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Jean-Jacques Corrio

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Jean-Jacques Corrio, rédacteur. Découvrir tous ses articles.

Festival : RCC 2015, cérémonie de clôture

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C'est "Hector", le premier film du photographe britannique Jake Gavin, qui a obtenu le Grand Prix du Jury : le film est excellent, le choix ne peut donc guère être discuté, même si on peut regretter que A Second Chance, le film de Susanne Bier, reparte bredouille des RCC. En fait, avec ses rebondissements inattendus, c'était sans doute ce film qui présentait le scénario le plus riche et le plus intéressant.

Festival : RCC 2015, vendredi

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"A peine j'ouvre les yeux" est l'exemple type du film qu'on aurait aimé aimer mais qui, malheureusement, déçoit profondément : on devrait se passionner pour le sort de Farah, on devrait se révolter à ses côtés, on devrait être ému, mais la maladresse de la réalisation, combinée à celle du scénario, rend vite le spectateur presque indifférent à ce qui se passe sur l'écran.

Festival : RCC 2015, jeudi

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4 films du Panorama des Festivals en cette journée de jeudi : "Chala, une enfance cubaine", "A second chance", "Good luck Algeria" et "Ce sentiment de l'été".

Critique : La Vie très privée de Monsieur Sim

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Bien aidé par la prestation d'un Jean-Pierre Bacri quasiment "fait" pour le rôle, Michel Leclerc a réussi à surmonter la plupart des difficultés qui l'attendaient en adaptant "La Vie très privée de Monsieur Sim" au cinéma : arriver à faire rire de temps en temps tout en proposant un film plein d'émotion et flirtant souvent avec une forme particulière de tragique.

Festival : RCC 2015, mercredi

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"La passion d'Augustine", film à la fois grand public et film de très grande qualité, est tout à fait susceptible de faire un carton dans notre pays, quand bien même on peut s'attendre à ce que certains critiques "pisse-froids" trouvent le scénario trop prévisible et la réalisation trop académique. Ne les écoutez surtout pas !

Festival : RCC 2015, cérémonie d’ouverture

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C'est dans la salle du Théâtre Croisette, remplie à ras bord, qu'a eu lieu, ce lundi 7 décembre, la cérémonie d'ouverture des 28èmes Rencontres Cinématographiques de Cannes. Animée par Gérard Camy, le président de Cannes Cinéma, et par Gilles Schneider, critique de cinéma, la cérémonie a permis, durant une heure, de dresser pour les 825 spectateurs un panorama exhaustif de ce qui allait se passer jusqu'au 13 décembre. Elle s'est poursuivie par la projection du nouveau film de Ounie Lecomte, "Je vous souhaite d'être follement aimlée".

Critique : Béliers

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Avec "Béliers", Grímur Hákonarson nous propose un film dans lequel on ne s'ennuie jamais sur un monde qui est en train de disparaître et qui est étranger à la plupart d'entre nous. Son histoire, il la raconte en utilisant souvent, de façon très intelligente, des plans séquence qui ont toujours la bonne durée, l'action se mettant à rebondir au moment précis où on pense qu'il ne va plus rien se passer.

Critique : Back Home

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En voulant traiter d'un trop grand nombre de sujets et en triturant par trop son récit dans tous les sens,Joachim Trier nous rend une copie moyenne, heureusement réhaussée par la qualité de la photographie et par le jeu des comédiens.

Festival : 28èmes Rencontres Cinématographiques de Cannes

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Les Rencontres Cinématographiques de Cannes sont, dans le temps, le dernier volet des Rencontres de Cannes, un événement à la fois littéraire, politique, philosophique et cinématographique qui, cette année, un mois durant, aura exploré sous toutes ses coutures le thème des frontières.

Critique : Cosmos

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Le réalisateur polonais Andrzej Zulawskia a eu son heure de gloire dans les années 70 et 80, avec des films comme L’Important c’est d’aimer, Possession, L’Amour braque ou La Femme publique. Il n’avait plus rien tourné depuis La fidélité, il y a 15 ans. A la vision de Cosmos, on est en droit de penser qu’il aurait pu, qu’il aurait dû, prolonger cette abstinence.

Test DVD : Chloé & Théo

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Le meilleur comédien du film est sans conteste le seul amateur du lot : Theo Ikummaq, un véritable Inuit qui, par sa prestance et son calme, arrive à émouvoir et à faire passer les messages écologistes de base sans donner l'impression de tomber dans le prêchi-prêcha. Ne serait-ce que pour lui, on peut se diriger vers ce film qui, en plus, a le mérite d'être court

Test DVD : La femme au tableau

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"La femme au tableau" raconte de façon réussie une histoire qui s'est réellement passée et, le temps passant, les horreurs de la période nazie s'éloignant de plus en plus de notre présent tout en étant remplacées par d'autres horreurs, il n'est jamais inutile de faire une piqure de rappel sur le sujet.