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Tag: Peter Cushing

Test Blu-ray : Terreur dans le Shanghaï Express

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Parmi les résistants anachroniques de l'épouvante gothique, il y a Terreur dans le Shanghaï Express, le fameux film d'Eugenio Martín, un film tellement inspiré par la Hammer que les producteurs sont allés rechercher Peter Cushing et Christopher Lee.

Test Blu-ray : Le Redoutable homme des neiges

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Le Redoutable homme des neiges marquait la deuxième collaboration de Peter Cushing avec la Hammer, et s’inscrivait davantage dans le registre du film d’aventures à tendance mystique que du film de monstre pur et dur.

Test Blu-ray : Suceurs de sang

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Malgré son titre équivoque, Suceurs de sang n'est pas véritablement un film de vampires. En tous cas, le film de Robert Hartford-Davis ne développe pas du tout le folklore habituel tournant autour du mythe vampirique.

Test Blu-ray : Le Vampire a soif

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« Chef, un p’tit verre, on a soif » chantait en 1979 l’amuseur belge connu sous le nom de Grand Jojo. Hé bien en 1968, c’était déjà le cas, le titre original du film de Vernon Sewell The Blood Beast Terror étant devenu chez nous Le Vampire a soif.

Test Blu-ray : Lâchez les monstres

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Pendant le générique de début de Lâchez les monstres, le spectateur suit un sportif effectuant son jogging dans les rues de Londres. Il fait une crise cardiaque, et se réveille dans un hôpital pour découvrir… que sa jambe droite a été amputée.

Test Blu-ray : Madhouse

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S’il faut retenir une chose de Madhouse, cela sera bien sûr la confrontation à l’écran de deux géants du fantastique : Peter Cushing et Vincent Price. Ce duel au sommet a forcément aujourd’hui de quoi réveiller l’intérêt de tout amateur d’épouvante gothique...

Test Blu-ray : Coffret Hammer – Tome 2 – 1970-1976 :...

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Le Coffret Hammer - Tome 2 - 1970-1976 : Sex & Blood est disponible chez Tamasa Diffusion depuis le 30 novembre. Edition limitée et numérotée à 2.000 exemplaires, il nous propose 7 films produits par le studio Hammer en Blu-ray et DVD.

Test Blu-ray : Sueur froide dans la nuit

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Si on peut parfois lire que Sueur froide dans la nuit, réalisé par Jimmy Sangster en 1972, est une contribution tardive à la vague des « mini-Hitchcock » produits par la Hammer au lendemain du carton de Psychose, il semble permis de relativiser cette assertion.

Vu sur le Vidéo Club Carlotta : Temps sans pitié

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Joseph Losey se distingue une fois de plus comme un observateur impitoyable de la condition humaine dans toute son imperfection avec Temps sans pitié. Ce premier film britannique sorti sous le nom du réalisateur américain, chassé de chez lui en raison de la phobie anticommuniste aux États-Unis dans les années 1950, avait bénéficié en mars dernier d'une ressortie en salles, abrégée soudainement par la fermeture des salles pour cause de confinement.

Test Blu-ray : Les maléfices de la momie

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Profondément typique du soin apporté par la Hammer à ses productions, même les plus modestes, tout au long des années 60, Les maléfices de la momie remet, comme son titre l’indique clairement, le personnage de « la momie » sur le devant de la scène. Déjà utilisée en 1959 dans La malédiction des pharaons de Terence Fisher (suite à un accord avec Universal qui permettait à la firme britannique d’utiliser les monstres issus de leur bestiaire classique), la créature à bandelettes revient donc ici au générique d’un film ouvertement moins prestigieux – on n’y retrouve ni le nom de Terence Fisher derrière la caméra ni ceux de Christopher Lee et Peter Cushing devant – mais comme toujours absolument charmant et digne d’intérêt.

Test DVD + Blu-ray : La maison qui tue

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Dans "La maison qui tue", on fait le tour des sujets de prédilection du cinéma fantastique : la figure de cire, l'enfant maléfique, le mythe de Dracula et, surtout, la maison maléfique qui sert de fil conducteur.

Test Blu-ray : Le train des épouvantes

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Le train des épouvantes est, d’entrée de jeu, porté par la présence au générique de Peter Cushing et Christopher Lee, les deux acteurs les plus puissamment emblématiques de la Hammer. Le script de Milton Subotsky a l’habileté et l’intelligence de proposer au spectateur cinq petits récits fantastiques, articulés autour d’un groupe de personnages à bord d’un train, et des prédictions délivrées par le personnage du Dr. Shreck, incarné par Peter Cushing. Le rythme de l’ensemble est donc rapide, et il n’y aura littéralement pas moyen de s’ennuyer ou de trouver le temps long, d’autant que le tout est littéralement sublimé par le talent de metteur en scène de Freddie Francis, grand créateur de formes devant l’éternel (qu’il évolue au poste de metteur en scène ou à celui de directeur photo), qui s’impose définitivement comme l’un des cinéastes ayant le plus marqué le cinéma fantastique britannique de son empreinte visuelle époustouflante. Son habileté à travailler sur la profondeur de champ s’avère le plus souvent extrêmement payante, et donne au film une originalité visuelle assez épatante.