Tag: western spaghetti
Test Blu-ray : Et Sabata les tua tous
Et Sabata les tua tous est le fruit d’une coproduction entre l’Espagne et l’Italie, mais c'est aussi un film conçu « en famille » : réalisé par Rafael Romero Marchent, ce petit western des familles a de plus été coécrit par son frère Joaquín Luis Romero Marchent.
Test Blu-ray : La Mort était au rendez-vous
La Mort était au rendez-vous met le spectateur dans le bain dès les premières minutes du film. Le Far West, par une nuit pluvieuse. Prostré dans un coin, un enfant assiste, impuissant, à l’assassinat de sa famille par quatre bandits.
Livre : 10.000 façons de mourir
10.000 façons de mourir est un gros pavé de 624 pages signé Alex Cox au cœur duquel les passionnés de western spaghetti se plongeront et se replongeront avec un plaisir sans cesse renouvelé.
Test Blu-ray : Iceman
On ne va pas se raconter d'histoires : la particularité la plus notable d'Iceman est liée au fait que les personnages du film s'expriment dans une langue inconnue – une version primitive du rhétique, une langue morte éteinte au cours du IIIe siècle.
Test Blu-ray : Furie au Missouri
Furie au Missouri est un western « spaghetti » sorti en 1967, soit un an après Le bon, la brute et le truand ou, pour citer quelques-uns de ses contemporains, la même année que des films tels que Tire encore si tu peux ou La mort était au rendez-vous.
Test Blu-ray : Selle d’argent
Surtout connu auprès des amateurs de westerns spaghetti comme le dernier représentant du genre avec le très intéressant Adios California (Michele Lupo, 1977), Selle d’argent a une importance historique certaine, dans le sens où il marque véritablement la « fin d’une époque ». La fin d’une époque pour le western transalpin bien sûr, après une dizaine d’années de bons et loyaux services rendus au cinéma populaire italien ; mais ce western marque également un tournant dans la carrière de cinéaste de Lucio Fulci. En effet, Selle d’argent marque en quelque sorte la fin des « vaches maigres » pour le cinéaste : c’est à la suite de l’échec commercial de ce film qu’il se lancera à corps perdu dans le cinéma d’horreur « gore » avec L’enfer des zombies, film majeur qui lui apporterait la gloire et le succès un peu partout autour du monde.
Test Blu-ray : Le spécialiste
Que l’on ait aimé ou pas ses prestations au cinéma, Johnny Hallyday n’avait certainement pas à rougir de sa carrière d’acteur. S’il a côtoyé des cinéastes unanimement reconnus par les cinéphiles (Jean-Luc Godard, Costa Gavras…), celui qu’on surnommait l’idole des jeunes a également marqué de son empreinte le cinéma populaire, à travers une poignée de films de genre flirtant même avec le « bis ». On pense forcément à des films tels que Vengeance de Johnnie To (2006) ou Terminus de Pierre-William Glenn (1987) ; dans le même ordre d’idées, Johnny pouvait se vanter d’avoir tourné un « spagh » avec l’un des maîtres incontestés du western transalpin, Sergio Corbucci. Faisant partie de la « Sainte Trinité » des Sergio que vénèrent les amateurs de westerns spaghetti (Leone / Sollima / Corbucci), Sergio Corbucci a à son actif plusieurs classiques du genre : on pourra citer Django (1966), Navajo Joe (1966), Le grand silence (1968), El mercenario (1968) ou encore le formidable Far west story (1972), véritable œuvre « somme » parfaite de A à Z.
Test DVD : Quelques dollars pour Django
Anthony Steffen reprend la défroque de Franco Nero, et s’avère convaincant, portant le film sur ses épaules avec l'aide du vieux briscard Frank Wolff, que les amateurs de western spaghetti connaissent bien, jusqu'à un final impressionnant et vraiment sympathique.
Test DVD : La loi de la violence
Co-production italo-espagnole, La loi de la violence est un film étrange, dont l'attraction quasi-hypnotique sur le spectateur amateur de western spaghetti se révèle aussi irrésistible que bizarre et incompréhensible.
Test DVD : Mort ou vif… De préférence mort
Derrière son affiche au visuel de western spaghetti traditionnel, Mort ou vif... De préférence mort cache en réalité une comédie d'aventures, très familiale, mettant en scène deux frères que tout oppose, obligés de cohabiter pendant six mois pour toucher un important héritage. Drôle, généreux, et surtout doté d'un budget confortable, le film de Tessari est une sorte de brouillon friqué et ambitieux de la comédie à venir qui allait changer à jamais la face du western, à savoir On l'appelle Trinita, avec Bud Spencer et Terence Hill.