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Tag: Luke Evans

Test Blu-ray : Crisis

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Avec Crisis, Nicholas Jarecki met la question de la crise des opioïdes aux États-Unis sur le tapis. Le film explore ainsi habilement les rouages et l'urgence sanitaire induite par la crise.

Test Blu-ray : Midway

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Il fut un temps où Roland Emmerich était, sans exagération aucune, le roi d’Hollywood. Chacun de ses nouveaux films était alors attendu avec ferveur par un public toujours au rendez-vous.

Test Blu-ray : Ma

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C'est bien connu : quand on est une femme à Hollywood, si l'on veut être prise au sérieux en tant qu’actrice et que l'on vise, à plus ou moins long terme, les premiers rôles de la « A List » des gros studios, rien ne vaut un bon rôle de chtarbée. Depuis Glenn Close et Liaison fatale, la déséquilibrée a en effet le vent en poupe, et hurler comme une hystérique en roulant des yeux et brandissant une hache peut finalement ouvrir pas mal de portes, professionnellement parlant. Attendez madame, posez cette hache, si la méthode semble fonctionner à Hollywood, pas sûr que ça marche vraiment en dehors de l'usine à rêves. D'ailleurs, ça ne fonctionne pas à tous les coups non plus sur les plateaux de cinéma, mais pensez à Jennifer Jason Leigh, à Charlize Theron, à Kathy Bates ou encore à Rebecca de Mornay… Le fait est que le rôle de la psychopathe de service peut aisément relancer pour quelques années une carrière en perte de vitesse, surtout quand on approche de la quarantaine.

Test Blu-ray : Outfall

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Découvert lors de la 29ème édition du Festival du film britannique de Dinard, Outfall est un thriller que l'on doit à la plume de Noel Clarke. Si son nom ne vous dira peut-être rien à prior, il est cependant relativement populaire en Grande Bretagne, où il suit parallèlement une carrière d’acteur (on l’a notamment vu dans la série Doctor Who pendant quelques années) et de scénariste, avec d’ailleurs un assez beau succès, puisqu’il est l’auteur d’une trilogie sur les jeunes anglais désœuvrés de l’Ouest Londonien : Kidulthood (2006), Adulthood (2008) et Brotherhood (2016). Si ces trois films restent inédits en France, on a cependant vu en vidéo il y a quelques années le sympathique Storage 24 (2012), honnête film de science-fiction dans lequel il jouait et dont il avait signé le scénario, surfant sans vergogne sur le succès d’Attack the block (2011).

Test Blu-ray : Message from the King

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Après une rapide carrière en salles sous les couleurs de The Jokers, durant laquelle le film n’a vraiment pas rencontré le succès qu’il méritait (moins de 61.000 entrées sur une combinaison de 111 salles), Message from the King débarque donc en Blu-ray, sous la bannière de M6 Vidéo. Et comme à son habitude, on peut compter sur l’éditeur pour rattraper le coup de cette exploitation ratée : M6 nous livre en effet une galette très soignée. Côté image, le master s’avère pointu, et bien défini : l’encodage respecte parfaitement le grain argentique du 35 mm, le piqué est d’une précision à couper le souffle et les couleurs vraiment éclatantes. Les contrastes et la gestion des noirs ont été tout particulièrement soignés : les nombreuses scènes nocturnes affichent une forme redoutable. Côté son, la VF et la VO sont mixées en DTS-HD Master Audio 5.1, toutes deux étant parfaitement claires et fortes. Le rendu acoustique de la jungle urbaine de Los Angeles étant tout particulièrement fin et bien spatialisé, l’immersion pour le spectateur est vraiment optimale.

Test Blu-ray : La Belle et la Bête

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Depuis quelques années, la volonté de Disney d’adapter en « live » ses grands classiques de l’animation se voit confortée par de solides résultats au box-office mondial : après avoir récolté plus d’un milliard de dollars avec Alice au pays des merveilles (2010) et Le livre de la jungle (2016), la firme aux grandes oreilles voit aujourd’hui également La Belle et la Bête fracasser la barre du milliard avec 1,2 milliards de dollars de recettes mondiales, alors même que le film n’est pas encore sorti en vidéo dans tous les pays du monde.

