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Conseils cinéma pour un #confinement en famille

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On ne vous l'apprend pas : en ce début d'année 2020, le monde entier ou presque est confiné chez soi, la consigne afin de se sortir au plus vite de la crise sanitaire du COVID-19 étant #RestezChezVous – on suppose que les familles qui nous lisent respectent tant bien que mal le fait de faire « l'école à la maison » pour nos chères petites têtes blondes. Cela dit, les vacances scolaires approchent à grands pas toutes zones confondues, et en cette période de relâche, rien de tel que de s'organiser une séance cinéma en famille et à la maison, puisque les cinémas sont fermés.

Oscars 2019 : les statistiques des nominations

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Suite à l'annonce hier des nominations aux 91èmes Oscars, voici quelques anecdotes, records et autres faits divers autour de cette liste si prestigieuse du cinéma hollywoodien :

Test Blu-ray : Cocoon

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Sous l'influence de E.T. L'extra-terrestre et plus largement de toute la vague de cinéma à grand spectacle développé par Amblin Entertainment dans les années 80, de nombreux studios concurrents se sont essayé, durant cette glorieuse décade, à des films de science-fiction clairement destinés à un public familial. Splash, Explorers, Starman, Enemy, Cocoon, Short circuit, Golden child - L'enfant sacré du Tibet ou encore Willow sont par exemple autant d'enfants « illégitimes » de Steven Spielberg et Amblin, nés d'une volonté de surfer sur le succès grandissant de ces films écrits et réalisés par une génération de cinéastes ayant été biberonnés à La quatrième dimension.

Test Blu-ray : Ready player one

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Au grand dam de certains cinéphiles, que l’on devine dépassés, voire submergés par la frénésie d’images folles dont nous submergent les blockbusters contemporains, les liens entre le cinéma et le jeu vidéo n’ont jamais été si forts. L’influence du duo Neveldine/Taylor et de leur diptyque Hyper tension, dont l’esprit frondeur a été recyclé par James Gunn sur le mode « familial » dans les deux premiers Gardiens de la galaxie se ressent ainsi de plus en plus sur le blockbuster actuel, qui y va de ses références à gogo à la culture populaire et/ou geek. Ainsi, le cinéma de studios actuel plonge son grand spectacle sous un véritable déluge d’effets numériques et une frénésie boulimique de rythme et d’images ; à l’écran et dans les salles, ça passe ou ça casse. Mais au final, on en revient toujours aux « bases » : l’essentiel afin de réussir son coup est toujours bel et bien de proposer une réelle « vision » de cinéaste, une personnalité qui va s’imprégner au spectacle et transcender le matériau de base.

Test DVD : Pentagon papers

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Steven Spielberg n’est pas seulement un grand directeur d’acteurs, c’est aussi un metteur en scène incroyable (qui n’a lui non plus plus rien à prouver), dans le sens purement visuel (et sonore) du terme. Encore une fois, il est accompagné de son chef-opérateur fétiche, Janus Kaminski, avec qui il élabore des petits plans-séquence réussissant à être vertigineux sans jamais être tape-à-l’œil.

Test Blu-ray : Crazy day

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Si certains cinéastes parviennent, dès leur premier film, à livrer une œuvre aboutie et imparable, force est de constater que d'une façon générale, les jeunes réalisateurs livrent avec leur premier long-métrage ce qui apparaîtra avec le recul, au mieux, comme un brouillon de leur œuvre future, contenant à l'état embryonnaire les bases de ce qui fera les bases de leur filmographie à venir. Autrement dit : on ne peut être pas toujours au top – et cette assertion conviendra parfaitement à un premier comme à un dernier film, en passant bien sûr par le film du milieu et les intermédiaires.

Critique : Ready player one

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Comme tout le monde le sait, nous vivons une drôle d’époque en général, mais également pour le cinéma. Jusqu’aux années 2000, chaque décennie pouvait se targuer d’avoir eu son identité propre artistiquement, et selon ses préférences, chacun pouvait affirmer haut et fort que telle ou telle décennie était la plus productive, la plus passionnante. Mais depuis le début des années 2000, et encore plus la décennie actuelle, il faut bien reconnaître au cinéma américain, puisque c’est lui qui domine le monde, d’avoir vu son modèle quelque peu dérailler. Certes, il n’a jamais autant battu de records mondiaux, et la main mise du studio Disney, si elle est fortement inquiétante pour les cinéphiles exigeants et la liberté artistique, n’en reste pas moins une valeur sûre que rien ne semble pouvoir arrêter. Mais ce qui domine principalement actuellement, c’est un certain culte pour la nostalgie, principalement de la pop culture des 80’s, qui déborde sur tous les médias. On a beaucoup reproché à « Stranger things » de se contenter de reproduire les motifs ayant fait la gloire des films Amblin sans chercher à moderniser quoi que ce soit, mais on peut au moins lui reconnaître de créer un univers à partir de ces éléments connus de tous que le public a tant plaisir à retrouver. Dans un tel contexte, on était impatients et particulièrement curieux de voir ce qu’un maître comme Steven Spielberg, pape malgré lui du blockbuster tel qu’il est vu et conçu aujourd’hui, derrière la plupart des films cités aujourd’hui dans ce type d’entreprise nostalgique, allait bien pouvoir tirer d’un matériel de base dont on peut supposer, en voyant le film tel qu’il est, et même sans l’avoir vu, qu’il ne va pas beaucoup plus loin qu’un délire de geek étalant ses références comme un adolescent immature.

Livre : Steven Spielberg und seine Filme (Georg Seeßlen)

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Nous avions déjà notre petite théorie personnelle sur le cinéma de Steven Spielberg, un maître de son art, qui a toutefois la très fâcheuse habitude de bâcler la fin de ses films. Grâce à cet ouvrage allemand, paru en 2016 en anticipation du 70ème anniversaire du réalisateur, nous disposons désormais de multiples pistes de réflexion supplémentaires.

Critique : Pentagon Papers

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Spielberg a beau avoir 71 ans, il continue de tourner des films à un rythme effréné : deux vont sortir en moins de deux mois ! Ces deux long-métrages d'ailleurs soulignent deux facettes de sa filmographie: d'un côté, le cinéaste sérieux qui explore le passé de son pays, de l'autre le metteur en scène de divertissements plus grand public, mais tout aussi intéressants - deux faces complémentaires, et pas forcément opposées. Avec The Post, (nommé Pentagon Papers en France) il est question d'une affaire qui a secoué les États-Unis au début des années 70 ...

Oscars 2018 : les statistiques des nominations

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Suite à l'annonce des nominations aux 90èmes Oscars, voici quelques anecdotes, records et autres faits divers autour de cette liste si prestigieuse du cinéma hollywoodien :

Golden Globes 2018 : les nominations cinéma

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Les nominations pour la 75ème édition des Golden Globes, attribués par la presse étrangère de Hollywood, ont été annoncées avant-hier à l'hôtel Beverly Hilton par les acteurs Kristen Bell, Sharon Stone, Alfre Woodard et Garrett Hedlund. La cérémonie aura lieu le dimanche 7 janvier 2018 à la salle de bal internationale de l'hôtel Beverly Hilton.

Hommage au réalisateur Tobe Hooper

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Le réalisateur américain Tobe Hooper est décédé ce dimanche 27 août à l'âge de 74 ans, quelques semaines après George Romero, le «père» des...