La Roche-sur-Yon 2025 : L’Amour qu’il nous reste
Notre premier film découvert lors de cette 16ème édition du Festival de La Roche-sur-Yon n’aurait pas pu être plus représentatif de ce que l’on attend lors de ce rendez-vous immanquable de notre rentrée de cinéma : une œuvre aussi atypique que passionnante !
Critique Express : Lumière pâle sur les collines
Un film plein de sensibilité sur les blessures du passé mais qui manque parfois dec clarté dans son discours.
Critique Express : Nouvelle vague
On ne peut qu'être bluffé(e)s par l'impression de véracité que l'on ressent.
Critique Express : Accrochées
La montagne a longtemps été un domaine presque exclusivement masculin. Petit à petit, les choses bougent, enfin !
Critique Express : Météors
Avec ses nombreuses ellipses et sa fin énigmatique, le film laisse une paire de questions sans réponse.
Critique Express : Un simple accident
Un film de grande qualité qui, en mélangeant drame et humour, traite d'un sujet particulièrement important, celui de la vengeance.
Critique Express : Classe moyenne
Présenté comme étant une comédie, "Classe moyenne" se révéle très souvent plus lourd que drôle.
Critique Express : Panopticon
"Panopticon" est un premier long métrage prometteur
Critique Express : L’intérêt d’Adam
La grande force de ce film à la fois très court et très intense réside dans la maîtrise dont Laura Wandel fait preuve pour entretenir une très grande tension, disons même un suspense haletant.
Critique Express : Libre échange
On attendait mieux de la part de Michael Angelo Covino et Kyle Marvin que cette comédie de boulevard basée sur les relations sexuelles, qui se veut anticonformiste mais qui est surtout paresseuse.
Critique Express : Miroirs n° 3
On peut avoir l'impression qu'il ne se passe pas grand chose dans ce film, véritable film sur les fantômes dans lequel n'apparait aucun fantôme, mais il n'empêche qu'y règne en permanence une grande tension et le spectateur, pris par ce qu'il devine petit à petit, ne cesse de se demander ce qui va arriver à Laura.
Critique : La femme qui en savait trop
Nader Saeivar tenait à faire ce film en soutien du mouvement "Femme, Vie, Liberté". Il l'a tourné clandestinement avant de quitter l'Iran pour aller s'établir à Berlin.


















