Test Blu-ray : Les Tontons flingueurs – Réédition 2017

0
S’il n’est probablement ni le plus maitrisé ni même le plus drôle parmi les nombreux films qu’auront signé, en tandem, Georges Lautner et Michel Audiard, Les Tontons flingueurs est néanmoins rapidement entré dans la « légende » du cinéma.

Leatherface 2003-2017 : Entre « reboot » et origines

0
Massacre à la tronçonneuse : 4 films réalisés entre 1974 et 1994, puis 4 films post-reboot, réalisés entre 2003 et 2017. A l’occasion de la sortie en ce début d’année de Leatherface, on revient sur ces quatre derniers opus, tous dispos chez Metropolitan Vidéo.

Test Blu-ray : Hitman & Bodyguard

0
Un buddy movie improbable, des scènes d’action décomplexées, des « fuck » toutes les 30 secondes, Gary Oldman en « méchant », Salma Hayek de retour dans une comédie d’action... Hitman & Bodyguard n’est pas un simple film : c’est une machine à remonter le temps !

Test Blu-ray : Leatherface

0
A l’occasion de la sortie de Leatherface en Blu-ray et DVD le 2 janvier 2018, on prépare un dossier sur la période « reboot » de la saga Massacre à la tronçonneuse (2003-2017).

Test Blu-ray : Seven sisters

0
Si l’on considère volontiers que la présence de Noomi Rapace au générique d’un film est une raison suffisante pour se plonger dans n’importe quel long-métrage, on peut déjà d’entrée de jeu aligner sept bonnes raisons de voir Seven sisters.

Test Blu-ray : Pendez-les haut et court

0
Pendez-les haut et court occupe une place un peu « à part » dans la filmographie de Clint Eastwood. En effet, après avoir tourné trois westerns aux côtés de Sergio Leone, le film de Ted Post constitue son premier western en tant que « star » aux États-Unis.

Test Blu-ray : La Tour sombre

0
Il semble difficile d'évoquer La tour sombre, adaptation cinématographique d'une série de bouquins signés Stephen King, sans aborder dans un premier temps la saga littéraire, qui compte à ce jour huit copieux volumes et plus de 4000 pages.

Test Blu-ray : Arabesque

0
Pur produit de son époque, Arabesque est un film qui fleure bon l’insouciance des années 60 et du « swinging London », une comédie d’espionnage en mode décontractée, avec un héros imperturbable confronté aux personnages les plus hauts en couleurs et aux situations les plus rocambolesques. On passera donc rapidement sur l’intrigue du film, qui nous narre une espèce de complot tarabiscoté dont on n’est pas vraiment sûr de saisir les tenants et aboutissants réels, pour se concentrer sur l’ambiance, l’air du temps qu’a su saisir au vol Stanley Donen, proposant au final avec Arabesque un petit plaisir sucré aussi inoffensif que charmant, d’autant qu’il s’avère visuellement très soigné.

Test Blu-ray : La Planète des vampires

0
Si d'aventure il vous arrivait de rencontrer un cinéphile qui vous raconterait, la voix encore remplie de souvenirs émus, comment il a découvert La Planète des vampires en 1966-67 au Brady après l'avoir découvert en couverture de Midi-Minuit Fantastique, vous pourrez en être certain : vous avez affaire à un « gros mytho ».

Test Blu-ray : Le retour des morts-vivants

0
Si on ne rattache que très peu souvent (voire même quasiment jamais) Le retour des morts vivants et ses suites à la saga initiée en 1968 par George A. Romero avec La nuit des morts vivants, il semblerait finalement assez juste de la considérer non seulement comme en étant une excroissance, mais aussi et surtout comme en étant une excroissance parfaitement légitime. Un peu comme un demi-frère en quelque sorte… En effet, derrière le scénario de La nuit des morts vivants se cachaient en fait deux individus : Romero bien sûr, mais également John A. Russo, qui s’avère souvent le grand « oublié » de la saga. Dès Zombie en 1978, George Romero s’était affranchi de son co-scénariste en partant travailler avec Dario Argento, puis tout seul comme un grand à partir du Jour des morts vivants en 1985. Avec sa saga, Romero livrerait une œuvre aussi longue que très « politisée », le zombie étant un moyen pour lui de critiquer la société de consommation.

Test Blu-ray : Enemy

0
Film de science-fiction aux allures de fable humaniste, Enemy est ouvertement un film à « message », prônant la tolérance et le respect de l'autre par le biais d'une histoire située non seulement dans le futur, mais sur une autre planète.

Test Blu-ray : Valérian et la Cité des mille planètes

0
La critique a généralement la dent dure avec Luc Besson, et l’échec cuisant de Valérian et la Cité des mille planètes au box-office américain en a réjoui plus d’un, provoquant un véritable déferlement anti-Besson sur les réseaux sociaux.

Derniers articles

Test Blu-ray : I Love Peru

0
I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

0
Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.