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Tag: Donald Sutherland

Test Blu-ray : L’Art de la guerre

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Avant de tourner Blade II en 2002, Wesley Snipes était revenu à un film d'action plus classique, L'Art de la guerre, dont le titre bien sûr est tiré d'un ancien traité de stratégie militaire chinois attribué à Sun Zi.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Moonfall

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Moonfall prend donc comme point de départ (assez gratiné) le fait que la lune n’est pas un satellite naturel de la terre, mais une mégastructure « creuse » façonnée par une technologie extraterrestre ancienne.

Test Blu-ray : Ne vous retournez pas – Réédition 2021

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Déjà sorti chez Potemkine en 2015, le film de Nicolas Roeg n’avait à l’époque pas pu bénéficier d’une restauration ou d’un master 4K ; voilà une erreur aujourd’hui réparée.

Test Blu-ray : The undoing – L’intégrale

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Satisfaits de leur expérience en commun sur Big little lies, l’actrice Nicole Kidman et le showrunner David E. Kelley remettent le couvert avec The undoing, adaptation d’un roman de Jean Hanff Korelitz, « Les premières impressions ».

Test Blu-ray : Fanatic

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Production Hammer du milieu des années 60, Fanatic fait partie de la vague de thrillers psychologiques contemporains produits par le studio britannique suite au succès de Psychose. On ne trouvera donc point au cœur du film le moindre artifice formel hérité du cinéma gothique, mais un huis-clos oppressant, emmenant le spectateur au cœur de la folie, là où les fantômes d’un passé trouble ne sont jamais très loin. Contrairement à des films tels que Hurler de peur (1961), Paranoïaque (1963) ou Meurtre par procuration (1964), Fanatic ne nous propose pas une intrigue lorgnant trop ouvertement du côté de chez Daphné Du Maurier ou de Boileau-Narcejac : le scénario du légendaire Richard Matheson – adapté d'un roman signé Anne Blaisdell – va en effet d'avantage chercher ses inspirations du côté de Qu'est-il arrivé à Baby Jane ? (1962) : le film offrira en effet une belle grosse pathologie psychiatrique à son héroïne du troisième âge, non pas ici incarnée par Bette Davis mais par Tallulah Bankhead, actrice ayant connu son heure de gloire dans les années 30/40.

Critique : Johnny s’en va-t-en guerre

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Même une fois que la dernière bataille aura été livrée et que la question des intérêts géopolitiques, à l'origine de la plupart des conflits armés, aura été tranchée, les guerres continuent à faire des victimes. Ainsi, dans Johnny s'en va-t-en guerre, l'un des pamphlets anti-guerre les plus singuliers de l'Histoire du cinéma, après les images d'archives qui montrent au fil du générique des troupes partant presque joyeusement au front avec les félicitations du roi et de l'état-major, une place considérable est attribuée à la souffrance littéralement sourde d'un soldat américain, amplement défiguré par un éclat d'obus.

Test Blu-ray : Backdraft 2

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Courant 2016, on a vu apparaître une série de DTV (« Direct To Video ») faisant suite aux cartons du box-office réalisés par Universal Pictures dans les années 90/2000 : Chasse à l’homme, Un flic à la maternelle, Un flic et demi, Tremors, American girls, Méchant menteur, Death race, Le roi scorpion… Ces trois / quatre dernières années, tous ces films ont vu naître des suites / reboots tardifs. Sans avoir de don de clairvoyance, on avait donc pu prévoir dès 2016 que Backdraft aurait sans doute eu également droit à sa suite, et cela vient juste de se produire avec Backdraft 2, réalisé rien de moins que 28 ans après le film original !

Test Blu-ray : Le train des épouvantes

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Le train des épouvantes est, d’entrée de jeu, porté par la présence au générique de Peter Cushing et Christopher Lee, les deux acteurs les plus puissamment emblématiques de la Hammer. Le script de Milton Subotsky a l’habileté et l’intelligence de proposer au spectateur cinq petits récits fantastiques, articulés autour d’un groupe de personnages à bord d’un train, et des prédictions délivrées par le personnage du Dr. Shreck, incarné par Peter Cushing. Le rythme de l’ensemble est donc rapide, et il n’y aura littéralement pas moyen de s’ennuyer ou de trouver le temps long, d’autant que le tout est littéralement sublimé par le talent de metteur en scène de Freddie Francis, grand créateur de formes devant l’éternel (qu’il évolue au poste de metteur en scène ou à celui de directeur photo), qui s’impose définitivement comme l’un des cinéastes ayant le plus marqué le cinéma fantastique britannique de son empreinte visuelle époustouflante. Son habileté à travailler sur la profondeur de champ s’avère le plus souvent extrêmement payante, et donne au film une originalité visuelle assez épatante.

La Roche-sur-Yon 2017 : L’Échappée belle (Paolo Virzi)

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Bien que l'espérance de vie augmente continuellement, la mise en garde que la vieillesse n'est pas faite pour les lâches n'a rien perdu de sa véracité. Le Festival de La Roche-sur-Yon en tient compte de deux façons complémentaires cette année, puisque nous avons pu y découvrir, après l'optimiste et poétique Lucky de John Carroll Lynch, le sensiblement plus mélancolique et profane L'Échappée belle de Paolo Virzi.

Les Oscars d’honneur 2017

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Le nouveau président fraîchement élu de l'Académie du cinéma américain, le chef opérateur John Bailey, a annoncé hier les noms des quatre professionnels du cinéma, qui seront célébrés au cours des neuvièmes Governors Awards. Il s'agit du réalisateur américain Charles Burnett, du chef opérateur américain Owen Roizman, de l'acteur canadien Donald Sutherland et de la réalisatrice belge Agnès Varda.

Test Blu-ray : L’invasion des profanateurs

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Depuis sa publication dans les années 50, le roman de Jack Finney L’invasion des profanateurs de sépultures (également connu en France sous le titre Graines d’épouvante) a donné naissance à quatre adaptations cinématographiques : L’invasion des profanateurs de sépultures (Don Siegel, 1956), L’invasion des profanateurs (Philip Kaufman, 1978), Body snatchers (Abel Ferrara, 1993) et Invasion (Oliver Hirschbiegel, 2007). La particularité de cette œuvre est donc notable : si différentes soient-elles, les quatre adaptations du film se sont révélées d’excellents films de science-fiction, des œuvres singulières à côté desquelles le cinéphile aurait tort de passer sans s’arrêter.

Test Blu-ray : Forsaken – Retour à Fowler City

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Formellement soigné, interprété avec conviction et proposant un récit limpide et sans surprise pour tout amateur du genre qui se respecte, Forsaken – Retour à Fowler City tente de renouer avec une certaine tradition du western classique : pas forcément celle du « grand » western épique à la John Ford, mais plutôt celle des dizaines de séries B fières et appliquées ayant inondé les écrans durant les années 40 à 60, et dont on retrouverait régulièrement des traces durant les décennies suivantes, notamment dans le cinéma de Walter Hill.