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Test Blu-ray 4K Ultra HD : Ninja Turtles – Teenage Years

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Pour Ninja Turtles - Teenage Years, Paramount Pictures et Nickelodeon ont eu la bonne idée d’aller chercher deux scénaristes de 41 ans, ayant grandi avec la série animée et la connaissant sur le bout des doigts : Seth Rogen et Evan Goldberg.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Super Mario Bros – Le...

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Sur le papier, tous les signaux étaient au vert pour faire de Super Mario Bros. – Le film une expérience sur grand écran qui rende enfin justice à l'univers développé par Nintendo depuis presque 40 ans autour de la franchise vidéoludique.

Critique : The Fabelmans

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Nous observons depuis quelque temps une tendance chez les grands cinéastes américains consistant  à revenir sur leur vie dans des exercices de fictionnalisation tentant de nous faire comprendre l’origine de leur vocation à travers les événements marquants de leur jeunesse.

Test Blu-ray : Funny People

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Il y a un grand malentendu autour de Funny People. Malgré son casting, malgré sa tonalité et sa drôlerie, NON, Funny People n’est pas une comédie. Il s’agit d’avantage d’un drame, ou plutôt d’une chronique de mœurs désenchantée...

Test Blu-ray : En cloque, mode d’emploi

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Presque vingt ans après She's having a Baby, Judd Apatow signait avec En Cloque : Mode d'emploi une déclaration d'amour immodérée au cinéma de John Hughes, en y apportant beaucoup de ses marottes et autres obsessions personnelles.

Test Blu-ray : 40 ans, toujours puceau

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Retour en 2005 avec 40 ans, toujours puceau donc. Dans ce film, Judd Apatow faisait éclater au grand jour la personnalité du génial Steve Carell, qui y interprète le rôle-titre d'Andy, le mec de quarante ans toujours vierge.

Test DVD : Good boys

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Avec 124.000 entrées enregistrées sur un parc de 204 salles, Good boys n’a pas rencontré le même succès en France qu’outre-Atlantique, où le film de a cumulé plus de 84 millions de dollars de recettes « domestiques » l’été dernier. Il faut avouer également que l’époque où la comédie trash made in U.S.A. réunissait des millions de français dans les salles semble bel et bien révolue – si on comptait 3,4 millions de spectateurs pour American pie 2 en 2001, vingt ans plus tard, les ados de l’hexagone semblent dorénavant d’avantage se tourner vers les productions françaises, qui ont su prouver avec les années qu’elles pouvaient faire tout aussi trash que leurs modèles américains.

Test Blu-ray : Le roi lion

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Depuis presque une dizaine d’années maintenant, la maison Disney s’est mis dans l’idée de livrer au public une série d’adaptations « live » (en prises de vue réelles) des plus grands classiques animés de la firme. De grands films familiaux aux airs de déjà vu s’enchaînent donc sur les écrans de nos multiplexes, au rythme frénétique d’un ou deux films par an, affichant tous le même soin à recréer avec des acteurs de chair et de sang la magie des dessins animés les plus célèbres des studios créés par Walt Disney. Effets spéciaux époustouflants, mouvements de caméra sophistiqués, production design épatant, acteurs de renom, réalisateurs de prestige… Le moins que l’on puisse dire, c’est que Disney déploie véritablement des moyens pharaoniques pour émerveiller et en mettre plein les yeux des spectateurs : Le roi lion affiche par exemple un budget de 260 millions de dollars.

Test DVD : Contrôle parental

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Alors que Judd Apatow semble actuellement d’avantage porté sur les projets télévisuels que sur sa carrière de cinéaste, la « famille » d’acteurs et de collaborateurs qu’il a contribué à mettre sur le devant de la scène depuis le tournant des années 2000 continue quant à elle année après année de développer des films perpétuant le ton à la fois tendre et trash de son œuvre. Ainsi, Seth Rogen et Evan Goldberg produisent régulièrement depuis 2011 d’efficaces comédies « à la Apatow », ouvertement tournées vers la famille américaine, par le biais de leur compagnie Point Grey Pictures.

Critique : The Disaster Artist

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Quand on pense au terme « film culte », on peut penser à des succès adoubés dès leur sortie par les critiques et le public – Chantons sous la pluie par exemple. Le plus souvent cependant, le terme « culte » est associé à ces films qui sont passés presque inaperçus à leur sortie, et qui se sont construits une réputation au fil des années: Blade Runner par exemple, dont l’aura n’a cessé de grandir depuis sa sortie (et ses multiples versions). The Room, de Tommy Wiseau, ne partage rien de ces films « respectables » hormis le statut, justement, de film culte. Considéré comme un turbo-nanar dès sa sortie, il est devenu un de ces objets filmiques non identifiés, allant jusqu’à acquérir le titre, abusif bien entendu, de « pire film de tous les temps ». Un titre qu’il dispute avec un autre nanar culte, Plan 9 from outer space, lui aussi érigé en « pire film de tous les temps », et issu d’un personnage tout aussi haut en couleur que le papa de The Room : Ed Wood. Et comme ce dernier, Tommy Wiseau a maintenant droit à son propre film, érigé à sa gloire : The Disaster Artist.

Test Blu-ray : Preacher – Saison 2

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Si elle s’écartait volontairement de la trame de road movie déjanté que l’on avait découvert dans les comic-books, la brillante première saison de Preacher a su profiter de sa relative unité de lieu pour construire et développer ses personnages, légèrement différents de ceux imaginés il y a vingt ans par Garth Ennis et Steve Dillon, et plonger le spectateur dans cet univers à l’ambiance teintée de mysticisme et de provocation outrancière typique de « l’esprit » des sales histoires imaginées par Garth Ennis.

Test Blu-ray : Sausage Party – La vie privée des aliments

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Le concept de Sausage Party – La vie privée des aliments est simple : puisque le cinéma d’animation nous permet de découvrir depuis quelques années la vie « secrète » des animaux, des jouets ou encore des voitures, Seth Rogen et Evan Goldberg ont décidé de nous proposer de découvrir les pensées qui animent les aliments que nous mangeons. A la différence près que leur angle d’attaque se fait dans une optique de comédie trash et très orientée cul : à la façon de Team America World Police ou des films de Ralph Bakshi ou de Picha dans les années 70, Sausage Party n’est donc, derrière ses airs innocents, définitivement pas un film pour les enfants !