Critiques Express : Petits contes sous l’océan

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On s'émerveille face au 3ème film intitulé "Idodo", réalisé par Ursula Ulmi, une native de Papouasie-Nouvelle-Guinée qui s'est inspirée d'un conte populaire de son pays de naissance.

Critique Express : L’amour qu’il nous reste (Deuxième avis)

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Hlynur Pálmason a choisi, pour son 4ème long métrage, de nous faire partager avec beaucoup de tendresse la vie d'une famille, une femme, un homme, 3 enfants, une chienne, qui, d'une façon plutôt paisible, est en train de se décomposer.

Derniers articles

Critique Express : Howard Zinn, une histoire populaire américaine 2

"Tant que les lapins n'auront pas d'historiens, l'histoire sera racontée par les chasseurs". Dans ce deuxième volet de la trilogie consacrée à l'œuvre majeure de Howard Zinn, la mise en image de son travail insiste beaucoup sur son rôle d'historien des lapins.

Test Blu-ray : La Nuit des Clowns

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Dans La Nuit des Clowns, Eli Craig transforme la mascotte locale d'une petite ville rurale américaine en un miroir grotesque des rancunes et des ressentiments de ses habitants. En Blu-ray chez M6 Vidéo.

Critique : La Vie s’écoule silencieusement

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En dépit de son titre joliment poétique, la vie n’est guère un long fleuve tranquille ni au sein du récit de ce film bulgare, ni au niveau de son parcours de distribution pour le moins tortueux. En effet, La Vie s’écoule silencieusement fait partie de ces œuvres cinématographiques issues du bloc de l’Est qui ont dû attendre le dégel géopolitique à la fin des années 1980 avant de pouvoir enfin être projetées publiquement.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Y a-t-il un flic pour sauver le monde

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Dans Y a-t-il un flic pour sauver le monde, l’absurde est traité comme une matière première, une sorte de pétrole comique qu’on raffine pour en tirer des gags visuels, des dialogues improbables et des situations qui défient la logique.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Nobody 2

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Dans Nobody 2, la thématique centrale reste celle du poids du passé : Hutch pensait avoir rangé ses armes, mais son passé lui colle à la peau. Le film explore cette idée avec une ironie mordante : on ne se débarrasse jamais vraiment de ses démons, et ici on les recycle en scènes d’action.