Critique Express : L’air mouillé

"L'air mouillé" va être disponible gratuitement pendant 3 mois à partir du mercredi 18 juin sur la plateforme SaNoSi Live. 

Critique Express : La tournée

"La tournée" a le mérite non négligeable de faire rire sans vulgarité tout en montrant des a-côtés pas toujours bien connus de la distribution des films et en permettant au public d'accroitre sa connaissance sur tous ces métiers du cinéma qui lui permettent de prendre du plaisir dans les salles obscures.  

Critique : Lola Une femme allemande

Le cas de Rainer Werner Fassbinder est tout de même d'une singularité sidérante. Cet enfant terrible du cinéma allemand était l'observateur hors pair des défauts et autres hypocrisies flagrantes de son pays natal.

Critique Express : Enzo

Une histoire de transfert de classe très intéressante et peu souvent auscultée dans ce sens là, malheureusement gâchée par la réalisation et par le jeu des interprètes.

Critique : Asteroid City

Dans son onzième long-métrage, Wes Anderson fait essentiellement du Wes Anderson. C'est-à-dire qu'il nous présente une histoire aussi joliment décalée que tributaire d'une myriade de dispositifs cinématographiques, le tout porté par une distribution surabondante de noms prestigieux.

Critique : Loveable

Avec ce film féministe très réussi qui refuse de voir systématiquement le mal chez le mâle, Lilja Ingolfsdottir montre qu'elle a toutes les qualités pour faire partie des réalisatrices qui comptent.

Critique : A normal family

Jin-Ho Hur n'est pas le plus connu parmi les réalisateurs coréens. Habituellement intéressé par ce qu'on a coutume d'appeler les bons sentiments, l'amitié, l'amour ou la fraternité, il fait ici ses premiers pas dans un registre beaucoup plus noir et c'est une belle réussite cinématographique.

Critique Express : Le rendez-vous de l’été

C'est un film de fiction se déroulant dans le contexte des Jeux Olympiques de Paris que Valentine Cadic, qui souhaitait vouloir comprendre puis montrer comment un tel évènement sportif pouvait influencer la vie de personnes n'étant pas directement concernées, a choisi de réaliser pour son premier long métrage.

Critique : Affreux sales et méchants

A peu d'années près un contemporain des géants du cinéma italien que seront pour toujours Federico Fellini et Michelangelo Antonioni, le réalisateur Ettore Scola ne peut guère se prévaloir d'une filmographie aussi touffue que ses illustres confrères. Certes, il a été un chroniqueur hors pair de la société italienne du siècle dernier, quoique sans le regard acéré d'un Elio Petri ou d'un Francesco Rosi.

Critique Express : Différente

A plusieurs reprises, Lola Doillon s'était vue proposer de réaliser des projets sur le thème de l'autisme et les recherches qu'elle avait entreprises sur le sujet l'ont amenée à utiliser la moisson qu'elle avait faite dans le cadre du récit d'une histoire amoureuse qu'elle avait en tête.

Critique Express : Indomptables

Film très personnel de la part de Thomas Ngijol, "Indomptables" est un faux film policier et un vrai film attachant.

Critique Express : Horizonte

Malgré un remarquable premier long métrage, "La terre et l'ombre", qui lui avait permis d'obtenir la Caméra d'or au Festival de Cannes 2015, il aura fallu attendre 10 ans pour que le réalisateur colombien César Acevedo puisse nous proposer son 2ème long métrage de cinéma.

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Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.

Sarlat 2025 : A pied d’œuvre

En France, en 2025, la précarité ne relève pas du mythe. Elle peut commencer, presque innocemment, par des difficultés à boucler les fins de mois. Pour se transformer tôt ou tard en une crise existentielle pouvant prendre de nombreuses formes dont aucune n’est édifiante ou plaisante à regarder.

Test Blu-ray : La trilogie Pusher

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