Critique : Glory (Valchanov & Grozeva)
                    Vue depuis la France, la Bulgarie est un pays loin des préoccupations collectives, à moins de la désigner avec une fâcheuse régularité comme le parent pauvre de l'Europe et donc l'exemple à ne surtout pas suivre. Or, la population bulgare mène une existence semblable au quotidien de ses voisins, dont les représentations filmiques trouvent sensiblement plus souvent le chemin jusque sur les écrans français, à l'image du renouveau artistique récent de la cinématographie roumaine.                
            Premium Rush
                    Premium Rush
Américain : 2012
Titre original : Premium Rush
Réalisateur : David Koepp
Scénario : David Koepp , John Kamps
Acteurs : Joseph Gordon-Levitt, Jamie Chung, Dania Ramirez
Distribution...                
            Lawless
                    Lawless
USA : 2012
Titre original : Lawless
Réalisateur : John Hillcoat
Scénario : John Hillcoat
Acteurs : Guy Pearce, Tom Hardy, Jessica Chastain
Distribution : Metropolitan FilmExport
Durée : 1h55
Genre...                
            Critique : Bonheur académie
                    Libre à chacun de choisir l'activité de relaxation estivale qu'il préfère. Pendant que certains partent bronzer sous le soleil des canicules tropiques ou visitent les monuments de pays lointains dans un flux de tourisme de masse qui n'est pas prêt à tarir, d'autres choisissent les mois de la saison chaude pour se ressourcer intérieurement et se libérer des contraintes du quotidien. Un camp de séminaire particulièrement bizarre se trouve en Croatie, où les adeptes du culte des Raéliens se réconfortent mutuellement au cours de stages hebdomadaires, censés renforcer leur plénitude prêchée par les dogmes de cette pseudo-religion inspirée par des extra-terrestres.                
            Berlinale 2017 : Django (Etienne Comar)
                    Le film d’ouverture d’un grand festival est chargé d’un capital de prestige conséquent, en théorie pour assurer son avenir commercial, ainsi que celui forcément plus subjectif de la dizaine de jours de festivités cinématographiques qui suivront. Il fait en quelque sorte office d’indicateur de la capacité des grandes messes à Berlin, Cannes ou Venise d’attirer les vedettes les plus en vogue du moment.                
            Critique : Trois jours et une vie
                    En Belgique et dans ses pays limitrophes, l'affaire Michel Fourniret avait défrayé la chronique au tournant du siècle. Cet ensemble de crimes affreux avait alors créé un climat d'angoisse collective, voire de psychose, son existence même rendant dès lors imaginables toutes les horreurs de façon concrète.                
            Critique : Sinister 2
                    Chaque film d’horreur qui remporte un succès commercial tant soit peu conséquent a désormais droit à une suite. Il nous paraît évident que cette profusion de productions relève plus d’une démarche mercantile que d’une nouvelle ère riche en innovations, puisque le vocabulaire formel et thématique du genre reste le plus souvent conforme aux codes établis à la fin des années 1990.                
            Cannes 2016 : Tour de France – Quinzaine
                    
Tour de France
France, 2016
Titre original :
Réalisateur : Rachid Djaïdani
Scénario : Rachid Djaïdani
Acteurs : Gérard Depardieu, Sadek ...
Distribution : Le Pacte
Durée : 2h08
Genre : Comédie...                
            Le Monde de Corman : Exploits d’un rebelle hollywoodien
                    Le Monde de Corman : Exploits d’un rebelle hollywoodien
USA : 2011
Titre original : Corman's World: Exploits of a Hollywood Rebel
Réalisateur : Alex Stapleton
Scénario :...                
            Critique : Ex machina
                    La différence entre l’intelligence artificielle et naturelle est laissée volontairement vague dans ce premier film remarquable, qu’une partie de l’équipe de notre site a déjà pu découvrir lors de sa présentation au dernier festival de Gérardmer (cf. la critique de Julien à ce sujet). Distinguer ce qui relève encore de l’humain de ce qui appartient à l’ère nouvelle des robots y sert tout juste de prémisse à une guerre des nerfs passionnante dont les maîtres mots sont l’appréhension et le malaise affectif.                
            Critique : Love & friendship
                    La grande époque des adaptations filmiques des œuvres de Jane Austen est définitivement derrière nous. Aussi populaire que l’univers de William Shakespeare à peu près au même moment, c’est-à-dire au milieu des années 1990, celui de la romancière anglaise n’a pas connu de mise à jour sérieuse au cinéma depuis.                
            Critique : Spotlight
                    Le cinéma hollywoodien réagit toujours avec un retard relativement important aux sujets d’actualité les plus brûlants. Ce décalage récurrent peut être imputé à bon nombre de raisons d’ordre économique ou logistique, mais ce qu’il traduit surtout, c’est un tempérament frileux lorsqu’il est question de prendre les armes filmiques pour une cause dont l’issue reste incertaine.                
            
			
		

















