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Les 100 Meilleurs films selon Variety

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Établir une liste du meilleur ceci ou du pire cela relève toujours de la gageure subjective, tant les avis diffèrent dans quelque chose d'aussi vaste et populaire que le cinéma. Alors que la revue des professionnels du cinéma américain Variety est presque aussi vieille que le Septième art que nous chérissons tant, il est étonnant de constater qu'elle n'ait apparemment jamais entrepris cette tâche hasardeuse de dresser une liste des cent meilleurs films de l'Histoire du cinéma.

Test Blu-ray + DVD : Un, deux, trois

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Une comédie trépidante et très piquante, emmenée par un James Cagney jouant sa partition sur un rythme infernal.

Les sorties du 16 janvier 2019

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Les femmes fortes occupent le devant de la scène parmi les sorties cinéma de cette semaine. Peu importe qu'elles viennent de Russie, du Royaume-Uni, d'Italie ou des États-Unis, ces personnages montrent que, très doucement, les mentalités changent dans l'industrie du cinéma. Car le revers de la médaille est qu'aucun de ces quatre films n'a été réalisé par une femme.

De retour en salles au mois de janvier 2019

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On prend les mêmes et on recommence. C'est ainsi que l'on pourrait résumer, de façon quelque peu expéditive, le programme des ressorties en salles au mois de janvier 2019. Bien que ce dernier dispose de pas moins de cinq mercredis et donc d'autant d'occasions de faire découvrir ou redécouvrir les trésors du cinéma d'antan, seule une quinzaine de films ont l'honneur d'un retour sous forme restaurée, voire un tout petit peu moins, puisqu'on hésite tout de même à comptabiliser la troisième ressortie en trois ans de La Ligne rouge de Terrence Malick, aussi magistrale cette épopée de guerre soit-elle.

Test Blu-ray : La grande combine

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Développant un ton et un humour aussi vachards qu’indéniablement modernes, efficaces et bien sentis, La grande combine s’avère un des films les plus agressifs du duo Billy Wilder / I. A. L. Diamond. Charge puissante à l’encontre des valeurs de l’hypocrisie entourant la notion de « bonne morale » prônée par les nombreuses ligues de vertu américaines, le film s’avère en effet un réjouissant jeu de massacre, où le rire côtoie toujours cela dit un certain malaise. De fait, en s’acharnant à livrer le film le plus violemment vindicatif possible, les deux auteurs de Certains l’aiment chaud ou La garçonnière en oublient quelque peu de s’attarder sur l’indispensable empathie que pourrait ressentir le spectateur vis-à-vis des personnages du film.

Cannes 2018 : la sélection Cannes Classics

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La dernière section parallèle du Festival de Cannes à annoncer son programme cette année est Cannes Classics. C'est donc hier qu'on a appris la liste des films méticuleusement restaurés qui feront briller les yeux de tous les cinéphiles et les écrans, en plein air ou dans les salles Buñuel ou du Soixantième, lors de la 15ème édition de cet hommage aux films du patrimoine.

Test Blu-ray : La garçonnière

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Deuxième collaboration entre Billy Wilder et le scénariste I.A.L. Diamond, La garçonnière est un film construit en deux temps, divisés de façon quasi-égale. Durant la première moitié du récit (et la première heure de film) Wilder et Diamand s’échinent à développer une satire sociale féroce, brocardant sans pitié l’hypocrisie des mœurs de l’Amérique de la fin des années 50. Exploitant de façon habile le concept de départ (celui d’un appartement servant aux employés volages et devenant, pour le héros du film, la clé d’une inattendue réussite sociale), le film n’épargne rien ni personne, mettant tous les mâles à un même niveau de calcul et d’hypocrisie. Chacun use et abuse de sa position sociale et des faiblesses du système pour obtenir ce qu’il veut, et aucun des protagonistes de La garçonnière ne trouve réellement grâce aux yeux des auteurs du film. Aucun, sauf un – car au cœur de cet univers corrompu et veule décrit par Billy Wilder et I.A.L. Diamond avec le plus réjouissant des cynismes existe une oasis de fraicheur, d’humour et de spontanéité, se laissant uniquement guider par son cœur… pour le meilleur et pour le pire : il s’agit bien sûr du personnage de l’hôtesse d'ascenseur Miss Kubelik, incarné par une Shirley MacLaine alors âgée de 25 ans et trouvant ici l’un des meilleurs rôles de toute sa carrière.

Cannes 70 : Viridiana et une couronne d’épines dans une valise

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...