Test DVD : Verloren

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Petit film en provenance d'Allemagne, tourné en vidéo avec une brochette d'acteurs probablement amateurs, Verloren aurait bénéficié, si l'on en croit le site de référence IMDb, d'un budget de 3500 euros. Soit le prix d'une Twingo d'occasion, à une heure où n'importe quel long-métrage produit en France avec les différentes aides et le système d'avance sur recettes, tourne dans les eaux de quatre millions d'euros, soit le prix d'une trentaine de voitures de luxe flambant neuves. Autant dire que s'il est indéniable ce projet de cinéma porté par Marco Pultke transpire la sincérité et la passion, cela serait également mentir que d'affirmer qu'aucun effort ne sera nécessaire de la part du spectateur afin d'occulter le côté extrêmement « cheap » de l'entreprise. Pour apprécier le film à sa juste valeur, il conviendra donc de passer outre des acteurs approximatifs, des décors spartiates, une direction photo typique des tournages en vidéo (c'est à dire inexistante) et des effets spéciaux rudimentaires. Mais on vous rassure tout de suite : l'expérience vaut assurément le détour.

Test DVD : Official secrets

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Derrière chaque nouvelle « affaire », chaque nouveau scandale ou chaque nouvelle controverse, il y a un jour eu un « lanceur d'alerte » : une personne ou un groupe de personnes qui, ayant connaissance d'un danger, adresse un signal d'alarme afin d'enclencher un processus de régulation ou de mobilisation collective. Snowden, Seule contre tous, Erin Brockovich, The informant, Pentagon papers, La fille de Brest, Au nom des femmes.... Depuis le tournant de l'année 2000, la liste des films inspirés par le phénomène des lanceurs / lanceuses d'alerte ne cesse de s'allonger.

Conseils cinéma pour un #confinement en famille

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Les vacances scolaires approchent à grands pas toutes zones confondues, et en cette période de relâche, rien de tel que de s'organiser une séance cinéma en famille et à la maison, puisque les cinémas sont fermés.

Test DVD : L’ange noir

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Sorti à l'été 1946, L'ange noir est un des derniers films de Roy William Neill, disparu en décembre de la même année. Si son rayonnement auprès des cinéphiles n'est décidément plus ce qu'il était (il est en effet surtout connu pour avoir réalisé une longue série de Sherlock Holmes avec Basil Rathbone), la ressortie de L'ange noir en DVD remet un petit coup de projecteur sur sa (prolifique) carrière, tout autant qu'un petit coup de polish à sa renommée.

Harley Quinn, Clint Eastwood et les autres, déjà en VOD

Victime collatérale de la situation sanitaire liée à la crise du COVID-19, la chronologie des médias, règle définissant l'ordre et les délais dans lesquels les diverses exploitations d'une œuvre cinématographique peuvent intervenir, a largement été assouplie. La loi du 23 mars 2020, dite « d’urgence pour faire face à l’épidémie du Covid-19 », a en effet ouvert la voie à de possibles dérogations au système actuel de chronologie des médias.

Disponible en VOD : The human surge

Les cinéphiles qui aiment être surpris par des choix audacieux pourront trouver leur compte dans ce film atypique.

Disponible en VOD : U-235

Vu de notre côté de la frontière, il est bien difficile de dessiner les contours du cinéma belge : même si l'on met de côté les (nombreuses) coproductions franco-belges, le cinéma du plat pays, c'est à la fois des films tournés en français et d'autres tournés soit en flamand, soit en néerlandais. C'est là que les choses se compliquent : le terme « flamand » désigne en effet l'ensemble des dialectes néerlandais parlés en Belgique (brabançon, limbourgeois, flamand oriental / occidental), et peut même s'étendre au néerlandais tel qu'il est parlé en Flandre. Pour autant, et même si l'on serait bien incapable de différencier les films tournés en flamand de ceux tournés en néerlandais, ce que l'on connaît depuis quelques années du cinéma « belge » s'avère très intéressant, notamment dans le domaine du film de genre. De Left Bank (2008) à Gangsta (2018) en passant par Loft (2008), Soudain, le 22 mai (2010), Bullhead (2011), The beast (2014), Black (2015) ou encore Menace sur la maison blanche (2016) sont donc autant d'exemples d'un cinéma techniquement solide tourné vers le grand frisson populaire.

