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Plaire, aimer et courir vite, «formidable chronique des occasions ratées à cause des choix pas toujours concluants qui ponctuent la vie de chacun, avant...

La 23ème cérémonie des Prix Lumières, attribués par les représentants de la presse étrangère à Paris, a eu lieu hier soir à l'Institut du Monde Arabe. C'est le grand prix du Festival de Cannes et champion ex æquo des nominations aux César 120 battements par minute de Robin Campillo qui a dominé la remise de prix, repartant avec cinq trophées.

On arrive certes un peu tard à la fête, mais il vous reste tout de même encore six jours pour profiter pleinement du programme Les Incontournables UGC que la chaîne de cinémas a organisé, comme tous les ans, avec les rédactions du groupe Figaro ! Quoi de mieux en effet que de voir ou de revoir les films qui se sont imposés l'année dernière ou bien ceux qui sont passés un peu inaperçus et qui s'offrent donc une cure de rattrapage salutaire.

Également en début de semaine, lundi dernier, le 11 décembre, a eu lieu l'annonce des nominations des 23èmes Prix Lumières à la Monnaie de Paris. Ce prix annuel, créé en 1995 à l'initiative du producteur Daniel Toscan Du Plantier et du journaliste américain Edward Behr, est attribué par les représentants de la presse étrangère à Paris.

Quel long-métrage succédera à Une Vie de Stéphane Brizé, lauréat surprise l'an dernier du prestigieux Prix Louis-Delluc 2017 ? Parmi les neuf finalistes, un ancien...

Il n'y a rien de mieux pour augmenter le profil et la reconnaissance publique de notre petit site, modeste mais coriace, que d'être associé d'une manière ou d'une autre au matériel promotionnel des films qui sortent au cinéma en France. Cela est déjà arrivé à certains membres de notre rédaction dans le passé, par exemple pour la critique de Pascal pour Whiplash de Damien Chazelle et celle de Julien pour The Witch de Robert Eggers, dont on voyait des extraits soit sur l'affiche, soit dans la bande-annonce.

Dans ce faux biopic, la mise en abyme que Mathieu Amalric met en scène l'autorise beaucoup plus facilement à ne montrer que ce qui lui parait important sans s'attirer les foudres des fans et des spécialistes de Barbara.

70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Voici une petite sélection de news glanées ces deux dernières semaines et non traitées sur le site... Imogen Poots sera la tête d'affiche de Mobile...

Si on arrive à dépasser la surprise que l'on ressent lors de la première rencontre de Nelly et Johnny, on trouvera dans "Phoenix" les mêmes qualités que dans les films précédents de Christian Petzold : une grande maîtrise dans le choix des plans, une grande rigueur dans la mise en scène, une excellente direction d'acteurs et un montage qui donne à chaque plan la bonne longueur.

Eté 1980. Barbara est chirurgien-pédiatre dans un hôpital de Berlin-Est. Soupçonnée de vouloir passer à l’Ouest, elle est mutée par les autorités dans une clinique de province, au milieu de nulle part. Tandis que son amant Jörg, qui vit à l’Ouest, prépare son évasion, Barbara est troublée par l’attention que lui porte André, le médecin-chef de l’hôpital. La confiance professionnelle qu’il lui accorde, ses attentions, son sourire... Est-il amoureux d’elle ? Est-il chargé de l’espionner ?