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Rétrospective Marcello Mastroianni sur LaCinetek jusqu’au 27 mars 2024

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On avait prévu de toute façon d'évoquer la carrière hors pair de Marcello Mastroianni d'ici quelques jours. A condition de disposer du temps et du courage nécessaires afin de pondre notre chronique semi-régulière des centenaires de l'année à venir. Finalement, LaCinetek nous a devancés en annonçant la semaine dernière que l'acteur italien fera l'objet de sa nouvelle rétrospective, incluse dans l'abonnement.

Critique : Jours d’amour

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Dans les années 1950, il allait de soi de se marier, dès qu'on était tombé amoureux. Aux yeux d'une société encore étroitement tributaire des mœurs judéo-chrétiennes, toute autre issue à une aventure romantique était inconcevable.

Critique : Paris est toujours Paris

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L'office de tourisme de la ville de Paris aurait difficilement pu faire mieux pour mettre en avant les atouts de la capitale française que cette co-production franco-italienne du début des années 1950 ! C'est en effet à une série de cartes postales plus ou moins caricaturales que nous convie Luciano Emmer avec Paris est toujours Paris, un film certes plaisant à regarder, mais qui ne contient guère de mises en question par rapport au tourisme de masse qui allait se déverser dans les rues de notre ville d'adoption au fil des décennies suivantes.

Critique : L’Assassin (Deuxième avis)

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Le talent de caméléon de Marcello Mastroianni, cette qualité si rare chez un acteur de pouvoir incarner de façon crédible toutes sortes de personnages, est porté à son comble dans L'Assassin. Le premier long-métrage de Elio Petri est moins un thriller haletant, où l'enquête policière dicterait le moindre rebondissement de l'intrigue, qu'une lente descente aux enfers, presque autant pour le spectateur, privé de plus en plus de ses repères habituels en termes de morale manichéenne, que pour cet homme ordinaire accusé du meurtre de sa maîtresse.

Critique : Les Camarades

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Le cinéma italien des années 1960 n'était pas seulement l'âge d'or de la comédie savoureuse, aussi fraîche et populaire aujourd'hui qu'il y a un demi-siècle. Il œuvrait de même sans relâche à la création d'une conscience sociale, le reflet filmique d'une misère matérielle qui allait de pire en pire au fur et à mesure qu'on descendait des Alpes vers la Sicile.

Critique : Le Pigeon

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Les films qui trônent au sommet du sous-genre de la comédie à l'italienne sont si irrésistibles – au point d'être indémodables –, parce qu'ils savent jouer en toute allégresse avec la faillibilité de la nature humaine. Pour faire simple, les enjeux purement dramatiques y servent de façade à un feu d'artifice de gags et autres frivolités linguistiques, dont la vocation principale est de se moquer avec autant d'intelligence que de sympathie de l'état d'esprit propre à nos voisins transalpins.

Test Blu-ray : La dixième victime

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Film assez unique et typique des années 60, La dixième victime se situe au carrefour de multiples influences, que l’on n’imaginait pas forcément voir un jour cohabiter au sein d’un seul et même long-métrage. Premièrement, on a donc un scénario de Ennio Flaiano et Tonino Guerra, collaborateurs réguliers de Federico Fellini, qui adaptent avec l’aide d’Elio Petri et Ernesto Gastaldi, chantres d’un certain cinéma populaire très orienté à gauche, une nouvelle de Robert Sheckley, auteur américain de science-fiction, qui semble pourtant à cent lieues de leurs univers respectifs.

Test Blu-ray : Trois films d’Yves Robert chez Gaumont

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Si les grandes réussites de la carrière d'Yves Robert en tant que cinéaste ne sont pas toutes liées au nom de Jean-Loup Dabadie, la complicité des deux hommes aura tout de même durablement marqué les mémoires : à travers le succès du diptyque Un éléphant ça trompe énormément / On ira tous au paradis, public et critique ont découvert un duo dont la tendresse et l'humour n'empêchaient pas un regard acéré sur leurs contemporains. Si ces deux films ont définitivement marqué les années 70, la collaboration artistique de Robert et Dabadie aura permis la naissance de six longs-métrages, étalés entre 1969 et 1992.

Cannes 70 : la ronde des prix d’interprétation

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Test DVD : Moi, moi, moi … Et les autres

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Proche du film à sketchs, "Moi, moi, moi ... Et les autres" présente un certain nombre de blocs narratifs indépendant les uns des autres, mais mettant tous en scène Sandro, à la fois journaliste et écrivain, face à des situations d'égoïsme et à ses interrogations sur le sujet, interrogations qui se retrouvent traduites en images par la magie du cinéma.

Festival de Cannes 2016 : tu l’aimes mon affiche officielle ?

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Le Mépris est l'une des œuvres majeures de Jean-Luc Godard, l'un des plus grands bonheurs des cinéphiles, «une tragique histoire d'amour dans un cadre...

Test Blu-ray : Mariage à l’italienne

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La rencontre entre le réalisateur Vittorio De Sica et le couple formé par Sophia Loren et Marcello Mastroianni ayant été couronnée d’un grand succès populaire en 1963 avec Hier, aujourd’hui et demain, le trio décide de remettre le couvert l’année suivante avec le célèbre Mariage à l’italienne, qui reste, encore aujourd’hui, un des classiques indémodables de la comédie italienne.