Test DVD : Cape et poignard
Cape et poignard
États-Unis : 1946
Titre original : Cloak and dagger
Réalisation : Fritz Lang
Scénario : Ring Lardner Jr., Albert Maltz
Interprètes : Gary Cooper, Lilli Palmer,...
Test DVD : Mission 633
"Mission 633", adaptation cinématographique d'un roman de Frederick E. Smith paru en 1956, est une œuvre de pure fiction qui raconte une opération qui n'a jamais eu lieu mais dont le côté parfaitement plausible montre qu'elle qui aurait très bien pu avoir lieu
Test Blu-ray : Falcon rising
Falcon rising est un bon petit film de baston old school, au cœur duquel White débarque à Rio et va débarrasser les favelas de bon nombre de ses parasites. Fun, rythmé et d'une désarmante sincérité (pas l'ombre d'un gag ou du moindre petit second degré ici, on n'est pas dans Black dynamite), le film propose des séquences d'action à intervalles très réguliers
Test Blu-ray : Coffret – Intégrale Jane Campion
Cinéaste incontournable, Jane Campion, a bâti l'ensemble de son œuvre sur des portraits de femmes fortes, bien déterminées à se libérer des carcans et des normes qu'une société dominée par les hommes veulent leur imposer.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Les Goonies
Avec 62 millions de dollars au box-office américain et 1,4 millions d’entrées dans les salles françaises, Les Goonies fut l’un des gros succès commerciaux de l’année 1985. Ainsi, malgré une post-production un peu compliquée, le film était parvenu, déjà en son temps, à s’imposer comme un grand film d’aventures à destination de toute la famille, et à semer les graines du futur film-culte auprès des spectateurs les plus jeunes.
Test Blu-ray : A bras ouverts
Le cinéaste Philippe de Chauveron est devenu la cible des foudres des critiques avec Qu’est-ce que j’ai fait au bon dieu ? (2015) et A bras ouverts (2017), considérés comme de dangereux pamphlets racistes, donnant du grain à moudre aux extrémistes.
Test Blu-ray : Trahison d’état
On sait bien ce que vous vous dites à la découverte de ce Trahison d'état. Avec son affiche et son titre semblant tous deux aussi formatés qu'interchangeables avec des tas d'autres, on tient là un pur « DTV » sans aucun intérêt. Vous vous trompez concernant le film, qui s'avère un attachant thriller politique – on va d'ailleurs évoquer un peu plus bas ses qualités. Concernant son titre en revanche, on avoue qu'on vous rejoint un peu. De la même façon que les comédies américaines furent pendant un temps systématiquement renommées en France en American machin, en bidule Movie ou, un peu plus tard, en Very bad truc (étrange d'ailleurs qu'aucun éditeur n'ait tenté un American very bad movie !), les thrillers politiques ont quant à eux droit au champs lexical du mensonge, de la trahison et bien-sûr de l'état. Du côté des « trahisons » en tous genres, on avait déjà Trahison (2008), Le prix de la trahison (2008), Trahison au sommet (2006), Ultime trahison (2013), Double trahison (2014) ou encore tout simplement Trahisons (2016). Et du côté de l'état, on pense notamment à Secrets d'état (2004), Raisons d'état (2006), Coups d'état (2006), Mensonges d'état (2008), Une affaire d'état (2009), Crime d'état (2013), Examen d'état (2014) ou Secret d'état (2014). Bon, alors voilà, Trahison d'état, ce n'était pas encore utilisé, on dit banco pour celui-là.
Test Blu-ray : Westworld – Saison 1
Westworld, c’est en premier lieu un générique, qui pose l’ambiance de la série – comme tout bon générique donc. Une mélodie au piano, des machines semblant fabriquer des êtres humains, quelques éléments rappelant le far west. Comme le film des années 70, chroniqué ici, il est question d’une sorte de réserve naturelle à thème dans laquelle des touristes peuvent se rendre, moyennant 1000 dollars par jour (40 000 aujourd’hui, merci l’inflation !), pour jouer au cow-boy ou au bandit. Série oblige, ici nous avons plusieurs points de vue, plusieurs intrigues qui se développent en parallèle, pour nous conter les événements de ce parc. En dépit du postulat de base, la série ne va ni conter la même histoire, ni embrasser le point de vue d’humains seulement. Il est cette fois question en grande majorité de la conscience de ceux appelés « robots » pour s’en distancier, et par extension de la conscience de nous autres humains. En bref, un beau programme en perspective !
Test Blu-ray : xXx reactivated [ Blu-ray 3D ]
Si l’on ignore encore si l’on peut réellement parler d’une « évolution » du genre, le fait est que le cinéma d’action a énormément changé en l’espace de quinze ans : plutôt que de capitaliser sur une action star à qui tout réussit, le blockbuster d’action a muté au fil des années, s’orientant d’avantage vers les films de « bandes » accomplissant des exploits et autres prouesses « bigger than life », quitte à se vautrer dans le délire le plus surréaliste et le plus réjouissant, pour le plus grand plaisir d’un public avide de sensations et de grand spectacle. Dans cette catégorie, on pense par exemple (et entre autres) au diptyque Charlie’s angels, à Bad boys II, aux films de la saga Expendables ou encore à Fast & Furious 5 / 6 / 7 / 8.
Test Blu-ray : Nightwatchmen, les gardiens de la nuit
Autant être clair d'entrée de jeu : avancer que nous n'avions pas les pires craintes à l'insertion du Blu-ray de Nightwatchmen, les gardiens de la nuit dans notre lecteur serait un mensonge éhonté. En effet, nos expériences récentes du « blockbuster » en provenance de Russie se sont soldées par une impression mi figue mi raisin : pour un Night watch réussi en 2004, des films tels que Battlestar rebellion (2008), Black lightning (2009) ou Guardians (2016) se sont succédé depuis sur les linéaires de nos revendeurs Blu-ray / DVD sans parvenir à nous convaincre : si ces films faisaient certes preuve d'une certaine ambition, il n'empêche qu'ils loupaient leur cible dans les grandes largeurs - mais avec les meilleures intentions du monde.
Test Blu-ray : Hyena
Noir, violent, cynique, sans espoir, Hyena est un thriller d'une noirceur abyssale, allant chercher ses influences du côté du cinéma de Nicolas Winding Refn se vautrant dans la plus intense glauquerie.
Test Blu-ray : Dead Ball (Sushi Typhoon)
Particulièrement délirant dans son genre, Dead Ball parodie tout un pan du shōnen, des récits sportifs à ceux se déroulant dans des prisons ou centres de redressement pour jeunes délinquants. Une prison où les fouilles anales se font jusqu'au coude, et où on sert du dégueulis à la cantine. Généreux, Yamaguchi met un peu de tout dans son film : du western spaghetti, du sport, des Nazis, des groupes de J-Pop (Poo-Poo et DizzyBusy y font des apparitions), un mecha aux « jambes à l'air »...