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Tag: Charlton Heston

En librairie de cinéma depuis le mois d’octobre 2022

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Les éditeurs de livres de cinéma ne connaissent pas la crise. Ni visiblement l'inflation, puisque le prix moyen de leurs ouvrages reste aux alentours de vingt euros. En effet, coincé quelque part dans le no man's land entre la rentrée littéraire et les bonnes affaires de Noël, le mois d'octobre en impose, grâce à ses près de cinquante sorties côté français et une dizaine de moins à l'étranger.

Test Blu-ray : Antoine et Cléopâtre

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C'est avec plaisir que l'on découvre Antoine et Cléopâtre, un film nous en mettant plein la vue avec une photographie somptueuse proposant avec bonheur Scope et Technicolor.

Revu sur Paramount Channel : Les Boucaniers

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Pour être un pur produit de népotisme, cette aventure de pirates s'en sort encore fort honorablement, plus de soixante-dix ans après sa sortie et près de vingt ans après que Johnny Depp pensait avoir réinventé le genre. Le seul film réalisé par l'acteur Anthony Quinn, Les Boucaniers porte en fait la signature de son beau-père de l'époque, l'éminent producteur et réalisateur Cecil B. DeMille.

Test Blu-ray : La main qui venge

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Le titre français de Dark city, le Film Noir mis en scène par William Dieterle en 1950, est assez étonnant : La main qui venge. Derrière ce titre aux limites de la parodie – difficile de ne pas penser à La main qui tue (1999), ou à dresser des passerelles avec des récits où des mains prennent leur « indépendance », à la façon de la chose dans La famille Addams (1991), de la main baladeuse au centre de J'ai perdu mon corps (2019), ou encore de la nouvelle de Clive Barker « Le corps politique », qui serait adaptée au cinéma par Mick Garris dans le film Quicksilver highway (1997). Or, comme vous vous en doutez, il n'y a absolument aucune dimension fantastique au cœur de La main qui venge, et le spectateur passera un bon tiers du film à se demander pourquoi diable les distributeurs français ont opté pour un titre aussi fantaisiste. S'agirait-il d'une « main » de poker dont on parle ici, les parties de cartes clandestines étant au centre de la première partie du film ?

Test Blu-ray : Un tueur dans la foule

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Dès l'ouverture du film, Un tueur dans la foule s'inscrit dans une certaine réalité socio-politique des États-Unis : le film s'ouvre sur un stade de football américain, qui va déterminer la vie du pays tout entier pendant la journée à venir.

Back To The Past #17

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Amis cinéphiles, bienvenue ! Ton site préféré te propose les Madeleines de Proust de David : par moult souvenirs et autres petites anecdotes, notre...

Test Blu-ray : The quest / The order (Van Damme)

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Après vous avoir parlé du premier hier (lire notre article), on poursuit donc aujourd’hui avec le second coffret ou « bi-pack » de cette vague très attendue initiée par Metropolitan, contenant The quest - Le grand tournoi (1996) et The order (2001).

Back To The Past #2

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Amis cinéphiles, bienvenue ! Durant tout cet été 2016, pour pallier à la morosité du calendrier proposé durant cette période où 7ème art rime...

Critique : Soleil vert

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Les films de science-fiction les plus inquiétants sont ceux qui gardent leur niveau d’anticipation assez accessible pour un public pas encore confronté aux voyages intergalactiques. L’incitation de faire le lien probable entre le présent amplement connu et un avenir pas si lointain s’avère alors beaucoup plus stimulante qu’un simple divertissement d’évasion.

Test Blu-ray : Airport 75 (747 en péril)

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Remake/reboot de Airport tourné en 1970, le film de Jack Smight ne prêtait pas réellement, lors de sa sortie dans les salles obscures, à rire ou à ricaner. Plutôt bien foutu, affichant un casting solide (Charlton Heston, George Kennedy) et proposant même un final plutôt impressionnant

Critique : L’Antre de la folie

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À l’évocation du nom de John Carpenter, plusieurs films nous viennent à l’esprit, Halloween, The Thing ou encore Christine mais l’on a souvent tendance à oublier L’Antre de la folie. Pourtant ce film faisant partie de la trilogie de l’apocalypse (comprenant aussi The Thing et Le Prince des ténèbres) est une véritable perle horrifique. La première chose qui frappe à la vision de ce film, c’est qu’après 20 ans, il a plutôt bien vieilli. Les rares recours aux effets numériques permettent à plusieurs scènes de faire mouche. Certaines créatures dégoulinantes mettent mal à l’aise, ce qui montre l’aspect réel que peut apporter le latex s’il est bien utilisé. Le bestiaire de ce film est fourni et ne laisse pas de marbre. Si l’on peut penser que certaines créatures font doublon avec celles de The Thing, d’autres sont dans un registre radicalement différent.

Cette semaine sur la planète ciné

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Les sélections pour l'Oscar du meilleur film étranger commencent à tomber. Après Winter Sleep de Nuri Bilge Ceylan (critique) et White God de Kornel Mundruczo pour la Turquie et la Hongrie (voir news), la Pologne a annoncé que son représentant serait Ida de Pawel Pawlikowski