Test DVD : Hercule contre Rome

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S’il a clairement fait les beaux jours du cinéma d’exploitation italien des années 50/60, le péplum est un genre aujourd’hui tombé en désuétude. Par ailleurs, dans un vingt-et-unième siècle sexualisé jusqu'à l'absurde, ce genre hier très populaire, riche en acteurs bodybuildés affichant fièrement leur torses huilés et leurs petites jupettes (Steve Reeves, Reg Park…), souffre aujourd’hui dans la culture populaire d’une image très orientée, probablement en partie propagée par la célèbre réplique adressée par Peter Graves au petit Joey dans Y’a-t-il un pilote dans l’avion : « Tu aimes les films sur les gladiateurs ? ».

Test DVD : Le gladiateur magnifique

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Alors que Riccardo Freda avait remis le péplum au goût du jour en 1953 avec son Spartacus, et avec le succès mondial des Travaux d'Hercule Pietro Francisci en 1958, Cinecittà s'est mis à produire en masse des films de gladiateurs et de sympathiques musclés aux corps huilés dont on nous contait les innombrables aventures : Hercules, Maciste, Samson, Ursus ou encore Goliath ont donc commencé à envahir les cinémas de quartier, pour le plus grand plaisir des amateurs de bis et de cinéma populaire. Cependant, et dès la première moitié des années 60,

Test DVD : Joyeuse retraite

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Joyeuse retraite marque la rencontre inattendue entre Fabrice Bracq et Guillaume Clicquot de Mentque : le film est adapté de son roman « Poivre et sel », il en signe lui-même le scénario, qui se verrait remanié par le metteur en scène Fabrice Bracq.

Test DVD : Hell’s ground

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Si l’on se fie à l’adage selon lequel tout ce qui est rare est précieux, la valeur d’un film tel que Hell’s ground est tout simplement inestimable. Ce film d’horreur met en scène des zombies et un golmon cannibale en burqa poursuivant de jeunes cons en forêt...

Test DVD : Le Jeune Messie

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Avant toute chose, une petite précision : à la découverte du Jeune Messie, une poignée de cinéphiles français se sont plaints sur les réseaux du manque de fidélité de ce biopic, qui transposait l’action de Rosario (Argentine) à Nazareth, et qui de plus n’abordait jamais le foot. A ces étourdis, on précisera ici que le film de Cyrus Nowrasteh ne s’intitule pas Le jeune Messi, et n’est de fait pas consacré aux jeunes années de Lionel Messi, sextuple Ballon d’or. Non, le titre exact est Le Jeune Messie : adapté d’un roman d’Anne Rice, il reviendra sur un court épisode de la vie du Messie, soit de Jésus Christ.

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Le monstre Gamera naît en 1965, et dès le premier film de la saga Gamera produit par la Daiei, il flottait déjà dans l’air la vague impression qu’à l’image de son grand frère Godzilla, la tortue géante n’était pas simplement une créature sortie d’un cauchemar reptilien, mais une métaphore ambulante de la peur nucléaire.

Les sorties du 24 décembre 2025

En ce jour du réveillon de Noël 2025, permettez-nous d’abord de vous souhaiter, à toutes et à tous, de bonnes fêtes de fin d’année ! Même si le cinéma n’est sans doute guère la priorité en ces temps de célébrations, de retrouvailles familiales et d’heures de bilan, les distributeurs français n’ont pas complètement rendu les armes en cette semaine de repos généralisé.

Test Blu-ray : Slocum et moi

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Il y a des films qui se construisent comme des cabanes bancales, et Slocum et moi ressemble à une embarcation bricolée dans un jardin de banlieue, mais qui finit par flotter dans l’imaginaire collectif comme un paquebot de souvenirs.

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