureusement, le résultat n'est pas des plus probant.