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Test Blu-ray : Hell fest

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Hell Fest embarque avec lui le spectateur grâce à un récit vif et rapide, allant directement à l'essentiel, et surtout grâce à un petit groupe de personnages tout à fait attachants.

Test DVD : Carnage chez les Puppets

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Carnage chez les Puppets place son intrigue policière au cœur d’un monde où les humains vivent aux côtés des « Puppets », des marionnettes dotées de vie. Le film suivra l’enquête de Phil Philips, Puppet et ex-flic, et de son ancienne coéquipière.

Test Blu-ray : 22 miles

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Il aura fallu du temps pour que l’on se mette, enfin, à prendre la carrière de cinéaste de Peter Berg au sérieux. Néanmoins, les plus sceptiques auront tout de même fini par rendre les armes en 2016, avec la découverte du formidable Traque à Boston, au cœur duquel le cinéaste déployait une maestria technique et narrative telle qu’il est parvenu, sur un sujet pourtant sensible, à mettre à l’amende des cinéastes chevronnés s’étant frotté à des thématiques similaires (on pense notamment à Clint Eastwood et son 15h17 pour Paris).

Test Blu-ray : Jackals

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Avant de passer à la réalisation sous la houlette de Jason Blum (pour lequel il signerait les très carrés Saw VI, Saw VII et Jessabelle), Kevin Greutert était monteur, et avait fait ses armes non seulement sur les cinq premiers films de la saga Saw, mais également sur le très intéressant « home invasion » The strangers (Bryan Bertino, 2008). Son arrivée aux commandes de Jackals en 2017 avait donc finalement quelque-chose de naturel, comme s’il s’agissait là d’une façon de « boucler la boucle » et de donner « sa » vision du genre.

Test Blu-ray : L’espion qui m’a larguée

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L’espion qui m'a larguée met au centre des débats deux personnages féminins, interprétés par Mila Kunis et Kate McKinnon, les deux copines se retrouvant bien malgré elles au cœur d’une chasse à l’homme internationale, tueurs, mafias diverses et services secrets étant tous à la recherche d’une clé USB qu’elles ont en leur possession. Bien sûr, l’énergie comique déployée par Kate McKinnon s’imposera d’autant plus facilement que Mila Kunis ne force pas réellement son talent, reprenant le même genre de rôle qu’à son habitude, soit celui du « clown blanc » au tempérament diamétralement opposé à celui de sa copine, qui n’a aucun filtre social et dont les frasques et le comportement bizarre rythment le récit et son évolution. Néanmoins, si les zygomatiques du spectateur seront dominés par la performance de Kate McKinnon, Mila Kunis s’offre également d’excellentes répliques de façon assez régulière, de la même façon que les personnages secondaires (Hasan Minhaj, Sam Heughan, Gillian Anderson) ; les caméos de Kev Adams et Paul Reiser feront également leur petit effet – l’ensemble est équilibré et le quota de rires est parfaitement respecté.

Test Blu-ray : Dark tide

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Si le nom de John Stockwell réveille une vague lueur dans vos souvenirs de cinéphile, c’est à priori tout à fait normal : le jeune acteur était un des deux acteurs principaux du Christine de John Carpenter en 1983, et tenait également un rôle dans Top gun en 1987. Si les années 90 ne furent pas une période très faste pour lui en tant qu’acteur, on avait néanmoins également pu suivre les débuts de sa carrière de réalisateur au tournant des années 2000 : une activité placée sous le signe du romantisme (Crazy/Beautiful en 2001) puis de l’eau, de l’eau et encore de l’eau (Blue crush en 2002, Bleu d’enfer en 2005). En 2006, son nom secoue la petite communauté des amateurs de cinéma de genre : son excellent petit film d’horreur exotique Turistas se voit littéralement massacré au montage par des producteurs indélicats. Pire encore : le film fait le tour du monde sous le titre Paradise lost dans cette version « producteurs » censurée et complètement remontée, propageant malheureusement à l’international une image erronée de son réel talent de cinéaste.

Test Blu-ray : My own private Idaho

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En 1991, la découverte de My own private Idaho a marqué la découverte de Gus Van Sant, cinéaste qui ferait parler de lui au cœur de la sphère cinéphile tout au long des années 90-2000, avec un pic de popularité inédit en 2003.

Test Blu-ray : Sicario – La guerre des cartels

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Autant l'avouer sans ambages : cela serait mentir d'affirmer un quelconque enthousiasme, en tant que spectateur, à l'annonce de la mise en chantier d'une suite à Sicario, tant le film de Denis Villeneuve se suffisait à lui-même. En effet, depuis plusieurs décennies, on ne compte plus les suites uniquement destinées à surfer sur un succès et à engranger le maximum d'argent en un minimum de temps ; on voyait donc en toute honnêteté l'arrivée de ce Sicario : La guerre des cartels du plus mauvais œil. « Monumentale erreur ! » comme le dirait Jack Slater. Comme quoi, on peut parfois être très très con de suivre une première impression, et à la découverte du film de Stefano Sollima, on ne pourra QUE faire notre mea culpa d'avoir pu être autant à côté de la plaque.

