Accueil Tags Elephant Films

Tag: Elephant Films

Test Blu-ray : Bigfoot et les Henderson

0
Entre 1983 et 1985, William Dear a eu l’honneur de recevoir douze Clio Awards, prix prestigieux comparables aux « Oscars » de la publicité, récompensant l'innovation et la créativité en matière de pub, de design et de communication. Il n’en fallait pas moins pour que son travail soit repéré par Steven Spielberg, qui lui propose dès 1985 de réaliser un épisode de ses Histoires fantastiques destinées à la télévision. L’épisode en question, « Papa momie » (saison 1, épisode 4) est d’ailleurs devenu l’un des plus connus du public français, parce qu’il faisait partie des trois épisodes de la série qui s’étaient vus compilés sous la forme d’un film à sketches sorti en salles en 1987.

Test Blu-ray : Midnight run

0
Si excellent soit-il, Midnight run n’a jamais réellement obtenu l’attention qu’il méritait de la part du public. En effet, le film est, une trentaine d’années plus tard, plutôt globalement retombé dans les limbes obscures de la mémoire collective.

Test Blu-ray : Dragnet

0
Étant donné la place de choix qu'occupait Dan Aykroyd dans le cœur du public, comment expliquer le désintérêt manifeste dont semble avoir fait preuve le public français pour Dragnet, sorti en France en janvier 1988 ?

Test DVD : Kim Kong – L’intégrale

0
A une époque où les séries se prolongent, s'étirent et, parfois, s'éternisent d'année en année, augmentant parfois sensiblement leur nombre d'épisodes d'une saison à l'autre sans pour autant avoir plus de choses à raconter au spectateur, le fait de voir débarquer une mini-série composée de seulement trois épisodes est déjà une bouffée d'air frais : peu de chance avec Kim Kong d'attraper mal au crâne rien qu'en pensant aux douze heures que nécessiteront le visionnage du show.

Test Blu-ray : Pour toi j’ai tué

0
Une voix off lancinante et déprimée, des personnages torturés, une histoire d’amour obsessionnelle et mortifère, un braquage qui tourne mal, le tout se déroulant sur une intrigue faite de manipulations en tous genres… Dites-donc, ça serait pas un Film Noir, votre truc, là ? Bingo, et quel Film Noir ! Pour toi j’ai tué marque en effet, en 1949, les retrouvailles entre le réalisateur Robert Siodmak et Burt Lancaster, trois ans à peine après Les tueurs, qui avait déjà fait très forte impression auprès de la critique et du public.

Test Blu-ray : Espions sur la Tamise

0
Curieux mélange de Film Noir et de film de propagande anti-nazie, tirant même par moments vers le cinéma fantastique, Espions sur la tamise est le troisième film de Fritz Lang abordant de façon frontale la menace liée au troisième Reich, après Chasse à l’homme (1941) et Les bourreaux meurent aussi (1943). Fritz Lang semblait d’ailleurs ne beaucoup porter Espions sur la tamise dans son cœur ; à la fin des années 60, dans les colonnes de Positif, il le balayait d’un revers de la main, lapidaire : « Je ne crois pas que ce soit un bon film ». Les raisons de ce désamour sont probablement liées au fait que les diverses modifications qu’il désirait apporter au scénario furent toutes rejetées en bloc par le scénariste, Seton I. Miller, également producteur du film.

Hammer Films en Blu-ray chez Elephant #2

0
Afin de ne pas vous « étouffer » avec un article imbuvable revenant d’un bloc sur les neuf films de cette nouvelle vague Hammer Films, on a pris le parti de diviser ce long test en deux parties. Vous trouverez la première partie de l'article en cliquant ici ; la deuxième partie se concentrera d'avantage que la première sur des « personnages » mythiques du fantastique, revisités au cours des années 60 par la Hammer, en collaboration avec Universal Pictures.

Hammer Films en Blu-ray chez Elephant #1

0
Le 9 novembre, Elephant Films a eu la très bonne idée de sortir une toute nouvelle vague de Blu-ray / DVD consacrée au studio britannique Hammer Films. Ce sont donc rien de moins que neuf nouveaux films, pour la plupart inédits en France sur galettes numériques, qui viennent grossir les rangs, encore malheureusement trop peu fournis, des représentants des films de la Hammer disponibles en Haute Définition dans l’hexagone : Les maîtresses de Dracula (1960), La nuit du loup-garou (1961), Le spectre du chat (1961), Le fascinant Capitaine Clegg (1962), Le fantôme de l’opéra (1962), Paranoïaque (1963), Le baiser du vampire (1963), Meurtre par procuration (1964) et L’empreinte de Frankenstein (1964).

Test Blu-ray : 3 films de Marlon Brando en HD

0
Explorant les arcanes du catalogue Universal Pictures depuis quelques années déjà afin de proposer au public français des films inédits en Haute Définition, Elephant Films lance régulièrement des « vagues » de films réunis autour de thématiques ou d’acteurs phares. Le 25 octobre 2017, c’est donc Marlon Brando qui a eu les honneurs de l’éditeur, avec trois films rares valant tous le coup d’être (re)découverts. Sur ces trois films tournés entre 1966 et 1969, deux étaient sortis en France et en catimini sous les couleurs d’Universal en 2007 : le dernier film de Charles Chaplin La comtesse de Hong Kong (1967), ainsi que le polar La nuit du lendemain (1969). Le troisième avait également eu droit à une sortie en France la même année, sous les couleurs de Sidonis Calysta, dans sa collection « Western de légende » : il s’agit de L’homme de la Sierra (1966). Retour sur trois films et trois éditions Blu-ray…

Test Blu-ray : Le toboggan de la mort

0
Si la critique française a eu la dent dure à l'encontre du film de James Goldstone à sa sortie en décembre 1978, Le toboggan de la mort demeure un film plaisant. Démarrant sur les chapeaux de roues avec un spectaculaire accident de montagnes russes orchestrés par le maniaque du film, interprété par Timothy Bottoms (l'inoubliable George W. Bush de That's my Bush!), dont la caméra suit les agissements et les méfaits durant tout le premier acte du métrage, à la façon -impossible de ne pas faire le lien- avec la série TV créée quelques années plus tôt par les deux scénaristes du film, Richard Levinson et William Link : l'incontournable Columbo.

Test Blu-ray : Un tueur dans la foule

0
Dès l'ouverture du film, Un tueur dans la foule s'inscrit dans une certaine réalité socio-politique des États-Unis : le film s'ouvre sur un stade de football américain, qui va déterminer la vie du pays tout entier pendant la journée à venir.

Test Blu-ray : Jack Arnold, géant de la peur

0
S’il est sans conteste un des noms les plus (re)connus en ce qui concerne le cinéma de science-fiction américain des années 50, Jack Arnold n’a finalement que très peu versé dans le genre. En effet, sur les 85 réalisations que rapporte le site de référence IMDb, étalées sur plus de trente ans, on ne compte que six contributions au genre : Le météore de la nuit (1953), L’étrange créature du lac noir (1954), La revanche de la créature (1955), Tarantula (1955), L'homme qui rétrécit (1957) et Le monstre des abîmes (1958). Passé cet âge d’or, ce solide technicien touche à tout s’est par la suite essentiellement consacré à la réalisation de téléfilms et séries TV.