Test BluRay: Dark Shadows
En 1752, Joshua et Naomi Collins quittent Liverpool, en Angleterre, pour prendre la mer avec leur jeune fils Barnabas, et commencer une nouvelle vie en Amérique. Mais même un océan ne parvient pas à les éloigner de la terrible malédiction qui s’est abattue sur leur famille. Vingt années passent et Barnabas a le monde à ses pieds, ou du moins la ville de Collinsport, dans le Maine. Riche et puissant, c’est un séducteur invétéré… jusqu’à ce qu’il commette la grave erreur de briser le cœur d’Angelique Bouchard. C’est une sorcière, dans tous les sens du terme, qui lui jette un sort bien plus maléfique que la mort : celui d’être transformé en vampire et enterré vivant.
Deux siècles plus tard, Barnabas est libéré de sa tombe par inadvertance et débarque en 1972 dans un monde totalement transformé…
Test Blu-ray : Carbone
Avec Carbone, film noir aux accents de tragédie familiale, le grand spécialiste du polar en France Olivier Marchal s’approprie un faits divers qui s’est déroulé en 2007 : une fraude gigantesque à la TVA...
Test Blu-ray : Un petit boulot
Adapté du roman éponyme de Iain Levison, Un petit boulot est une comédie « sociale » en mode noirissime. Mettant en scène un ouvrier ayant tout perdu (job, femme, télé…) se mettant à enchainer les meurtres commandés pour sortir de la crise, le film de Pascal Chaumeil, décédé juste après le tournage, s’avère une bonne surprise, portée par le talent de Romain Duris, impeccable en prolo barbu et hirsute retrouvant sa dignité en liquidant son prochain.
Test Blu-Ray : Captain Fantastic
Pour les 6 enfants de Ben, le voyage entre l'Etat de Washington et le Nouveau-Mexique est un événement exceptionnel, une plongée dans la "vraie vie" américaine, celle des super-marchés, celle des Mac Do et de l'obésité, pour eux qui n'ont jusqu'alors pratiqué, entre eux, que leur paradis naturel.
[Sorties DVD / Blu-ray] Du lourd d’ici la fin de l’année !
Re-animator, Re-Animator II, Les banlieusards, Parker Lewis et 4 films de Van Damme : un deuxième semestre sous le signe de la re-découverte de pépites oubliées...
Test Blu-ray : Normandie nue
Depuis de nombreuses années maintenant, Philippe Le Guay est parvenu à s’imposer comme un des grands artisans français d’un certain cinéma populaire « à l’ancienne ». A ce titre, on pourra, peut-être à tort, le cataloguer au sein d’un certain registre, aux côtés de cinéastes tels que Pascal Thomas ou Jean Becker, comme les représentants d’un cinéma de qualité française dont les œuvres semblent avant tout destinées à un public de « séniors », et dont les ambitions formelles surpassent rarement celles d’un téléfilm tourné pour France 3. Qu’à cela ne tienne cependant – son dernier long-métrage en date, Normandie nue, est une œuvrette qui a, tout comme ses films précédents, parfaitement su trouver son public dans les salles (presque 600.000 entrées tout de même !) et qui ne déstabilisera à priori pas trop les amoureux de son cinéma. Car malgré son sujet « sulfureux » en apparence, cette comédie paysanne est avant tout une nouvelle occasion pour le réalisateur / scénariste de constater une nouvelle fois à quel point la France contemporaine va à vau-l’eau, et à quel point tout était beaucoup mieux avant, ma bonne dame.
Test Blu-ray : 16 levers de soleil
Du haut de ses 41 ans, avec son physique de rêve et sa gueule d’ange, Thomas Pesquet est sans aucun doute l’astronaute français le plus célèbre et le plus médiatisé depuis les débuts de la conquête spatiale en France. Son parcours aussi exceptionnel qu’incroyable a de quoi laisser rêveur, aussi le spationaute français a-t-il depuis quelques années été le sujet de nombreux articles, reportages, documentaires, livres et même d’une bande dessinée signée Marion Montaigne et intitulée « Dans la combi de Thomas Pesquet ». Dans le secteur qui nous intéresse, Pesquet avait déjà fait l’objet de deux documentaires en 2017, L'étoffe d'un héros et L'envoyé spatial, tous deux disponibles en Blu-ray et DVD.
Test Blu-ray : When a wolf falls in love with a sheep
Si malgré sa courte durée, When a wolf falls in love with a sheep développe dans un premier temps son intrigue sur un rythme relativement lent, c’est pour mieux mettre en place ses personnages, que le cinéaste Hou Chi-jan prend grand soin de présenter un par un, à grands renforts d’effets visuels tantôt décalés, tantôt brillants. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce soin apporté à introduire les personnages portera ses fruits dans la suite du récit, qui multiplie à dessein les rebondissements complètement fous (la rencontre avec le prêtre, la recherche du chien…) jusqu’à la rencontre fortuite, sur une copie d’examen, d’un mouton et d’un loup.
Test Blu-ray : Grave
Grave est une métaphore de l’adolescence qui joue avec nos sens pour créer un paradoxe dans notre façon de voir les choses, dans notre appréhension des actes de la protagoniste. Chaque plan est millimétré jusqu’à ce final cynique de haute volée.
Test Blu-ray : White bird
Gregg Araki n'a jamais réellement arrêté de surprendre. Si son cinéma s'est certes assagi en murissant (c'est qu'il a quand même 56 ans), il continue toujours de gratter là où ça fait mal, pointant du doigt une société à la dérive. Avec White bird, il aborde à nouveau, dix ans après Mysterious skin, un récit de coming of age qui ne tardera pas à révéler son lot de mensonges
Test Blu-ray : The circle
Le sujet de The circle n’aurait pas pu être plus d’actualité, en ces temps où l’humanité se prépare de gré ou de force à la transition vers une présence du numérique dans tous les domaines de la vie. Dommage alors que l’intrigue ne se montre pas plus originale, pour exprimer en termes filmiques cet état des lieux pour le moins préoccupant. Constamment à mi-chemin entre la propagande pour le règne à venir des réseaux sociaux et une mise en garde presque frileuse contre cette même dérive hypothétique, mais pas si lointaine que ça, le film de James Ponsoldt risque davantage de rater sa cible que de déclencher une réflexion éclairée sur cette thématique pour le moins épineuse.
Test Blu-ray : Les proies
Au fil des années et des films, la fougue et la « passion » qui animaient la critique et le public à la découverte des œuvres de Sofia Coppola s'est peu à peu tarie, laissant de plus en plus place à un intérêt distant, une indifférence polie. Si l’annonce de chacun de ses nouveaux films suscite immanquablement un léger regain de fougue, la découverte de ceux-ci finit toujours un peu par décevoir, comme si on en voulait un peu à la cinéaste de ne pas nous livrer à chaque long-métrage une œuvre de la force de son premier (et meilleur) film, The virgin suicides.






![[Sorties DVD / Blu-ray] Du lourd d’ici la fin de l’année !](https://www.critique-film.fr/wp-content/uploads/2016/05/reanimator.jpg)











