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Test Blu-ray : Adieu Paris

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Adieu Paris est un film sur la fin d’une époque, celle de la vie nocturne dans certains cafés parisiens, la « jeune génération » étant plus intéressée par les rapports via les réseaux sociaux et par les amitiés numériques.

Jeu Concours DVD : Adieu Paris

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A l'occasion de la sortie du film Adieu Paris, disponible le 1er juin en Blu-ray et DVD, critique-film.fr et Le Pacte vous proposent de participer à un grand jeu concours qui vous permettra de gagner des DVD du film d'Edouard Baer !

Test Blu-ray : Les Choses humaines

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Après une courte carrière dans les salles obscures n'ayant attiré qu'un peu plus de 182.000 spectateurs, Les Choses humaines débarque le 6 avril au format Blu-ray, sous les couleurs de Gaumont.

Test Blu-ray : Le Trésor du Petit Nicolas

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Le Trésor du Petit Nicolas retranscrit, en restant relativement fidèle à l’esprit gentiment espiègle de l’écriture de René Goscinny, l’atmosphère de ces courts récits aujourd’hui considérés comme de véritables classiques de la littérature jeunesse.

Critique Express : Adieu Paris

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Pensez vous qu'il soit possible de réaliser un film qui peut donner l'impression sur le moment d'être totalement vain tout en réjouissant l'esprit par son ironie et sa tendresse et qui, après réflexion, apparait comme étant beaucoup plus profond que ce que laissait penser la première impression ? La réponse est donnée par Edouard Baer dans "Adieu Paris", son 4ème long métrage en tant que réalisateur.

Critique : Les Choses humaines

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Quel type de procès Yvan Attal compte-t-il faire avec son nouveau film ? Celui d'une masculinité désormais en crise, qui se croyait tout permis et qui a du mal à s'adapter à la nouvelle donne de la parole libérée des femmes ? Celui de cette dernière, justement, qui – à force d'avoir été ignorée pendant si longtemps – peut avoir tendance à se déchaîner brutalement ?

Test Blu-ray / DVD : La belle époque

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Rares sont les comédies françaises aussi inventives, aussi rythmées, mélangeant avec autant de finesse cocasserie et émotion et bénéficiant en plus d’une telle distribution XXL.

Critique : La belle époque

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Rares sont les comédies françaises aussi inventives, aussi rythmées, mélangeant avec autant de finesse cocasserie et émotion et bénéficiant en plus d'une telle distribution XXL.

Critique : Les Estivants (Deuxième avis)

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Dans "Les estivants", tous les défauts de la réalisatrice sont présents à 200 % : lourdeur, prétention, narcissisme.

Critique : Les Estivants

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Hystérique, névrosée, prétentieuse et narcissique : les invectives ne manquaient pas dans notre vocabulaire pour faire état de notre dédain à l'égard du travail de Valeria Bruni Tedeschi, à la fois devant et derrière la caméra, qui nous avait provoqué dans le passé autant d'ennui que d'agacement. Avec son nouveau film, son quatrième long-métrage de fiction en quinze ans, elle a néanmoins franchi un cap important, lui permettant désormais de ricaner de ses lubies tout en nous amusant considérablement.

Test Blu-ray : Claude Berri réalisateur – Intégrale 21 films

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Derrière ses surnoms de « Dernier nabab », de « Parrain », de « Baron » ou de « Pacha » du cinéma français, on comprend bien que la figure de Claude Berri était plutôt quasi-systématiquement assimilée à sa casquette de producteur de films à succès (Tess, L'ours, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, Bienvenue chez les Ch'tis...). De fait, on en oublie souvent qu'il était un immense amateur d'Art moderne et contemporain, qu'il fut président de la Cinémathèque Française entre 2003 et 2007... Mais aussi qu'il a réalisé 21 films (20 si l'on considère tout comme lui Jean de Florette et Manon des sources comme un seul film en deux épisodes) entre 1967 et 2009. 21 films qui ont cumulé 47 millions d'entrées en France en l’espace d'un peu plus de quarante ans, treize d'entre eux ayant dépassé le million de spectateurs dans les salles obscures.

Intégrale Claude Berri #18 : L’un reste, l’autre part (2005)

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L’un reste, l’autre part est le dernier film s’inscrivant dans la veine « autobiographique » de l’œuvre de Claude Berri : pour écrire cette comédie sentimentale, le cinéaste s’inspirera en effet à nouveau de sa propre vie, se servant de l’Art comme d’une catharsis pour exorciser ses propres démons. Ainsi, au cœur même du film, le vaudeville côtoiera volontiers le tragique, pour un résultat au final assez étrange et, il faut bien l’admettre, un peu déstabilisant.