Test Blu-ray : Joe, c’est aussi l’Amérique
Joe, c’est aussi l’Amérique est un film singulier. Réalisé par John G. Avildsen et sorti en 1970, le film du futur réalisateur de Rocky a remporté un franc succès aux États-Unis, notamment en raison des opinions politiques pour le moins tranchées – et très à droite – régulièrement exprimées par le personnage central.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Cinema Paradiso
Le regard dans le rétroviseur que Cinéma Paradiso opère avec insistance se solde par une forme suprême de nostalgie. La structure narrative du film a beau être simple, il s’en dégage un ton qui nous affecte sincèrement...
Test Blu-ray : Section de choc
Sorti sur les écrans du monde entier en 1976, Section de choc appartient à la catégorie du « poliziottesco » ou néo-polar italien, également connu sous le nom de polar bis italien – un sous-genre du cinéma italien extrêmement populaire dans les 70's.
Test Blu-ray : Total recall
Après avoir fait l’objet de deux éditions Blu-ray, en 2010 et en 2013, puis fin 2020 d’un Combo Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray déjà épuisé, Total Recall re-débarque le 1er avril 2021 au format Haute-Définition, toujours chez StudioCanal.
Test Blu-ray : Jungle fever
« I've got jungle fever, she's got jungle fever, we've got jungle fever - We're in LOVE » Impossible si vous avez vu Jungle fever d'oublier ce titre accrocheur de Stevie Wonder, spécialement composé pour la musique du film.
Test Blu-ray : Association de malfaiteurs
A sa sortie en 1987, Association de malfaiteurs avait réuni 1,2 millions de français dans les salles – pourtant, 35 ans plus tard, cette comédie policière ne bénéficie pas de l’aura des « grandes » comédies populaires de Claude Zidi...
Test Blu-ray : Le Dernier face à face
Bien peu de cinéastes parviennent à devenir de véritables légendes dans un genre donné en n'ayant offert que trois films s'épanouissant dans ledit genre. Sergio Sollima n'a pourtant réalisé en tout et pour tout que trois westerns. Mais quels films !
Test Blu-ray : Le retour des morts-vivants
Si on ne rattache que très peu souvent (voire même quasiment jamais) Le retour des morts vivants et ses suites à la saga initiée en 1968 par George A. Romero avec La nuit des morts vivants, il semblerait finalement assez juste de la considérer non seulement comme en étant une excroissance, mais aussi et surtout comme en étant une excroissance parfaitement légitime. Un peu comme un demi-frère en quelque sorte… En effet, derrière le scénario de La nuit des morts vivants se cachaient en fait deux individus : Romero bien sûr, mais également John A. Russo, qui s’avère souvent le grand « oublié » de la saga. Dès Zombie en 1978, George Romero s’était affranchi de son co-scénariste en partant travailler avec Dario Argento, puis tout seul comme un grand à partir du Jour des morts vivants en 1985. Avec sa saga, Romero livrerait une œuvre aussi longue que très « politisée », le zombie étant un moyen pour lui de critiquer la société de consommation.
Test Blu-ray : Scout toujours
A la (re)découverte de Scout toujours, on ne pourra s’empêcher de constater à quel point Gérard Jugnot prenait le contrepied de ses collègues œuvrant dans le genre, avec un réel souci de construction narrative, une vraie belle photo, des compositions de plans réfléchies qui imposent au final une véritable valeur ajoutée à l’ensemble.
Test Blu-ray : Tunnel to Summer
Cette édition Blu-ray de Tunnel to Summer s’offre une présentation littéralement superbe : avec son boîtier transparent surmonté d’un fourreau rigide et d'une surjaquette découpée, ce Combo @Anime n’oublie pas d’être un bel objet, au design 100% classe.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Expendables 4
Vous ne l'attendiez pas forcément, mais revoici la bande à Barney / Stallone dans Expendables 4, un film qui suit le globalement sillon initié par le film précédent. Comment être déçu par un film dont on n’attendait de toute façon plus grand-chose ?
Test Blu-ray : Bloody Mama
S’il s’inscrit dans une veine de cinéma dit « d’exploitation », censé surfer sur les succès de Bonnie & Clyde et des Tueurs de la lune de miel, Bloody Mama porte sur lui les stigmates d’une époque en plein changement.



















