Test DVD : La Passion d’Augustine
Avec ce DVD, l'alternative qui s'offre à vous est très facile : soit, vous avez vu le film lors de sa sortie en salles et les chances sont grandes que vous ayez envie de le revoir un jour ou l'autre ; soit vous ne l'avez pas vu et le DVD pourra vous permettre de rattraper ce qu'on peut appeler une erreur.
Test DVD : Je me tue à le dire
S'il entre sans conteste dans ce genre très particulier qu'est l'humour cinématographique en provenance de Belgique, "Je me tue à le dire" le fait par la porte d'un mélange de grande noirceur et de surréalisme.
Test Blu-ray : Everest
« Un aller-retour sur le toit du monde au prix d’une place de cinéma, ça vous dit ? L’effet d’immersion est indéniable dans le nouveau film américain du réalisateur islandais Baltasar Kormakur. Pendant plus d’une heure, le spectateur est invité à accompagner un groupe d’alpinistes téméraires
Test Blu-ray : Mascarade
Le Blu-ray de Mascarade éditée par Orange Studio rend pleinement honneur à la photo du film signée Laurent Tangy, ainsi qu'à l'ambition formelle et narrative du film à tiroirs de Nicolas Bedos.
Test Blu-ray : L’Ambassadeur
Avec son personnage d’ambassadeur bien décidé à apporter la paix au Moyen-Orient par le seul biais de son charisme, L’Ambassadeur est un bien étrange film, prônant le dialogue et la paix tout en utilisant le rythme du cinéma d'action américain de l’époque.
Test Blu-ray : Fast & Furious 7
Avec quelques excellentes surprises au casting (Kurt Russell, Tony Jaa, Jason Statham bien-sûr), Fast & Furious 7 passe comme une lettre à la poste. Derrière la caméra, James Wan s'amuse comme un fou, et le film est aussi linéaire que badass.
Test DVD : Le défi du champion
Voici un DVD qui offre aux cinéphiles une belle possibilité de rattrapage, la Covid 19 n'ayant pas permis à "Le défi du champion" d'obtenir, en salles, le succès public que ce film pouvait espérer.
Test Blu-ray : La Sarabande des pantins
En 1952, la 20th Century Fox décide de livrer aux yeux du monde une démonstration de son savoir-faire technique. Pour ce faire, le studio réunit cinq cinéastes prestigieux afin d’adapter cinq nouvelles signées O. Henry (1862 – 1910).
Test DVD : Le daim
Maniant l’absurde et l’humour noir avec talent, Quentin Dupieux prouve, avec Le daim, que le septième art français peut faire rire autrement qu’avec les codes des comédies à grand succès que l’on nous propose chaque année. 100 % daim. 100 % dingue.
Test Blu-ray : Nos âmes d’enfants
Une fois n'est pas coutume, on va d'entrée de jeu exprimer notre ressenti final sur Nos âmes d'enfants : il s'agit d'un film attachant, bien qu'imparfait.
Test Blu-ray : Dumb & dumber de
De mémoire de cinéphile, une suite réalisée 20 années après l'original est un cas de figure assez rare. Dumb & dumber de est pourtant de cette engeance : 20 ans après Dumb & dumber, les frères Farrelly ont eu envie de retrouver le ton régressif de leur premier long-métrage.
Test Blu-ray : Skyscraper
Selon la génération à laquelle vous appartenez, vous rapprocherez ce film-ci, entièrement dépourvu d’originalité, soit de La tour infernale de John Guillermin, soit de Piège de cristal de John McTiernan. Du premier, Skyscraper a vaguement hérité le frisson du feu qui se fraie sans ménagement son chemin à travers les hautes sphères de la mégalomanie humaine, au détail près que le travail exemplaire des pompiers mis en valeur dans le film catastrophe des années 1970 est supplanté ici par la toute-puissance informatique, à la fois l’enjeu de toutes les convoitises et en mesure d’éteindre le brasier infernal en à peine quelques secondes. Du deuxième, on retrouve les grandes lignes dramatiques de la guerre des nerfs et des armes improvisées dans un immeuble désert, mais là encore sans la moindre verve scénaristique ou formelle, susceptible de conférer un minimum de personnalité à ce spectacle fâcheusement aseptisé. La mécanique de la menace qui est censée monter crescendo s’enraye en effet très vite, faute de méchant charismatique dans l’équilibre ennuyeusement manichéen de l’intrigue. Et les prouesses physiques du héros, capable de toujours s’accrocher in extremis à la bonne ligne de vie, ne font qu’ajouter à la longue à l’impression d’esbroufe bancale qui se dégage de l’ensemble du film.