Test Blu-ray : Fast & Furious 8

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A l’image des James Bond qui, eux, peuvent se targuer d’une tradition encore plus longue et prestigieuse, Fast & furious a su créer la somme de tout ce qui compte à un moment donné dans le domaine de l’action époustouflante.

Nouveaux membres de l’Académie : la promotion 2017

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L'actuelle présidente de l'Académie du cinéma américain, Cheryl Boone Isaacs, devra passer la main cet été à son successeur, puisque elle aura atteint le nombre maximal de quatre mandats annuels autorisés. Sa présidence se sera surtout distinguée par une ouverture sans précédent de la vénérable institution hollywoodienne, qui existe depuis 90 ans, à plus de diversité parmi ses membres. La preuve ultime en a été annoncée hier avec la liste des 774 nouveaux membres, originaires de 57 pays, qui peuvent – s'ils le souhaitent – rejoindre les près de 7000 autres membres de l'Académie.

Critique : Message from the king

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Fabrice du Welz est un cinéaste passionnant à plus d’un titre. Avec son premier long métrage, Calvaire (2004), il livrait une authentique bombe qui allait traumatiser pas mal de fans de cinéma de genre avec son mélange inédit de romantisme tordu et d’horreur frontale, le tout dans une ambiance étrange et dérangeante. UJn classique instantané possédant encore aujourd’hui toute son aura. La suite de sa carrière aura été tout aussi radicale, le cinéaste ne sacrifiant jamais ses visions à des impératifs commerciaux. Un esprit d’artiste incontrôlable qui fait sa singularité, mais l’ayant cantonné à un cinéma confidentiel, pour un petit public d’irréductibles. A l’occasion du polar Colt 45, il espérait à l’époque changer de style, pour un film qu’il envisageait comme sa version des polars hardcore américains des 70’s, au style rugueux et impitoyable. L’expérience douloureuse avec son producteur Thomas Langmann l’aura mené vers le radical Alleluia pour lequel il aura retrouvé son plaisir de filmer, malgré une exploitation pour le moins limitée. Tout ça nous amène au film qui nous intéresse aujourd’hui, que l’on peut sans aucun mal voir comme son polar hardboiled dont il rêve depuis longtemps et qui constitue sa première expérience aux Etats Unis. Réalisé avec un budget que l’on devine serré, en très peu de temps (28 jours), et arrivé très tard sur le projet, on se doute bien qu’il ne s’agit pas d’un projet personnel pour le cinéaste mais cela ne veut pas dire pour autant qu’il n’y a pas mis toute son âme, comme on s’en rendra très rapidement compte.

Critique : La Fille du train

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En quête de films noirs tarabiscotés avec personnages forts, ambigus voire carrément troubles depuis la vision de Gone Girl de David Fincher, nombreux sont les cinéphiles à avoir cru dans le potentiel de cette histoire de disparition étrange et d'enquête menée par une jeune femme dont le point de vue n'est pas forcément fiable. Las... Nombreux sont ceux qui devraient déchanter à la vision de cette bien décevante série B aux rebondissements bien improbables.

Test Blu-ray : High-rise

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Atmosphérique et oppressant, le cinéma de Ben Wheatley se plait à agresser le spectateur, à le secouer afin de l’extraire de sa zone de confort, comme s’il voulait le forcer à quitter sa position passive et petit-bourgeois de simple « observateur » de ce qui lui est montré à l’écran. Il semblait donc à priori tout à fait à sa place pour adapter le roman de J.G. Ballard « IGH – Immeuble de Grande Hauteur », récit d’animalité en vase clos avec des morceaux de lutte des classes dénaturée dedans.

Test Blu-ray : Fast & Furious 7

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Avec quelques excellentes surprises au casting (Kurt Russell, Tony Jaa, Jason Statham bien-sûr), Fast & Furious 7 passe comme une lettre à la poste. Derrière la caméra, James Wan s'amuse comme un fou, et le film est aussi linéaire que badass.