Tag: Laurence Fishburne
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Matrix Resurrections
En 1999, les frères Larry et Andy Wachowski – devenus depuis les sœurs Lana et Lily – révolutionnaient la science-fiction avec Matrix. Un peu plus de vingt ans plus tard, la première s’est lancée seule avec Matrix Resurrections, une suite loin d’être binaire...
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Matrix – Édition « Titans of...
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, Matrix a marqué son temps, et s’est même imposé comme une date dans l’histoire du cinéma et dans la culture populaire. Aujourd'hui, le film sort en Blu-ray 4K Ultra HD, dans un super coffret « Titans of Cult »
Test Blu-ray : Ice Road
Ice Road est le dernier thriller d'action en date de Liam Neeson, et en tant que tel, il mérite déjà le coup d’œil, même si la star de 69 ans n'est pas spécialement amenée ici à faire la démonstration de sa forme physique.
Test Blu-ray : The King of New York
The King of New York, c'est la pierre angulaire du polar contemporain - le vestige lointain d'une époque où Abel Ferrara réussissait à maîtriser son cinéma, une pépite sombre habitée par une série d'acteurs au top de leur forme et de leur charisme.
Vu sur Ciné + : La Mule (Clint Eastwood)
En toute probabilité, on aura vu pour la dernière fois Clint Eastwood devant la caméra dans La Mule. Ou peut-être pas ? Car s'il y a bien une chose que nous a appris la longue carrière, ponctuée de nombreux hauts et de quelques bas, de ce géant du cinéma hollywoodien, c'est qu'il a toujours su se réinventer.
Test Blu-ray : John Wick 3 – Parabellum
Cascadeur de formation, le réalisateur de la saga John Wick Chad Stahelski a dû, comme beaucoup d’autres dans son métier, être profondément marqué par la sortie de The raid en 2011.
Test DVD : Il s’appelait Mandela
"Il s'appelait Mandela" est une mini-série historique de 6 épisodes, produite par la chaîne américaine BET (Black Entertainment Television) et qui a été diffusée aux Etats-Unis du 1er au 15 février 2017.
Test Blu-ray : John Wick 2
Clairement, la tournure esthétique et narrative qu'ont choisi de suivre les auteurs de John Wick 2 risque de diviser les cinéphiles en deux camps irréconciliables : d'un côté nous aurons les déçus, qui regretteront le manque d'empathie ressentie par le spectateur pour le personnage de John Wick, et qui crieront à l'odieux enchaînement de scènes d'action, sans âme et sans intérêt. De l'autre, on aura les « vrais » amateurs de cinéma d'action, qui n'ont point besoin de prétexte pour se plonger dans une scène d'action efficace ; ceux qui ont usé leurs VHS ou leur laserdisc de A toute épreuve ou de Desperado à force de se repasser toujours les mêmes scènes en boucle.
Test Blu-ray : Passengers
Dans la première partie de son récit, et alors qu'il colle aux basques d'un passager solitaire, malencontreusement réveillé 90 ans trop tôt de son hibernation, tuant le temps à bord d'un immense vaisseau spatial vide et impersonnel, Passengers s'avère assez convaincant. Si la « solitude » de l'espace (cette grande étendue de vide où personne ne vous entend crier) est un thème du cinéma de science-fiction qui n'a certes rien de très original (des cosmonautes solitaires, on en a régulièrement croisé dans les salles de cinéma ces dix dernières années, notamment dans Moon, Prometheus ou encore Seul sur Mars), le fait est que la première moitié du film fonctionne très bien. On mettra cette réussite au crédit de la personnalité de Chris Pratt, couplée à la malice de la réalisation signée Morten Tyldum (Headhunters) et à un humour finalement assez inattendu dans le déroulement des événements (le clin d’œil à Shining lors de la première scène du bar est d'ailleurs assez réjouissant).
Test Blu-ray : Rusty James
Tourné par Coppola dans la foulée de Outsiders, et toujours d’après un roman de S.E. Hinton, Rusty James en reprend une grande partie du casting et le côté « bande de jeunes » pour en constituer une espèce de pendant esthétisant et froid. Comme s’il s’agissait de la deuxième face d’une même pièce, Rusty James « retourne » Outsiders en le transformant en objet Brechtien, réflexif, profondément conscient de sa nature cinématographique et affichant fièrement une batterie d’artifices visuels clinquants, des cadres léchés, un noir et blanc über-travaillé, comme si le réalisateur cherchait, pour illustrer sa fable sur le temps qui passe teintée de mythologie, à créer un univers unique, suspendu, entre rêve et réalité, entre vie et mort.
Tous les Freddy Krueger à la Cinémathèque
La reprise des sept volets de la saga Freddy dans le cadre de la rétrospective Wes Craven à la Cinémathèque, ça commence aujourd’hui avec...
News de la planète ciné (10 avril 2016, semaine 14)
Voici une petite sélection de news glanées ces deux dernières semaines et non traitées sur le site...
Imogen Poots sera la tête d'affiche de Mobile...