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Hommage à Pierre Tchernia

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L'ex Monsieur Cinéma d'Antenne 2 est décédé à l'âge de 88 ans dans la nuit du vendredi 7 octobre. Pierre Tchernia restera comme l'une...

Tests Blu-ray : Jean Marais en mode « Bis »

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Fantomas (1964) et Le gentleman de Cocody (1965) s’inscrivent dans la mouvance d’un cinéma populaire chaleureux et sans complexes. Étrangement, l’histoire du cinéma n’en aura retenu qu’un seul…

Test Blu-ray : L’homme orchestre

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Même si Louis de Funès ne parait pas forcément très à son aise en plein feu d’artifices pop à la shebam ! Pow ! Blop ! Wizz ! avec cinquante minettes qui dandinent du croupion autour de lui, cela n'empêchera pas L'homme orchestre d'être apprécié pour ce qu'il est

Test Blu-ray : Le grand restaurant

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Le grand restaurant est une comédie schizophrène, clairement divisée en deux parties distinctes et pour le moins déséquilibrées. La première partie du film suit Louis De Funès dans le huis-clos d'un grand restaurant, dans une suite de sketches sans intrigue propre ; à mi-parcours, le film s'emballe et nous propose une course poursuite policière, pile dans la veine des Fantômas dont le public était très friand à l'époque.

Test Blu-ray : Ni vu ni connu

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Adapté d'un court roman d'Alphonse Allais, Ni vu ni connu s'avère une comédie iconoclaste s'intégrant parfaitement dans la filmographie d'Yves Robert. Très proche dans l'esprit de comédies familiales telles que La guerre des boutons, cette farce champêtre à la fois enlevée, drôle et souvent fort juste permettait à Louis De Funès de composer un de ses premiers rôles comiques en tête d'affiche. Un excellent moment.

Critique : Disparue en hiver

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En digne successeur de Bourvil, Kad Merad est surtout abonné aux rôles de souffre-douleur comique, qui subit stoïquement les frasques de Dany Boon, inspirées de près ou de loin par celles de Louis De Funès. Ce fond de commerce populaire semble lui être si convenable, qu’il ne sort que très rarement de sa zone de confort. Or, sans pouvoir prétendre au statut d’acteur dramatique de premier plan, Kad Merad avec sa trogne de chien battu véhicule une tristesse profonde, qui sied parfaitement aux personnages tourmentés de l’intérieur et de l’extérieur. Comme celui qu’il interprète avec une sobriété remarquable dans ce thriller très solide.

Critique : Une heure de tranquillité

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Lors de la tournée de promotion pour cette adaptation d’une pièce de théâtre, ce qui ressortait surtout du discours de l’acteur principal Christian Clavier, c’était la reconnaissance de cette vedette populaire envers son public pour l’année faste qu’elle venait de terminer, grâce au succès considérable de Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ? de Philippe De Chauveron. On peut alors supposer que ce regard tourné vers le passé était censé hausser le prestige de son projet actuel, qui risquerait sinon de passer inaperçu dans le no man’s land des sorties larguées à la Saint-Sylvestre. Car aussi bref et survolté soit-il, Une heure de tranquillité n’est guère plus qu’une comédie de boulevard dépourvue de signes distinctifs.

Le réveillon de l’impossible !

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Imaginez, on vous donne la chance de passer le réveillon de la Saint-Sylvestre avec une personnalité du cinéma, vivante ou non, de n'importe quel pays et de n'importe quelle génération...avec qui passeriez-vous ce dîner? Avec qui voulez-vous parler? Et...qu'est-ce que vous pourriez bien leur dire?

Pouic-Pouic

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Léonard Monestier possède une belle fortune, hélas sa femme Cynthia fait un mauvais placement dans une concession pétrolière sans valeur. Loin de se laisser abattre, Léonard cherche un pigeon à qui, il peut refiler l'affaire. Justement, apparait Antoine Brevin, milliardaire et très intéressé par sa fille Patricia.