Blaq Market Collection #03 et #04 : Ruined heart / Aaaaaaaah!
Aussi différents puissent-ils être l’un de l’autre, Ruined heart et Aaaaaaaah! sont tout de même réunis par un dénominateur commun : il s’agit de deux films ne comportant aucun dialogue. Si les acteurs de Aaaaaaaah! ont dans un premier temps appris leur texte avant de « l’oublier » (ils s’expriment uniquement à l’écran par des cris et des grognements, censés reproduire un langage primitif proche de celui des singes ou des hommes de Cro-Magnon)
Test BluRay: Cendrillon
Cendrillon, servante de sa marâtre et de ses demi-soeurs reçoit un jour la visite de sa marraine fée qui la pare d'une robe de princesse à l'occasion d'une reception donnée par le prince. N'ayant que la permission de minuit, elle s'enfuit et perd une pantoufle de verre. Le prince tombé amoureux tentera de la retrouver grâce à cette pantoufle oubliée, trop petite pour un pied ordinaire.
Test Blu-ray : The last ship – Saison 1
Encore peu connue en France malgré sa diffusion sur M6 l'hiver dernier, la série The last ship s'avère pourtant une excellente surprise, que personne n'avait vraiment vu arriver. Créé par et Hank Steinberg et Steven Kane, le show investit le genre de la science-fiction post-apocalyptique sur un mode très nerveux et orienté action.
Test DVD : Histoires fantastiques – L’intégrale
D’Histoires fantastiques, le public français connaît principalement trois épisodes, qui s’étaient vus compilés sous la forme d’un film à sketches sorti en salles en 1987 : Papa momie, La mascotte et La mauvaise tête.
Test Blu-ray : Pompoko
Un dessin animé, qui plus est distribué par Disney, au cœur duquel des ratons laveurs utilisent la peau de leurs roubignoles comme des parachutes, vous en avez rêvé ? Ghibli l'a fait. Réalisé en 1994 par Isao Takahata, sur une idée de départ d'Hayao Miyazaki, Pompoko nous narre les déboires des derniers « tanuki » (créatures mythiques et métamorphes japonaises proches du raton laveur donc) aux prises avec les hommes et l'urbanisation grandissante qui réduit de jour en jour leur habitat naturel.
Test DVD : Call the midwife – Saisons 1 et 2
Le prisme des sujets abordé par les séries télé à travers le monde est vaste, très vaste, et comme se plaît à le rappeler ma grand-mère, il y en a « pour tous les goûts ». Cependant, si on vous avait dit un jour que vous vous passionneriez pour la description fidèle d’un microcosme de sages-femmes dans la Grande Bretagne des années 50, vous y auriez cru, vous ? C’est pourtant ce que propose la BBC depuis 2012 avec Call the midwife, série créée par Heidi Thomas d'après le best-seller autobiographique de Jennifer Worth « Appelez la sage-femme ». Autant dire que l’on n’est pas tout à fait dans l’univers aseptisé d’Urgences ou de Grey’s anatomy, mais le moins que l’on puisse dire, c’est que la description de la vie de ces femmes se débattant avec leur métier mais aussi en quelque sorte avec la société britannique de l’époque dans un quartier défavorisé de Londres développe un côté profondément addictif. Plus surprenant encore, malgré les à priori que pourrait avoir le spectateur masculin, persuadé en insérant le premier DVD de la série dans le lecteur que ce type de séries n’était « pas pour lui », Call the midwife parviendra probablement au fil des épisodes à complètement retourner l’auditoire, quels que soient son sexe et ses idées toutes faites.
Test Blu-ray : The taint
Suite à une sombre histoire d'eau du robinet infectée, les hommes se transforment en « misogynes » dotés de sexes démesurés et incontrôlables, et n'ont plus qu'une seule idée en tête : étriper toutes les femmes qu'ils rencontrent. Avec un pitch pareil, mis en image à l'avenant, autant dire que dans le créneau des films bargeasses et totalement frappadingues, The taint est amené à faire figure de mètre-étalon...
Test DVD : Tremors – Shrieker Island
Tremors : Shrieker Island est le septième opus de la saga Tremors, initiée en 1990 avec le film-culte de Ron Underwood.
Test DVD : Un peu, beaucoup, aveuglément
Lorsque vous souhaitez aller voir un film, il est probable qu'il y a une chose que vous refusez obstinément : qu'on vous en raconte la fin. Il y a pourtant un sous-genre cinématographique qui échappe à cette règle, dans la mesure où, lorsqu'on se dirige vers un tel film, pas besoin que votre meilleur(e) ami(e) vous la raconte, cette fameuse fin, elle est fournie d'office. Ce sous-genre appartient à la comédie romantique : ce sont les films qui commencent par la rencontre d'un couple dont on s'aperçoit très vite que tout les sépare, qu'ils ne se supportent pas l'un l'autre et, qu'ensemble, leur vie est un véritable enfer ; et qui se terminent par le même couple partant main dans la main vers un avenir rempli d'amour et de félicité.
Test Blu-ray : Un seul amour
Librement adapté de deux nouvelles de Balzac (La grande Bretèche et Le message), Un seul amour fut tourné en 1943 pendant l’occupation allemande. Ecrit, réalisé et interprété par le ténébreux Pierre Blanchar, le film dresse un portrait sans concession de la bourgeoisie de la fin du XVIIIème siècle, et s’impose rapidement comme une fable cruelle et volontiers cynique, aux accents fantastiques, évoquant dans son dénouement le chef d’œuvre de William Shakespeare Roméo et Juliette.
Test Blu-ray : The circle
Le sujet de The circle n’aurait pas pu être plus d’actualité, en ces temps où l’humanité se prépare de gré ou de force à la transition vers une présence du numérique dans tous les domaines de la vie. Dommage alors que l’intrigue ne se montre pas plus originale, pour exprimer en termes filmiques cet état des lieux pour le moins préoccupant. Constamment à mi-chemin entre la propagande pour le règne à venir des réseaux sociaux et une mise en garde presque frileuse contre cette même dérive hypothétique, mais pas si lointaine que ça, le film de James Ponsoldt risque davantage de rater sa cible que de déclencher une réflexion éclairée sur cette thématique pour le moins épineuse.
#Noël approche : Sélection de coffrets Blu-ray / DVD pour les fêtes
Cela n'a pas pu vous échapper : en dépit d’une année 2020 qui aura décidément été marquée par le sceau de la crise sanitaire du Covid-19, les fêtes de Noël approchent, immuables, comme insensibles au stress de familles entières gagnées par une ambiance de liesse teintée de paranoïa grandissante.


















