Test Blu-ray : Les Visiteurs + Les Visiteurs II
A l'occasion de la sortie en salles des Visiteurs 3 – La révolution, Gaumont a eu l'excellente idée de proposer dans sa collection « Blu-ray Découverte » les galettes Haute Définition des deux premiers films de la saga française.
Test Blu-ray : Des pissenlits par la racine
Des pissenlits par la racine est un film tourné rapidement, à l’économie, par un Georges Lautner pas encore auréolé de ses plus grands succès publics. Pour autant, il se révèle déjà une merveille de précision et de tempo comique, un véritable travail d’orfèvre, nous proposant une harmonie totale et absolue entre la mise en scène de Lautner et l’écriture de Michel Audiard.
Test Blu-ray : Destruction finale
Ne vous laissez pas abuser par Destruction finale : derrière ce titre français typique de la série B évoquant un bon vieux DTV des familles avec Casper Van Dien se cache en réalité un excellent blockbuster sud-coréen aux velléités de film-catastrophe.
Test Blu-ray : La Baie sanglante
Mario Bava avait déjà contribué à créer le genre « giallo » avec La fille qui en savait trop (1963) puis avec Six femmes pour l'assassin (1964), et en 1973, il posait les bases du slasher à venir. Quel homme ce Super-Mario...
Test Blu-ray : La bête tue de sang froid
La bête tue de sang froid d’Aldo Lado (1975), vient juste de débarque au format Blu-ray chez ces francs-tireurs du Chat qui fume. Pour la petite histoire, le film de Lado est également connu sous le titre Le dernier train de la nuit, qui s’avère une traduction littérale de son titre original, et qui marque encore d’avantage la filiation entre le film d’Aldo Lado et celui de Wes Craven qui l’a inspiré.
Test Blu-ray : The saviour / La justice d’un flic
The saviour n’est probablement pas à mettre devant tous les yeux. Suivant la trajectoire d’un flic borderline littéralement prêt à tout pour mettre la main sur un tueur de prostituées, Ronny Yu adopte ici un style sec, d’une simplicité déconcertante.
Test Blu-ray : Paris au mois d’août
Paris au mois d’Août emporte le spectateur dans une espèce de tourbillon de sentiments au cœur d’une suite de moments volés dont la modernité n’aura de cesse de nous surprendre...
Test Blu-ray : Charlie’s angels
Même si Elizabeth Banks a probablement du ressentir la confiance que lui accordait Sony Pictures pour écrire et réaliser un reboot de la franchise Charlie’s angels, passer derrière McG n'était pas chaud zézé, tant ce dernier maîtrisait sur le bout des doigts tous les codes de la pop culture.
Test Blu-ray : A man called Adam
Quasi-inconnu en France, A man called Adam est un film musical sorti aux Etats-Unis en 1966, et mettant en scène, derrière un rôle-titre incarné par Sammy Davis Jr., plusieurs des personnalités les plus influentes du jazz des années 60.
Test Blu-ray : Starcrash – Le choc des étoiles
Vu avec le recul que lui imposent les années, Starcrash – Le choc des étoiles donne l’impression d’être d’avantage ancré dans la science des années 50 que dans l’épopée spatiale à la Star Wars.
Test Blu-ray : Maléfique 2 – Le pouvoir du mal
Les films produits par Disney se suivent et ne se ressemblent pas : après le carton international du Roi lion en 2019 (1,65 milliard de dollars de recettes, 9,7 millions d’entrées en France), qui précédait de peu l’autre carton constitué par La reine des neiges II (1,43 milliard de dollars de recettes, 7,4 millions d’entrées en France), on avait vu débarquer sur les écrans Maléfique 2 : Le pouvoir du Mal, une nouvelle aventure d’Angelina Jolie dans la peau de la sorcière la plus iconique de la maison Disney – une fausse méchante qui, on le rappelle, avait sorti elle-même la Belle au bois dormant de son sommeil forcé dans le film de 2014. Maléfique en 2014, c’était 760 millions de dollars de recettes (830 après l’exploitation du film en vidéo), et deux millions de spectateurs en France. En 2019, Maléfique 2 : Le pouvoir du Mal n’a quant à lui cumulé « que » 477 millions de dollars, et réuni 2,6 millions de français dans les salles. Les adeptes hexagonaux augmentent, mais paradoxalement, le film a rapporté moitié moins que l’original aux Etats-Unis. Les chiffres sont déjà fracassants, mais on suppose qu’avec l’habitude des recettes dépassant régulièrement le milliard, la boite à Mickey doit franchement tirer la gueule à moins de 300% de rentabilité de nos jours. Dans les bureaux de Disney, des têtes vont tomber !
Test Blu-ray : Jungle fever
« I've got jungle fever, she's got jungle fever, we've got jungle fever - We're in LOVE » Impossible si vous avez vu Jungle fever d'oublier ce titre accrocheur de Stevie Wonder, spécialement composé pour la musique du film.