Masculin, féminin
Masculin, féminin
France, Suède : 1966
Titre original : Masculin, féminin
Réalisateur : Jean-Luc Godard
Scénario : Jean-Luc Godard
Acteurs : Jean-Pierre Léaud, Chantal Goya, Marlène Jobert
Distribution : Tamasa...
La vida útil
La vida útil
Espagnol, uruguayen : 2010
Titre original : La vida útil
Réalisateur : Federico Veiroj
Scénario : Gonzalo Delgado , Arauco Hernández Holz , Federico Veiroj
Acteurs...
Mille Mots
Et si vous n’aviez plus que mille mots à prononcer avant de mourir ? C’est le défi auquel est confronté Jack McCall, agent littéraire, grand bavard et inépuisable menteur, qui doit apprendre à se passer de mots. L’histoire d’un homme qui n'a plus que 1000 mots avant de mourir, et qui est contraint d’apprendre à communiquer réellement avec sa femme, sa famille et ses amis.
Arras 2019 : Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part
Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part : mais qu'est-ce que c'est que ce titre ?! Il a été repris du livre de Anna Gavalda, certes, mais il nous inspire néanmoins un fort sentiment d'indécision entre sa prétention manifeste et un fond mi-philosophique, mi-poétique.
Comforting Skin
Comforting Skin
Canada : 2011
Titre original : Comforting Skin
Réalisateur : Derek Franson
Scénario : Derek Franson
Acteurs : Victoria Bidewell, Tygh Runyan, Jane Sowerby
Distribution : Inconnue
Durée :...
Critique : Buena Vista Social Club Adios
Il y a vingt ans, les pépés du Buena Vista Social Club avaient fait sensation sur la scène musicale internationale, à tel point que leur renaissance tardive avait fait l'objet d'un documentaire signé Wim Wenders, qui avait agrandi à son tour l'ampleur du phénomène. Depuis, plusieurs de ces vaillants témoins d'une époque révolue nous ont quittés, ne laissant derrière eux que de bons souvenirs et accessoirement un nouveau sous-genre, dont la vocation principale est de rendre leur gloire à des musiciens restés trop longtemps dans l'ombre.
Arras 2019 : Deux (Filippo Meneghetti)
Le poids des secrets devient de plus en plus insoutenable dans ce drame intimiste, qui était hélas déjà le dernier film que nous avons pu voir à l'Arras Film Festival, où il fut présenté dans le cadre des « Découvertes européennes ».
Mekong Hotel
Un documentaire expérimental sur le fleuve Mékong, lorsqu'il longe la frontière entre la Thaïlande et le Laos.
Berlinale 2016 : Quand on a 17 ans
Téchiné restera toujours Téchiné. Le nouveau film du réalisateur, présenté en compétition au 66ème Festival de Berlin, s’apparente à un magnifique retour en arrière, à un déjà-vu cinématographique dont l’aspect a changé alors que l’essence est restée identique.
Critique : 20th Century Women
Elever seul un enfant n’a jamais été une mince affaire. Selon les époques, cette tâche parentale accrue s’est traduite par la solitude, voire l’ostracisme social, et une grande précarité. Dans son troisième film, le réalisateur Mike Mills rend un hommage appuyé à ces mères courage – car dans l’immense majorité des cas il s’agit de mères – qui jonglent entre exigences d’éducation, obligations professionnelles et une vie affective souvent anémique.
The Exchange
The Exchange
Israélien : 2011
Titre original : Hahithalfut
Réalisateur : Eran Kolirin
Scénario : Eran Kolirin
Acteurs : Dov Navon, Rotem Keinam, Sharon Tal
Distribution : Pyramide Distribution
Durée :...
Critique : Tunnel
En dehors de Hong Sang-Soo et de quelques films isolés par ci, par là, il est devenu très difficile pour les cinéphiles français de pouvoir visionner en salles du cinéma sud coréen, du moins en dehors des festivals. Cette réflexion s’applique tout particulièrement au cinéma de genre, qui, on le sait, a souvent du mal à se frayer un chemin dans nos salles, quel que soit le pays d’origine d’ailleurs. C’est pour cette raison qu'il était forcément excitant de voir un distributeur prendre le risque de sortir un film d’un réalisateur encore peu connu (son film précédent, l’excellent Hard Day, avait connu une sortie discrète début 2015 après avoir écumé tous les festivals spécialisés pendant 1 an), qui plus est, dans le registre du film catastrophe, sous genre dont raffolent les coréens mais dont les productions locales sortent ici au mieux en vidéo. Même en sachant que ce genre de film a souvent tendance à virer au mélo excessif pour le public français, on s’en frottait les mains d’avance, persuadés que l’on aurait droit à un maelström d’émotions comme les sud coréens en sont coutumiers dans leur cinéma si riche en ruptures de ton…


















