Test Blu-ray : Navajo Joe
Réalisé par Saint Corbucci en 1966, soit la même année que le Django qui lui apporterait honneur et gloire dans le monde entier, Navajo Joe est un western spaghetti qui, sous ses atours avenants et colorés, cache en réalité une noirceur inattendue...
Test Blu-ray : Les Maléfices de la momie
Profondément typique du soin apporté par la Hammer à ses productions, même les plus modestes, tout au long des années 60, Les maléfices de la momie remet, comme son titre l’indique clairement, le personnage de « la momie » sur le devant de la scène.
Test Blu-ray : Dancing Pina
La note d’intention du documentaire Dancing Pina semble claire : le film se veut une célébration de la vie et de l’œuvre de la chorégraphe allemande Pina Bausch, à travers la transmission artistique de son travail vers une nouvelle génération de danseurs.
Test Blu-ray : Jessabelle
Créé par Jason Blum en 2000, Blumhouse Productions produit depuis une quinzaine d'années des films d'horreur à budget restreint, privilégiant une ambiance oppressante et efficace à de quelconques -et couteux- artifices de mise en scène.
Continuum – Saison 3, disponible en coffret 4 DVD
Avec les sorties couplées, respectivement les 6 et 13 janvier, de la troisième saison de Continuum et de la cinquième et dernière saison de...
Test Blu-ray : Zombie – Édition Collector 40ème Anniversaire
En tant que critique, quand on se doit d’aborder un film unanimement considéré comme un monument, la solution de facilité consiste souvent à décréter péremptoirement que « tout a déjà été dit » sur le film en question. Zombie est de ceux-là.
Test Blu-ray : Le Gorille vous salue bien + La Valse du gorille
Le Gorille vous salue bien commence plutôt comme un polar. Un homme s’évade de prison en tordant les barreaux de sa cellule, les cadavres et les coups de pression entre truands s’accumulent, le Gorille défonce des portes verrouillées, et se bat contre des adversaires qui, face à sa force, font littéralement figure de poupées de chiffon...
Test Blu-ray : Insidious – La dernière clé
Quand le prodige du cinéma d’horreur James Wan a à nouveau pris la décision de partir explorer les horizons du blockbuster contemporain avec Aquaman, il a laissé orphelin non seulement le public, mais également son camarade et complice Leigh Whannell, désormais seul maitre à bord sur la franchise Insidious. Probablement sous l’influence de ses producteurs Jason Blum et Oren Peli, le scénariste de la saga a donc dû céder le poste de réalisateur qu’il occupait sur le troisième opus à un des petits nouveaux de l’écurie Blumhouse, Adam Robitel, réalisateur en 2014 de L'étrange cas Deborah Logan. L’annonce de l’arrivée de Robitel à la réalisation d’Insidious – La dernière clé avait beaucoup inquiété les amateurs de cinéma fantastique. Cependant, au regard du produit terminé, on constatera néanmoins que l’on est en présence d’un solide petit film horrifique, privilégiant certes le recours aux « jump-scares » plutôt que la montée en puissance d’une ambiance, mais demeurant globalement assez fréquentable.
Test Blu-ray : Vampires en toute intimité
Que cela soit bien clair entre nous : on ne paraphrasera pas ici les propos tenus en novembre dernier par notre rédacteur David Huriot, qui mettait en avant tout le sel de Vampires en toute intimité, comédie néo-zélandaise absolument folle et souvent irrésistible.
Test Blu-ray : The Bricklayer
Là où The Bricklayer se démarque clairement de ses petits camarades, c’est dans la personnalité que l’on trouvera derrière la caméra : rien de moins que Renny Harlin, qui depuis une quinzaine d’années semble bel et bien avoir déserté les plateaux Hollywoodiens pour tourner où le vent le mène, de l’Asie à Europe de l’Est...
Test Blu-ray : Une bible et un fusil
Même s’il s'agit d'une suite de l'excellent Cent dollars pour un shérif (1969), Une bible et un fusil vaut surtout pour le fait qu’il réunisse à l’écran John Wayne et Katharine Hepburn.
Test Blu-ray : Roma
Émouvant, intimiste, Roma aura permis à Alfonso Cuarón de livrer au public une évocation sincère et fortement autobiographique de son enfance mexicaine, qu'il se remémore et reconstitue à l'écran avec un soin maniaque par le biais de l'histoire de Cleo, domestique et femme à tout faire au cœur d'une famille aisée. Bien sûr, autour du récit principal graviteront de petits instantanés de vie dans le Mexique des années 70, qui contribueront au final à dessiner un état des lieux très fidèle de la société de l'époque. Habile, Cuarón choisit, même si cela est tout à fait impossible en vérité, de tabler sur une certaine « objectivité », la grande qualité de sa reconstitution étant de ne jamais s'avérer angélique ou partisane, qu'il s'agisse des bouleversements sociaux ou dans le constat des mœurs d'hier et des relation hommes / femmes.



















