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Tag: Ray Lovelock

Test Blu-ray : Murder Rock

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Quand Murder Rock – parfois orthographié Murderock – sort sur les écrans italiens en 1984, il débarque en pleine mode du « slasher », genre né du succès surprise de Vendredi 13 en 1980.

Test Blu-ray : Deux Flics à abattre

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Inédit en France en salles comme en VHS, Deux Flics à abattre est un film que les amoureux du genre « poliziottesco » ont découvert au début des années 2000 sous le titre Live like a cop, Die like a man...

Test Blu-ray : Meurtre par Intérim

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Sorti dans quelques salles françaises au début de l’année 1975, Meurtre par Intérim possède une particularité notable : celle de n’appartenir clairement à aucun genre prédéterminé. Le film a souvent été vendu comme un film de « sexploitation »...

Test Blu-ray : Frissons d’horreur

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Sorti en France en 1979, Frissons d'horreur a surtout été popularisé par sa sortie au format DVD en 2008. Le titre original du film, Macchie Solari (soit « Taches solaires »), est à la fois plus poétique et davantage en rapport avec son intrigue...

Test DVD : Les sorcières du bord du lac

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Relativement peu connu dans la sphère des fantasticophiles français, Les sorcières du bord du lac était jusqu’ici surtout réputé pour ses célèbres et intrigantes photos d’exploitation...

Test DVD : Le massacre des morts-vivants

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Aussi surprenant que cela puisse paraître, lors de sa sortie en vidéo en France dans les années 80 chez Proserpine (de cheval bien sûr), Le massacre des morts-vivants était « introduit » de façon très succincte par Michel Drucker, qui arguait, pour masquer le fait qu'il ne l'avait sans doute jamais vu, qu'un « film d'horreur, ça ne se raconte pas ».

Test DVD : La dernière maison sur la plage

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Réalisé par Franco Prosperi en 1978, ce film ne s'attarde pas non plus des masses sur la complaisance habituelle du « rape and revenge ». Au contraire, comme pour prendre de la distance avec les horreurs qu'il filme, Prosperi (youp-la-boum !) en rajoute énormément en théâtralité, son argument étant de toutes façons que les victimes font partie d'une troupe de théâtre : cette Dernière maison sur la plage a donc un côté très Brechtien, avec des ralentis interminables, des gros plans des visages, des cadrages bizarres, une musique assourdissante... Tout est fait pour freiner l'immersion du spectateur, et de fait, le film apparaît au final bien plus soft que ses contemporains du « rape and revenge », les passages les plus dérangeants étant qui plus est souvent laissés hors-champ. Une curiosité du cinéma d'exploitation, à découvrir.