LOL Made In USA
LOL Made In USA
Pays de production : 2012
Titre original : LOL
Réalisateur : Lisa Azuelos
Scénario : Lisa Azuelos
Acteurs : Demi Moore, Miley Cyrus, Thomas Jane
Distribution...
Rock’N’Love
Adam, pop star américaine, et Morello, une jeune rockeuse britannique indé, doivent se produire dans le même festival rock : T in the Park en Ecosse. Alors que tout les oppose et qu’ils ne se supportent pas, ils se retrouvent menottés l’un à l’autre. Comment vivre le festival ainsi enchaînés - voir leur conjoint, dormir, se laver… et surtout, comment assurer leur concert alors qu’ils ne peuvent pas se séparer ? Malgré tout, petit à petit, Adam semble commencer à apprécier la situation…
La Roche-sur-Yon 2016 : Brothers of the Night
La précarité, à la fois matérielle et affective, devient-elle plus soutenable lorsqu’on l’emballe dans une esthétique sublime ? Et le documentaire ne bascule-t-il pas du côté de la fiction, dès que les moindres faits et gestes sont soumis à une mise en scène méticuleusement travaillée ? La première incursion de Patric Chiha dans le registre du documentaire suscite chez nous ce type d’interrogation ou, autrement dit, un dilemme entre la forme et le fond, qui relèvent pourtant tous les deux d’une approche visiblement viscérale de la part du réalisateur.
Possessions
Marilyne et Bruno Caron arrivent dans un village de montagne pour emménager dans un chalet qu'ils ont loué à Patrick Castang, promoteur et propriétaire de nombreuses habitations dans la région.
Contents de quitter le nord de la France pour démarrer une nouvelle vie, ils acceptent sans sourciller quand Castang leur annonce qu'il va les loger momentanément dans un autre chalet de grand standing car le leur n'est pas terminé.
The Day He Arrives (Matins calmes à Séoul)
Seungjun, un professeur de faculté autrefois cinéaste, vient rendre visite à son ami Youngho à Séoul. Il déambule dans le quartier de Bukchon, au nord de la capitale. Il rencontre de jeunes étudiants en cinéma qui finissent par l'exaspérer puis renoue, le temps d'une nuit, avec son ancienne maîtresse Kyungjin. Le lendemain, il rejoint dans le restaurant "Le Roman" Yungho et son amie Boram et fait connaissance de Yejeon, la jeune et jolie patronne de l'établissement. Les rencontres et discussions se poursuivent au fil des jours, dans un espace-temps indéfinissable, jusqu'à ce qu'une jeune inconnue ne le prenne en photo, ne fixant de lui qu'un visage mélancolique et distrait...
Berlinale 2020 : En avant
Avec désormais plus de vingt longs-métrages à leur actif, les studios Pixar risquent de ne plus détenir pour longtemps le titre d'innovateur technique et narratif qui a fait leur réputation brillante dans le milieu de l'animation depuis un quart de siècle.
Adieu Berthe
Adieu Berthe
France : 2012
Titre original : Adieu Berthe
Réalisateur : Bruno Podalydès
Scénario : Bruno et Denis Podalydès
Acteurs : Denis Podalydès, Valérie Lemercier, Isabelle Candelier
Distribution :...
Margaret
Margaret
Américain : 2011
Titre original : Margaret
Réalisateur : Kenneth Lonergan
Scénario : Kenneth Lonergan
Acteurs : Anna Paquin, Matt Damon, J. Smith-Cameron, Mark Ruffalo
Distribution : Twentieth Century...
Berlinale 2023 : The Survival of Kindness
La simplicité est sans doute la clé grâce à laquelle il pourrait être possible de comprendre, voire d'apprécier The Survival of Kindness, le film de Rolf De Heer par lequel nous commençons notre couverture forcément partielle de la compétition de ce Festival de Berlin.
Critique : Glory (Valchanov & Grozeva)
Vue depuis la France, la Bulgarie est un pays loin des préoccupations collectives, à moins de la désigner avec une fâcheuse régularité comme le parent pauvre de l'Europe et donc l'exemple à ne surtout pas suivre. Or, la population bulgare mène une existence semblable au quotidien de ses voisins, dont les représentations filmiques trouvent sensiblement plus souvent le chemin jusque sur les écrans français, à l'image du renouveau artistique récent de la cinématographie roumaine.
Critique : The Disaster Artist
Quand on pense au terme « film culte », on peut penser à des succès adoubés dès leur sortie par les critiques et le public – Chantons sous la pluie par exemple. Le plus souvent cependant, le terme « culte » est associé à ces films qui sont passés presque inaperçus à leur sortie, et qui se sont construits une réputation au fil des années: Blade Runner par exemple, dont l’aura n’a cessé de grandir depuis sa sortie (et ses multiples versions). The Room, de Tommy Wiseau, ne partage rien de ces films « respectables » hormis le statut, justement, de film culte. Considéré comme un turbo-nanar dès sa sortie, il est devenu un de ces objets filmiques non identifiés, allant jusqu’à acquérir le titre, abusif bien entendu, de « pire film de tous les temps ». Un titre qu’il dispute avec un autre nanar culte, Plan 9 from outer space, lui aussi érigé en « pire film de tous les temps », et issu d’un personnage tout aussi haut en couleur que le papa de The Room : Ed Wood. Et comme ce dernier, Tommy Wiseau a maintenant droit à son propre film, érigé à sa gloire : The Disaster Artist.
Critique : Peshmerga
Bernard-Henri Lévy à la rescousse, troisième. Tous les grands conflits militaires paraissent en effet bons aux yeux du philosophe français pour y mettre son grain de sel, aussi futile et fade soit-il. Après avoir documenté la bataille de Sarajevo et la guerre en Libye, le voici donc en train de parcourir du sud au nord la ligne de front entre les vaillants peshmergas kurdes et leurs adversaires fourbes et lâches de l’état islamique.