Critique Express : On vous croit
"On vous croit" est un grand film qui ne peut que bouleverser les spectateurs les plus endurcis.
Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien
A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.
Sarlat 2025 : Animal totem
Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.
Sarlat 2025 : Promis le ciel
En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.
Sarlat 2025 : A pied d’œuvre
En France, en 2025, la précarité ne relève pas du mythe. Elle peut commencer, presque innocemment, par des difficultés à boucler les fins de mois. Pour se transformer tôt ou tard en une crise existentielle pouvant prendre de nombreuses formes dont aucune n’est édifiante ou plaisante à regarder.
Sarlat 2025 : La Femme de
Premier film égale première bonne surprise pour notre couverture de la 34ème édition du Festival de Sarlat. Le privilège du public festivalier – à plus forte raison celui appartenant à la presse – de découvrir des films avant tout le monde, sans aucun a priori, a pleinement porté ses fruits dans le cas du deuxième long-métrage de David Roux, six ans après L’Ordre des médecins.
Critique Express : Le cinquième plan de la jetée
L'objet final proposé par Dominique Cabrera à l'issue de son enquête s'avère émouvant et passionnant à suivre.
Critique Express : Deux procureurs
Quand bien même l'action de "Deux procureurs" se déroule en 1937, il parait évident que Sergueï Loznitsa a choisi de nous parler de la Russie des années 2020 : le dictateur n'est plus le même mais la volonté d'imposer sa détermination politique par la violence est identique.
Critique Express : The cord of life
A mesure que le film avance, on retient la nostalgie qu'il dégage avec bonheur, donnant naissance à des moments où on se met à réfléchir aux liens qu'on a pu avoir ou qu'on a toujours avec ses parents, aux souvenirs qu'on peut avoir des endroits où on a vécu.
Critique Express : The great departure
"The great departure" est un savoureux et très réussi mélange de "love story" et de "L'Inde pour les nuls".
Critique Express : Arco
Au mélange de poésie et de science-fiction que dégage ce film, " ajoute avec bonheur une bonne dose de burlesque.
Critique Express : La petite dernière
L'excellente comédienne qu'est Hafsia Hersi n'a toujours pas réussi à se débarrasser totalement de la tutelle implicite d’Abdellatif Kechiche qu'elle s'est imposée à elle-même quand elle s'est lancée dans la réalisation.



















