Dans les 3 histoires, la joie de vivre, l'amitié et la solidarité (ici, entre animaux d'espèces différentes, à transposer ailleurs, bien entendu !) sont mises en valeur.
Dans Coup de cœur, Francis Ford Coppola s’amuse à transformer Las Vegas en un gigantesque théâtre de carton-pâte, où les néons deviennent des étoiles artificielles et les amours des personnages se consument comme des cigarettes oubliées sur un comptoir.
Monte Walsh n’est pas à proprement un western de « conquête », mais davantage un western de « survie ». Son héros n’est pas un pistolero flamboyant, mais un homme fatigué, qui voit ses compagnons se reconvertir ou disparaître.
Avec Si Versailles m’était conté, Sacha Guitry semble bien déterminé à transformer le château en théâtre permanent, où les murs semblent avoir des oreilles et les dorures des lèvres prêtes à raconter mille histoires.
Comme les films précédents d’Ari Aster, Eddington se distingue par son mélange de genres : comédie grinçante, thriller paranoïaque et western politique. Ari Aster, dont on avait adooôôôooré Hérédité et Midsommar, s’amuse toujours à brouiller les pistes.