Test Blu-ray : Hérédité

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Depuis quelques années, on tombe régulièrement sur des films d’horreur faisant le « buzz » sur Internet et les réseaux sociaux. Des films montés en épingle et annoncés à grands renforts de publicité comme « le choc horrifique de l’année », « le film d’horreur de la décennie », etc, etc. Hérédité est de ceux-là ; sur l’affiche française, on pouvait lire deux extraits de presse : « Le film d’horreur le plus fou de ces dernières années » (USA Today) et « L’exorciste de cette génération » (Time Out New York). Bien sûr, ce genre de déclarations qui claquent a de quoi enthousiasmer le spectateur, mais sans vouloir jouer systématiquement à l’empêcheur de tourner en rond ni d’avantage aller à l’encontre de ce que déclare généralement la presse, on a tout de même également souvent tendance à se méfier de ce genre de buzz ou d’engouement unanime. Ainsi, si l’on revient quatre ans en arrière, les films d’horreur ayant créé le buzz ces dernières années sont It follows (David Robert Mitchell, 2014), The witch (Robert Eggers, 2015), Grave (Julia Ducournau, 2016) et Get out (Jordan Peele, 2017). Et sans vouloir forcément faire de mauvais esprit – à titre personnel, à mon humble avis de rédacteur, tout çaaaaa / je prends tout un tas de précautions verbales parce qu’attention, l’ensemble de la rédaction est bien loin de partager mon opinion tranchée sur ces quatre longs-métrages – on n’est pas loin d’en considérer au moins trois sur les quatre comme de bonnes grosses baudruches bien surestimées, dont le seul intérêt ne réside au fond que dans une facture technique et visuelle intéressante (si ce n’est superbe). Qu’on se rassure néanmoins : Hérédité n’est clairement pas de ce bois-là.

Test Blu-ray : Invaders

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La science-fiction semble avoir le vent en poupe en ce moment en Australie. Ainsi, deux ans après Osiris - La neuvième planète, c'est aujourd'hui au tour d'Invaders, un deuxième film de SF australien, de débarquer sur nos écrans. Bien conscients qu'ils ne peuvent rivaliser, d'un strict point de vue technique et logistique, avec les grosses productions du genre mises en chantier aux États-Unis, nos voisins d'Océanie ont visiblement pris le parti de « contourner » le genre, de le prendre à revers en quelque sorte. Osiris - La neuvième planète avait fait le choix d'aborder la science-fiction par le biais du « serial », hommage brillant à la littérature et au cinéma des années 50/60. Cette année, c'est plutôt au cinéma d'invasion des années 90 que fera référence Invaders ; mais le scénariste / réalisateur Luke Sparke, grand spécialiste du film de guerre, prend quant à lui le parti de nous livrer non pas un grand spectacle à la Independence Day, mais un pur film « de soldats », se concentrant sur un petit groupe de personnages contraints de s’engager dans l’armée afin de combattre des aliens peu enclins à la discussion.

Test Blu-ray : Love addict

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Si avec un peu moins de 700.000 entrées, Love addict n'a pas explosé le box-office français à la manière de ses Nouvelles aventures d'Aladin en 2015, le film a néanmoins réalisé à lui seul plus d'entrées que les deux précédents films mettant en scène Kev Adams en tête d'affiche, à savoir Gangsterdam et Tout là-haut. Mais que la « folie » médiatique et adolescente autour du jeune acteur soit un peu retombée au fil des mois est au final une bonne chose – cela permettra probablement au public et à la critique d'apprécier ses films « à tête reposée », sans déchaîner les passions outre mesure. Le « bashing » critique autour de la sortie d'Aladin sur les sites et les réseaux sociaux avait été énorme : 34% des critiques écrites par les

Test Blu-ray : Terminal

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A l’image de Milla Jovovich ou Kate Beckinsale avant elle, Margot Robbie semble avoir assimilé qu’Hollywood est cruel avec ses actrices, et que l’usine à rêves tend à laisser de côté les femmes après quelques années d’utilisation, comme de vieux kleenex souillés. Ainsi, aujourd’hui, ce sont Jennifer Lawrence et Teresa Palmer qui ont le vent en poupe, reléguant les révélations d’hier (Amber Heard, Jessica Biel…) au vestiaire. De ce fait, Margot Robbie a donc décidé de prendre le taureau par les cornes en produisant elle-même les projets qui lui tiennent à cœur, plutôt que d’attendre patiemment que le téléphone sonne et qu'une opportunité se présente.