Accueil Tags Metropolitan Vidéo

Tag: Metropolitan Vidéo

Grosse marrade sur la plage

Test Blu-ray : Knight of cups

1
Avec Knight of cups, Malick décide de balader sa steadycam auprès d’un dandy quasi-muet évoquant l’amour en off, dérive au fil d’un flot d’images sublimes composant autant de rimes nous donnant « sa » variation sur toute une série de lieux communs sur la vie et l’amour.

Test Blu-ray : Frankenstein (2015)

2
La renommée de Bernard Rose s'est faite autour d'un seul film : Candyman. Un projet étrange, assez inhabituel, qui a eu la chance de se trouver à l'intersection, au point de rencontre de plusieurs talents à un moment précis des années 90 : une mise en scène sobre et inspirée, un scénario habilement adapté d'une nouvelle de Clive Barker, une musique entêtante, un boogeyman marquant...

Test Blu-ray : Regression

2
Avec Regression, Alejandro Amenábar poursuit sa réflexion sur la notion de vision et de regard (et par ricochet sur la mise en scène, avec une réflexion forte sur ce qui est montré ou caché) qu’il avait déjà abordée avec ses premiers films Tesis et Ouvre les yeux. A travers une mise en scène maitrisée, flirtant le plus souvent avec le genre horrifique,

Test Blu-ray : Escrocs mais pas trop

0
scrocs mais pas trop met en scène une équipe de truands qui sont autant de bras cassés, un peu abrutis mais réellement attachants. Et si le film ne retrouve pas la force comique des films des années 70, il fonctionne néanmoins plutôt bien

Test Blu-ray : Celebrity

0
Avec Celebrity, Woody Allen mettait le doigt en 1998 sur une des dérives du vedettariat qui allait exploser quelques années plus tard avec la multiplication des « stars » de pacotille recherchant la notoriété à tout prix : les premières diffusions de Big Brother et autres Loft Story

Test Blu-ray : Tout le monde dit I love you

0
En 1996, Woody Allen prenait le pari de s’essayer à la comédie musicale avec Tout le monde dit I love you, qui avec 1,5 millions d’entrées enregistrées en France début 1997, deviendrait son plus gros succès public dans l’hexagone depuis La rose pourpre du Caire en 1985.

Test Blu-ray : Maudite Aphrodite

0
Woody Allen osait en 1995 avec Maudite Aphrodite un nouveau type de romance contrariée, profonde et intéressante. Avec cette histoire de couple en crise cédant (ou pas) à la tentation,

Test Blu-ray : Coups de feu sur Broadway

0
Réalisé un an après l’extraordinaire Meurtre mystérieux à Manhattan, Coups de feu sur Broadway est un film ambitieux, dans le sens où il prend place dans le New York de 1928, et met en scène des gangsters liés de près au montage d’une pièce à Broadway.

Test Blu-ray : Sicario

0
Largement vendu comme la claque cinématographique la plus puissante de l'année 2015 par la presse spécialisée et les réseaux sociaux, Sicario bénéficie en effet du savoir-faire indéniable de son réalisateur Denis Villeneuve pour secouer le spectateur. Sicario commence donc très fort, et proposera régulièrement au spectateur des scènes « choc »

Test Blu-ray : Le prodige

0
Au fil des années, Edward Zwick s'est spécialisé dans les fresques à grand spectacle, son cinéma lyrique et masculin retrouvant le plus souvent un souffle épique directement hérité du western de l'âge d'or Hollywoodien. A force de fresques épiques et historiques donnant à voir de « grands sentiments » filmés à hauteur d'homme

Test Blu-ray : Falcon rising

1
Falcon rising est un bon petit film de baston old school, au cœur duquel White débarque à Rio et va débarrasser les favelas de bon nombre de ses parasites. Fun, rythmé et d'une désarmante sincérité (pas l'ombre d'un gag ou du moindre petit second degré ici, on n'est pas dans Black dynamite), le film propose des séquences d'action à intervalles très réguliers

Test Blu-ray : American ultra

3
A force de signer de bons scénarios très orientés « fun » et bande dessinée, multipliant qui plus est les outrances et pataugeant dans le mauvais goût le plus total (un peu à la manière du britannique Garth Ennis dans le petit monde du comic book), le jeune Max Landis va finir par réussir à se faire un prénom. Il est même très probable que malgré l'indéniable côté « poseur » et encore vaguement immature de ses scripts, le jeune garçon finisse par dépasser en popularité son père John Landis, dont la côte d'amour n'a de toutes façons jamais réellement atteint des sommets de notre côté de l'Atlantique.