Critique : Vaiana, la légende du bout du monde
Après les succès retentissants de La Reine des Neiges et des Nouveaux Héros, Disney ne compte évidemment pas s’arrêter là en matière de films d’animation. Entre deux Star Wars, deux Marvel et deux adaptations live de leurs classiques, un cadre plus original avec Vaïana La Légende du bout du Monde, le nouveau film de John Musker et Ron Clements, papas de Basil Détective privé, La Princesse et la Grenouille, La Petite Sirène ou encore Hercule.
Mary et Max
Mary et Max est un film australien conçu en pâte à modeler par Adam Elliot connu pour ses films d'animation en volume. Le film a d'ailleurs été nominé au Festival du Film d'Animation d'Annecy de 2009 et a ainsi remporté le Cristal du long-métrage. Un film plein de douceur et de poésie dans le monde triste et gris dans lequel nous vivons aujourd'hui.
Les Croods
Lorsque la caverne où ils vivent depuis toujours est détruite et leur univers familier réduit en miettes, les Croods se retrouvent obligés d’entreprendre leur premier grand voyage en famille. Entre conflits générationnels et bouleversements sismiques, ils vont découvrir un nouveau monde fascinant, rempli de créatures fantastiques, et un futur au-delà de tout ce qu’ils avaient imaginé. Les Croods prennent rapidement conscience que s’ils n’évoluent pas… ils appartiendront à l’Histoire.
Alice au Pays des Merveilles
Alice au Pays des Merveilles est le 17ème long métrage d'animation des studios Disney sorti en 1951. Adapté du roman de Lewis Carroll, Alice est l'un des films les plus critiqués des studios Disney, ayant connu un échec lors de sa sortie et engendré une perte sèche estimée à 1 million de dollars. Walt Disney lui-même a avoué ne pas aimer le dessin animé.
Critique : Les Schtroumpfs
Alors que le filon des comics et leurs super-héros s'épuise au cinéma, c'est au tour des bandes dessinées européennes d'envahir nos écrans : Tintin, Lucky Luke, Asterix et Obelix... Voilà Les Schtroumpfs de Peyo qui débarquent sur nos écrans de cinéma pour la première fois. Alors verdict ?
Berlinale 2018 : L’Île aux chiens
Wes Anderson goes to Japan … et reste pourtant intimement fidèle à lui-même ! Dans son deuxième film d'animation après Fantastic Mr. Fox, présenté en ouverture et en compétition du 68ème Festival de Berlin, il adopte une fois de plus ce ton joliment irrévérencieux, conscient de lui-même et néanmoins pas imbu de sa personne, qui a jusqu'à présent fait le succès de sa filmographie assez homogène.
La Roche-sur-Yon 2016 : Tower
L’Histoire se répète à l’infini. Les attaques terroristes qui ponctuent l’actualité s’inscrivent en fait dans un très long cycle de l’horreur, causée par des fanatiques ou des individus déséquilibrés. La menace a beau paraître concrète, voire suffocante, avec ces souvenirs douloureux du dernier attentat qui viennent tout juste s’estomper, lorsque le prochain rouvre des blessures psychologiques à peine cicatrisées, il n’y a hélas rien de très nouveau dans cette vie au quotidien avec la peur.
La Légende de Beowulf
Un passage à l’heroic fantasy réussi pour Robert Zemeckis qui, usant à nouveau de la technologie de la motion-capture, parvient avec étonnement à livrer un film plus mâture qu’il n’en a l’air…
Le Tableau
Le cinéma d’animation français doit beaucoup à Paul Grimault, autant pour la technique que pour la narration. Jean François Laguionie, réalisateur du Château des singes et de L’île de Black Mor, a bien retenu la leçon du maitre et revient avec son nouveau long métrage Le tableau.
La Roche-sur-Yon 2018 : Virus tropical
Changement de ton plutôt radical dans notre programme personnel du Festival de La Roche-sur-Yon avec ce film d'animation colombien étrangement zen. Les tribulations d'une jeune fille, depuis la naissance jusqu'à la fin de l'adolescence, y sont le fil rouge d'une histoire à la volonté manifeste de tout dire sur les étapes initiales d'une vie.
Critique : Mémoires d’un escargot
Décidément, Adam Elliot ne fait pas des films d'animation pour enfants. En dépit de sa thématique familiale, biologique, d'adoption ou bien de substitution, Mémoires d'un escargot mériterait presqu'une interdiction aux plus jeunes spectateurs ou tout au moins un avertissement, mettant en garde des parents qui, par erreur, auraient voulu emmener leurs bambins le voir.
César 2015 : présélection des courts d’animation en salle
Suite de la présentation en salle à Paris des courts-métrages en présélection aux César 2015 afin de permettre au public et aux votants de...

















