Critique : Dogman

"Dogman" vient positivement enrichir la filmographie de Matteo Garrone et prouver, une fois de plus, la qualité d'un cinéma italien, trop souvent mésestimé, voire carrément rejeté.

Critique : Trois visages

A mi-chemin entre fiction et documentaire, "Trois visages" est un film d'une grande richesse, un film qui, au travers de trois personnages d'actrices appartenant à des générations différentes, évoque avec humour, tendresse et nostalgie les difficultés qu'a toujours rencontrées le cinéma iranien.

Cannes 2018 : Le bilan de Jean-Jacques

Vous l'aurez compris, une fois de plus, l'enthousiasme n'a pas été de mise face aux films de la compétition, même si quelques films ont trouvé grâce à mes yeux. Précisons toutefois que je n'ai vu que 14 films sur les 21 en compétition.

Cannes 2018 : reprises parisiennes

Comme tous les ans, les diverses sélections de la Croisette sont à découvrir à Paris dans les jours qui suivent la fin du Festival...

Cannes 2018: les autres prix

De nombreux prix sont attribués dans le cadre du Festival de Cannes, on complète ce qui manque à notre compte-rendu avec les prix des jurys œcuménique et...

Cannes 2018 : la palme pour Kore-eda Hirokazu

En cette année de commémoration du 160ème anniversaire des relations diplomatiques entre le Japon et la France, le Festival de Cannes a salué une nouvelle fois le talent d'un cinéaste japonais. Après Teinosuke Kinugasa avec La Porte de l’enfer en 1954, Akira Kurosawa avec Kagemusha en 1980 puis Shohei Imamura avec La Ballade de Narayama en 1983 puis L’Anguille en 1997, Kore-eda Hirokazu n'est que le quatrième cinéaste japonais à obtenir cette récompense. Il avait eu le prix du jury pour Tel père, tel fils en 2013 et son acteur adolescent Yuya Yagira avait été primé pour Nobody knows en 2004. Il s'agissait de sa cinquième participation à la course à la Palme d'or, les deux autres films invités étant Distance en 2001 et le délicat Notre petite sœur en 2015.

Cannes 2018 : Le poirier sauvage

Nuri Bilge Ceylan fait parti des grands habitués du Festival de Cannes : six de ses films (sur une filmographie qui en compte huit) ont ainsi été sélectionnés, et ont pour la plupart remporté un prix - jusqu'à la Palme d'Or en 2014 pour Winter Sleep. Retrouver Le Poirier sauvage en compétition n'est donc pas étonnant, mais le projeter le dernier jour est une décision regrettable au vu du ratio état des festivaliers / durée du long-métrage. C'est avec la peur de piquer du nez que le rédacteur de cet article s'est rendu à la projection presse de 20h ; c'est fasciné qu'il en est ressorti, trois heures et huit minutes plus tard.

Cannes 2018 : des techniciens primés

Deux prix sont remis chaque année à des techniciens à l'occasion du Festival de Cannes. Le prix Pierre Angénieux, remis depuis 2013 à...

Cannes 2018 : L’Œil d’or remis à Samouni road

Le Jury présidé par le réalisateur Emmanuel Finkiel a primé Samouni Road de Stefano Savona, un documentaire qui mêle prises de vues réelles et...

Cannes 2018, carnet de bord, huitième partie et fin

Dernier petit tour d'horizon quasi quotidien des quelques films visionnés à Cannes, avec un film de la compétition (le dernier), une curiosité de...

Cannes 2018 : palmarès Un Certain Regard

Le jury de Benicio Del Toro, accompagné de l'actrice Virginie Ledoyen, des réalisateurs Annemarie Jacir (Le Sel de la mer) et Kantemir Balagov...

Cannes 2018, carnet de bord, septième partie

Nouveau très gros coup de coeur en compétition officielle, et il s'agit à nouveau d'un long-métrage issu du continent asiatique. Burning est un...

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Le monstre Gamera naît en 1965, et dès le premier film de la saga Gamera produit par la Daiei, il flottait déjà dans l’air la vague impression qu’à l’image de son grand frère Godzilla, la tortue géante n’était pas simplement une créature sortie d’un cauchemar reptilien, mais une métaphore ambulante de la peur nucléaire.

Les sorties du 24 décembre 2025

En ce jour du réveillon de Noël 2025, permettez-nous d’abord de vous souhaiter, à toutes et à tous, de bonnes fêtes de fin d’année ! Même si le cinéma n’est sans doute guère la priorité en ces temps de célébrations, de retrouvailles familiales et d’heures de bilan, les distributeurs français n’ont pas complètement rendu les armes en cette semaine de repos généralisé.

Test Blu-ray : Slocum et moi

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Il y a des films qui se construisent comme des cabanes bancales, et Slocum et moi ressemble à une embarcation bricolée dans un jardin de banlieue, mais qui finit par flotter dans l’imaginaire collectif comme un paquebot de souvenirs.

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Test Blu-ray : Coffret Sissi – L’intégrale

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Les films de la saga Sissi ont la réputation d’être des bonbons sucrés pour les yeux, mais en réalité ce sont des machines à fabriquer du kitsch impérial, des usines à rêves où Romy Schneider prend les atours d'une icône éternelle, figée dans une robe qui semble avoir été cousue par des anges aux fesses joufflues.