Test Blu-ray : Escrocs mais pas trop

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Escrocs mais pas trop met en scène une équipe de truands qui sont autant de bras cassés, un peu abrutis mais réellement attachants. Et si le film ne retrouve pas la force comique des films des années 70, il fonctionne néanmoins plutôt bien.

Test Blu-ray : Le couteau de glace

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Si Le couteau de glace s'inscrit, d'un strict point de vue chronologique, dans la vague de gialli initiée par l'énorme succès de L'oiseau au plumage de cristal, en réalité, il se trouve que le film d'Umberto Lenzi va bien d'avantage chercher son intrigue et ses influences dans la vague de whodunits britanniques dérivés de Psychose.

Test Blu-ray : Horribilis

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Porté par des acteurs épatants (Elizabeth Banks, Gregg Henry, Michael Rooker), Horribilis nous propose de plus une bonne grosse pincée d’humour noir plutôt hargneux à la Frank Henenlotter. Cet humour et cet esprit potache

Test Blu-ray : Le Vampire a soif

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« Chef, un p’tit verre, on a soif » chantait en 1979 l’amuseur belge connu sous le nom de Grand Jojo. Hé bien en 1968, c’était déjà le cas, le titre original du film de Vernon Sewell The Blood Beast Terror étant devenu chez nous Le Vampire a soif.

Test Blu-ray : Slumber Party Massacre / Fête sanglante

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Gros succès de l'ère VHS, le film Slumber Party Massacre, alias Fête sanglante, réalisé en 1982 par Amy Holden Jones sous la houlette de Roger Corman, possède une aura assez culte chez les amateurs les plus acharnés de slashers.

Test Blu-ray : Tonnerre de Feu

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Sorti sur les écrans du monde entier en 1983, Tonnerre de Feu était le premier volet de ce qu'on peut aujourd'hui distinguer comme une « trilogie technologique » au cœur de la filmographie de John « Badaboum » Badham.

Test Blu-ray : Les cadavres ne portent pas de costard

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La collaboration entre Steve Martin (acteur) et Carl Reiner (réalisateur) a donné naissance à trois chefs d’œuvres de la comédie américaine entre 1979 et 1983 : Un vrai schnock, Les cadavres ne portent pas de costard et L'homme aux deux cerveaux.

Test Blu-ray : Sweet Sixteen

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L’intrigue de Sweet Sixteen semble à priori un mélange parfait de tous les éléments ayant rendu le slasher populaire dans les années 80. Pourtant, le film de Jim Sotos se déroule de façon moins familière qu’on aurait pu le craindre à priori...

Test Blu-ray : The Dare

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Avec The Dare, le britannique Giles Alderson et son coscénariste Jonny Grant prennent le parti de marcher sur les traces de James Wan et Leigh Whannell, heureux papas de la franchise Saw.

Test Blu-ray : Une hache pour la lune de miel

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Si le giallo était le plus souvent conçu sur le modèle du whodunit, Une hache pour la lune de miel s’ouvre au contraire sur un double meurtre perpétré par le héros du film, et Bava ne fera pas le moindre mystère sur le fait qu’il soit effectivement coupable.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : La rose écorchée

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Même s’il s’agit d’un film relativement oublié de nos jours, dont la notoriété dans l’hexagone n’a guère dépassé une poignée de passionnés de fantastique, La rose écorchée risque bien de surprendre les cinéphiles contemporains qui, s’ils ne l’ont jamais vu, découvriront aujourd’hui une œuvre importante, belle, inspirée, touchant par moments littéralement au sublime. Ne serait-ce que d’un point de vue purement visuel, le film de Claude Mulot s’impose très rapidement comme une véritable merveille, baroque et sensuelle, sublimée par la photo de Roger Fellous. Décors grandioses, brume omniprésente, éclairages sophistiqués, le film passe en un clin d’œil du tableau de maître au kitsch le plus assumé, et crée par là même un contraste plongeant le spectateur dans un univers pictural étrangement et assez paradoxalement homogène, d’une beauté saisissante. La musique et l’histoire en elle-même, traitant d’un amour fou dépassant toutes les limites acceptables socialement parlant, en rajoutent encore dans la poésie macabre et mélancolique développée ici par Claude Mulot. Mais La rose écorchée n’est pas juste un bel objet creux – si bien sûr le film privilégie les plans longs plutôt qu’un montage sec ou nerveux, Mulot fait preuve d’un sens du suspense et de la narration que l’on ne croisait finalement pas si souvent au cœur des œuvres peuplant le cinéma « bis » de l’époque : les rebondissements se succèdent sans temps mort, le rythme est excellent, et l’intérêt du spectateur est maintenu en éveil du début à la fin du film.

Test Blu-ray : Cause toujours, tu m’intéresses

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Le plus gros défaut de Cause toujours, tu m’intéresses, c’est probablement son titre. Pensez-vous qu’un film tel que E.T. l’extraterrestre aurait remporté le même succès en France s’il s’était appelé Tire sur mon doigt, ça fera de la lumière ?

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Critique Express : Howard Zinn, une histoire populaire américaine 2

"Tant que les lapins n'auront pas d'historiens, l'histoire sera racontée par les chasseurs". Dans ce deuxième volet de la trilogie consacrée à l'œuvre majeure de Howard Zinn, la mise en image de son travail insiste beaucoup sur son rôle d'historien des lapins.

Test Blu-ray : La Nuit des Clowns

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Dans La Nuit des Clowns, Eli Craig transforme la mascotte locale d'une petite ville rurale américaine en un miroir grotesque des rancunes et des ressentiments de ses habitants. En Blu-ray chez M6 Vidéo.

Critique : La Vie s’écoule silencieusement

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En dépit de son titre joliment poétique, la vie n’est guère un long fleuve tranquille ni au sein du récit de ce film bulgare, ni au niveau de son parcours de distribution pour le moins tortueux. En effet, La Vie s’écoule silencieusement fait partie de ces œuvres cinématographiques issues du bloc de l’Est qui ont dû attendre le dégel géopolitique à la fin des années 1980 avant de pouvoir enfin être projetées publiquement.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Y a-t-il un flic pour sauver le monde

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Dans Y a-t-il un flic pour sauver le monde, l’absurde est traité comme une matière première, une sorte de pétrole comique qu’on raffine pour en tirer des gags visuels, des dialogues improbables et des situations qui défient la logique.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Nobody 2

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Dans Nobody 2, la thématique centrale reste celle du poids du passé : Hutch pensait avoir rangé ses armes, mais son passé lui colle à la peau. Le film explore cette idée avec une ironie mordante : on ne se débarrasse jamais vraiment de ses démons, et ici on les recycle en scènes d’action.